#14 Symptothermie & vacances d’été : 6 astuces pour lâcher prise

À propos de l'épisode:

Dans cet épisode, nous explorons comment adapter la symptothermie à la période estivale. Laurène et Juliette discutent des défis spécifiques à l'été pour l'observation des indicateurs de fertilité du cycle menstruel et vous proposent des conseils pratiques pour gérer la glaire, la température basale et les perturbations de rythme.
Que vous soyez à la plage ou à la montagne, découvrez comment maintenir une observation efficace de votre cycle tout en profitant de vos vacances !!



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Chapters

• 1:46 Six points de vigilance pour la symptothermie en été
• 2:22 1/ Analyse de la glaire
• 3:29 2/ Observation du col
• 5:03 3/ Température basale
• 10:24 4/ Symptômes de fin de cycle
• 13:13 5/ Gestion des perturbations estivales
• 15:52 6/ Focus sur la période fertile
• 16:30 Conclusion et remerciements

Transcript

Laurène: 0:00

ces changements de rythme qu'on a l'été et il faut éventuellement se préparer à avoir des. Symptômes un petit peu particulier différents de l'habitude. C'est que, comme je picole, un peu trop peut être l'été. Enfin, l'excès d l'apéro, etc. certes, on mange plus sain, mais on mange aussi plus de en grignotte un peu plus moi. Je sais que chaque fois l'été, j'ai un SPM de l'enfer. Fin août, je me prépare toujours à avoir un moment de grande solitude parce que j'accumule un peu les excès de l'été. Et mon cycle ne me remercie pas et me le fait savoir avec du coup une ovulation de moins bonne qualité et une fin de cycle du coup un peu plus tumultueuse. bonjour. Bienvenue dans ce nouvel épisode aujourd'hui. Je ne suis pas seule, je suis avec Juliette. On fait des petits hors série pendant l'été avec l'équipe Emancipées pour vous donner des petits tuyaux un peu plus pratiques. Interne from la maison pas donc je vais laisser Juliette se présenter et je vous dis quand même le thème de l'épisode aujourd'hui, on va parler de la pratique de la symptothermie l'été. C'est des questions qu'on reçoit beaucoup pour savoir comment on adapte parce que parfois le quotidien change beaucoup et il y a plein de petites différences qui font qu'on sait pas si on saura bien. Pratiquer. Donc on va faire ça, aborder ce sujet avec Juliette aujourd'hui avec six points, six points de vigilance, en tout cas sur lesquels nous on voulait vous apporter des petits éclairages. Mais d'abord, je vais demander à Juliette de de bien vouloir se présenter.

2 e: 1:45

Bonjour à tous. Et donc je suis Juliette, ça fait une dizaine d'années maintenant que j'accompagne des femmes et des couples à découvrir leur cycle, à comprendre les signaux qu'ils envoient et aussi à essayer de comprendre avec eux quand il y a besoin d'un rééquilibrage. Qu'est ce qu'on peut faire pour mener à bien un projet de grossesse ou justement utiliser une méthode fiable de contraception?

Laurène: 2:03

et celles qui sont dans un Serenity club te connaissent bien, voilà puisque t'es l'experte du club ou tu m'accompagne, m'accompagne en sympto. dans l'équipe émancipée Juliette, c'est la casquette sympto. on est là aujourd'hui justement pour parler de ce sujet et de la sympto en été. Donc on a listé six points, six points sur lesquels on pouvait apporter des petits éclairages. Le premier point, c'est l'analyse de la glaire. Je vous raconte celui ci et après Juliette en présentera d'autres la glaire. C'est souvent un sujet parce qu'on dit qu'il faut être attentif à la sensation ressentie qu'on a tout au long de la journée au niveau de la vulve puisque la glaire, elle s'écoule au niveau de la vulve. Et souvent l'été, en tout cas, quand on a en vacances et a fortiori à la mer, on va être en maillot de bain toute la journée et souvent un peu mouillé toute la journée. Donc on va plus trop pouvoir avoir ce ressenti là est ce que je me sens mouillé. Est ce que je me sens humide est ce que je me sens sèche et etc, parce que on porte quelque chose de mouillé. Contre soi. Donc nous, notre conseil, c'est déjà de vraiment se concentrer sur le ressenti enfin la sensation quand on s'essuie aux toilettes, vraiment de se dire ok, c'est là dessus qu'on va mettre toute notre attention. Et tant pis, si on ne voit pas grand chose tout au long de la journée, si on ressent pas grand chose, on va vraiment tout focuser à ce moment là. Et c'est déjà très bien puisque la glaire, c'est une question d'observation, de ressenti et de sensation et la sensation à l'essuyage, même si vous avez fait des plongeons. Toute la journée. Vous l'aurez toujours. Et donc voilà, ça permet de moins se mettre la pression sur le ressenti que au long de la journée et de focuser sur l'essuyage, le toucher à ce moment là et voir si c'est glissant. C'est humide. Il y a de la matière ou pas. C'est déjà très bien,

2 e: 3:30

même si on a une, si on n'est pas de la team mer, mais qu'on est la montagne qui peut faire un peu plus chaud parfois. Et donc on peut avoir un sentiment de transpiration. Et donc c'est aussi dans ces cas là qu'on va aussi favoriser. La sensation à l'essuyage

Laurène: 3:42

oui, voilà, c'est ça. Si on on macère toute la journée au qu'on fait du vélo parce que de France, voilà du coup, c'est bien. Et comme ça, on se lâche un peu la grappe sur les autres façons d'être attentive à sa glaire et on met toute son énergie là dessus. Donc c'était notre premier point sur la glaire. Le deuxième, c'est justement pour celle. Pour qu'il se serait trop galères, peut être d'observer leur glaire.

2 e: 4:02

vous savez que en symptothermie on va avoir deux signes à observer tout au long du cycle la température et après on va choisir ou bien la glaire ou bien le col. On va choisir son camp, mais on va choisir d'observer ou bien la glaire ou bien le col. Et si effectivement, l'observation de la glaire est trop compliquée en été parce que. Ce n'est pas votre truc. Vous avez complètement lâché l'affaire. Vous êtes mouillé tout le temps parce qu'en maillot de bain tout le temps, eh bien, vous pouvez toujours aller justement vérifier au col. Dans quelle période de votre cycle vous vous trouvez parce que vous savez que le col va évoluer en consistance, en ouverture et en position. Et en fonction de ces trois critères, on va pouvoir se. Repérer dans notre cycle et savoir à quel moment on en est ce qu'on vous conseille quand même, c'est de pas démarrer l'observation de ce nouveau signe en plein été. Ce n'est pas le plus facile, éventuellement, si vous avez déjà eu l'occasion d'observer un signe, le signe du col pendant un cycle, alors vous pouvez vous lancer en plein été, sinon peut être attendait une période plus posée pour découvrir ce nouveau signe qui néanmoins est assez parlant lorsqu'on l'a déjà expérimenté. Donc ça peut vraiment être. Une idée intéressante. Si jamais l'observation, la glaire est trop compliquée en plein été

Laurène: 5:02

exactement et le col. Donc c'est alternatif. On peut observer les deux, mais on en interprète qu'un et le col, il bouge aussi lui avant, pendant et après l'ovulation. Mais ça reste quelque chose de subtil. C'est ce que tu dis Juliette. Et en fait, si on l'a jamais fait. On peut au début tatonner un peu, pas forcément ressentir des différences. C'est pour ça que ce n'est pas toujours évident et que notamment si on est en contraception, par exemple, on ne va pas dire qu'on mise tout sur le col pour la première fois en plein été quand tout est chamboulé parce que ça peut être un peu risqué. Par contre, si on a déjà eu l'occasion. D'observer cet indicateur là et qu'on sent que l'été, la glaire, ça ne va pas. Eh bien, on peut se dire ok, je switch sur ce cycle là sur le col parce que du coup, il permettra lui aussi d'ouvrir la période fertile quand il va commencer à évoluer, à monter, à s'ouvrir, à se ram amollir et de fermer la période fertile en double contrôle. Avec la température quand il redescend qui se referme, qui se durcit. n'apprend pas pour la première fois le col en plein été, mais si on est déjà un peu habitué, ça peut être cool d'avoir cet indicateur là alternatif à la glaire quand la glaire fou, le camp c'était le deuxième point. Troisième point, on a eu plusieurs sujets sur la température. Je te laisse commencer, Juliette.

2 e: 6:05

alors il y a une première chose, c'est que qui dit été rime souvent avec changement de rythme. On peut avoir peut être un rythme plus monacal tout au long de l'année avec un réveil à. heure plus ou moins fixe. Une vie stressante, un boulot, ce qui nous met sous pression un rythme de vie, une charge mentale qui va vraiment nous mettre dans une situation tout au long de l'année qui va être différente de celle qu'on va trouver en été. Donc, ce qui est important de comprendre, c'est qu'en fait ce changement de rythme, ce changement d'état, ce changement de contexte lié à l'été et aux vacances, cette pause, en fait qu'on va s'autoriser. Peut complètement chamboulé l'équilibre général de notre cycle. Et donc, du coup, c'est une période ou il faut être particulièrement prudent si on est en mode de contraception, parce que ça peut être une période ou l'ovulation, le cycle entier va être chamboulé. Et donc l'ovulation ne va pas forcément arriver de manière classique comme en plein milieu d'une année tout à fait normale, on peut avoir des modifications de cycle. C'est à dire que tout notre cycle peut être chamboulé parce que tout notre équilibre hormonal. Va être chamboulé tout simplement parce ce que vous savez que notre premier organe sexuel, celui qui va diriger notre cycle, c'est notre cerveau. Et donc s'il y a un changement qui va se passer au niveau de notre cerveau, comme un gros changement de rythme qui est lié aux vacances, alors ça peut vraiment venir impacter notre équilibre monal. Et donc, du coup, notre ovulation, qui peut arriver plus tôt plus tard et ce n'est pas anormal d'observer des cycles. différents de ceux qu'on a l'habitude d'observer pendant l'année en plein milieu, nos vacances Et donc il y a aussi une question qui est liée à la température. Souvent, on nous dit mais je vais dans un pays chaud, il fait hyper chau là ou je vais en vacances. Donc ma température va bouger probablement que votre température va bouger. Mais en fait, c'est toute la température de tout votre cycle qui va bouger. Et par conséquent, Si vous avez votre température basale qui augmente parce que vous êtes dans un endroit plus chaud et que vous vous êtes sensible aux variations thermiques. Eh bien, vous allez avoir une température basale qui va augmenter, mais ça ne veut pas dire que le décalage thermique ne ne va pas s'observer parce que c'est toute la température. Qui va évoluer. Et donc on aura quand même l'observation température basse, d'un beau décalage thermique. Et puis d'un plateau haut c'est toute la toute la courbe, elle même qui va changer, qui peut changer. Ce n'est pas systématique, mais vous observerez toujours assurez vous ce décalage the thermique, même si vous changez de contexte. De température

Laurène: 8:06

pendant vos vacances ou sauf si pas de bol, tu parles le jour de ton ovulation et là du coup, tu dis, tu sais plus si c'est lié à la perturbation ou pas, mais sinon effectivement, ou il y en a qui nous demandent aussi si je dors avec la clim l'été ou j'en sais Normalement le corps s'auto régule donc on n'est pas censé avoir des changements dans la température basale, mais s'il va y en avoir effectivement, c'est tout le cycle qui va évoluer un petit peu, sauf si c'est des périodes bien définies. Et auquel cas là, on va noter la température comme potentiellement perturbé et on l'exclu de l'analyse. Si je suis pas un matin, on se réveille frigorifié parce qu'on a dormi pas dans un hôtel ou il y avait la clim à fond a peut être le noter parce qu'à priori, ça aura peut être influencé température. Mais sinon, il faut se dire que c'est le changement de rythme global qui fait changer la courbe globale et qui fait que peut être que vous allez avoir des niveaux de température un peu différentes, d'habitude ou quoi, Vous aurez toujours cette évolution avec ce décalage au moment de l'ovulation. Normalement, sauf si vous avez la perturbation pile au mauvais moment ou là, ça peut être un peu plus. Ça peut prêter un peu plus à la confusion. Mais dans ce cas, là, on le note et on est prudent par rapport aux règles. Et on adapte.

2 e: 9:10

Et encore une fois, ce n'est pas systématique. Vous l'avez probablement déjà observé. Si vous avez déjà eu la chance d'observer des cycles avant de partir en vacances, vous savez déjà probablement si vous êtes chrono sensible, on va y revenir, mais aussi température, environnement sensible. Donc ça, c'est des choses que vous pouvez déjà toucher du doigt. Si vous démarrez en plein été, eh vous allez le découvrir, rentra rentrant de vacances ou

Laurène: 9:28

le quatrième point qu'on voulez aborder avec vous. C'est toujours lié à ces changements de rythme qu'on a l'été et il faut éventuellement se préparer à avoir des. Symptômes un petit peu particulier différents de l'habitude. On a parlé de la symptothermie ou des indicateurs qui pouvaient changer éventuellement ou pas. Mais ce qui peut évoluer aussi, c'est tout ce qui va autour de votre cycle parce que le cycle Juliette l'a dit est très sensible à l'environnement. Et si, par exemple, vous avez un niveau de stress toute l'année avec un gros syndrome pré menstruel, que vous êtes très irritable en fin de cycle et que là l'été, vous relâchez le rythme. Vous dormez plus n'avez pas d'horaire à respecter. Vous avez peut être avoir une fin de cycle moins tumultueuse Au niveau émotionnel, au niveau des douleurs, etc. Ça, c'est une option. On peut aussi avoir l'option inverse. Moi, c'est mon cas. C'est que, comme je picole, un peu trop peut être l'été. Enfin, l'excès d l'apéro, etc. certes, on mange plus sain, mais on mange aussi plus de en grignotte un peu plus moi. Je sais que chaque fois l'été, j'ai un SPM de l'enfer. Fin août, je me prépare toujours à avoir un moment de grande solitude parce que j'accumule un peu les excès de l'été. Et mon cycle ne me remercie pas et me le fait savoir avec du coup une ovulation de moins bonne qualité et une fin de cycle du coup un peu plus tumultueuse. Donc voilà, on peut avoir l'option à le changement de rythme m'apaise apaise mes cycles. Option b le changement de rythme ne ne m'apaise pas et rend me cycles un petit peu foireux et option C, il n'y a pas d'impact. C'est aussi tout à fait possible. On n'est pas à tout le monde est. Pas sensible de la même façon, mais c'est aussi quelque chose à bien avoir en tête et à ne pas paniquer. Si vous voyez que vous avez un cycle un peu moins joli sur le papier qui, en termes de fluctuations hormonales, vous semble un peu plus compliqué, c'est peut être juste lié aux excès ou à votre changement de rythme qui a cet impact là sur le cycle. ça, c'était notre quatrième point.

2 e: 11:13

rime avec été, rime avec rosée apéro de l'été et parfois nuit perturbées. Donc, en fait, on voulait aborder avec vous le point des températures perturbées parce que vous savez que vous allez prendre en temps normal votre température à heure fixe le matin au réveil. Mais si vous avez. Eu une soirée particulièrement arrosée que vous avez du mal à voyez le matin et que donc vous faites une grâce matinée et bien tout ça, ça peut potentiellement venir perturber vos températures. l'idée, c'est absolument pas que vous changiez votre mode de vie. Pour coller à la méthode. D'accord, on est en été, c'est le moment de se relâcher. Il n'y a pas de problème seulement. Il va falloir noter toutes ces perturbations. Donc, s'il y a une soirée particulièrement arrosée, choses que vous n'avez pas l'habitude de manger, que vous mangez en quantité incroyable toutes ces petites perturbations, c'est décalage d'horaire d'heure de prise le matin parce que vous faites la grâce matinée. Tout ça, vous pensez bien le noter. Et l'idée, c'est de voir si ça va venir perturber votre vos température si effectivement elles sont. Perturbé, on va pouvoir les mettre entre parenthèses pour les isoler et donc ne pas les prendre en compte dans l'analyse. Et puis et si elles ne sont pas per perturbées, tout va bien. Mais on se note bien quand même tout changement. D'accord. Ça c'est vachement important parce que ça va nous permettre de pouvoir réinterpréter la courbe dans de bonnes conditions. Donc il faut toujours garder en tête que. Tous ces changements, tous ces petits excès qu'on va faire pendant l'été. Finalement, ce n'est pas très grave. C'est juste que le seul risque qu'on va avoir, c'est d'avoir une courbe peut être moins lisible, moins interprétée. Oui, donc c'est juste ça qu'on veut bien prendre en compte. C'est tout ce qui va venir être exceptionnel et qui pourrait venir perturber nos températures. On a parlé de la climatisation tout à l'heure. Alors peut être que ça va perturber dans l'autre sens, mais en tout cas, voilà tout tout événement. Un peu exceptionnel, un avion qui ou un jet lag, tout ça. C'est vraiment des choses qu'il faut bien noter pour pouvoir réinterpréter. Donc il y a toujours un moment ou on s'en fiche un petit peu quand on a des perturbations en début, en fin de cycle, on ne sait n'est pas le moment ou la température va beaucoup nous intéresser parce qu'on attend vraiment la température au moment de l'ovulation, On a un concentré de faits de décalage d'heure de prise et d'alcool au moment de l'ovulation, c'est là ou potentiellement, on peut rater la lecture du décalage thermique. Et donc on va peut être avoir du mal à valider notre ovulation avec la température. Donc faut savoir un petit peu ce qu'on veut si on veut garder la symptot hermie en tout cas, l'analyse de la température en plein été peut être que c'est le matin. Il faudra mettre éventuellement un réveil et se rendormir immédiatement après. Ou voilà. Si on se dit bon, va tant pis. On se dit que ce cycle là, on ne va pas l'analyser avec la température et on fera le focus sur autre chose.

Laurène: 13:30

Oui, c'est ça. Je pense que c'est le message qu'on veut vous faire passer à travers cet épisode, c'est que l'été, c'est aussi un bon moment pour se lâcher. La grappe pour celles qui sont en essais bébés peut être pour complètement arrêter les observations. Miser sur le fait qu'on a peut être plus de temps que le climat est plus léger. Pour avoir des rapports plus réguliers sans forcément essayer de viser juste et que du coup, toutes ces perturbations à la rigueur, ce n'est pas très grave et autant bien vivre cette période là sans se culpabiliser, parce que ça va gêner son observation et se dire que c'est aussi un bon moment pour tout couper. Arrêtez un petit peu si ça nous rend obsessionnel. et se laisser aller ça, c'est pour celles qui sont en désir de grossesse pour celles qui sont en contraception. Évidemment là, on fait hyper attention parce que c'est dans ces moments là de relâchement qu'on peut éventuellement avoir des accidents. Donc on va peut être plus se protéger si on se dit qu'on n'est pas sûr de ces observations, mais ce qu'il faut aussi avoir en tête. Et c'est notre sixième point, c'est que en symptothermie en vrai la période ou il faut être très, très attentive est pas si longue que ça. Et justement grâce à cette possibilité d'exclure certaines observations de son interprétation quand il y a eu une perturbation. Donc, par exemple, j'ai picolé la veille, ma température le matin est anormalement haute. C'est pas grave. Je la mets entre parenthèses. Je l'exclus juste, ça va être un peu plus. Je vais devoir peut être attendre un jour de plus pour confirmer que j'ai bien ovulé, mais c'est pas grave. j'ai le luxe de faire des grasse mat Je les fais et c'est pas grave. Et donc c'est ça, notre sixième point, c'est qu'en fait, On va peut être pendant cette période, canaliser son attention à partir de la fin des règles parce qu'on fait donc on ne fait pas un cours de symptothermie ici, celles qu'on suivit. Le Serenity club vont très bien comprendre ce ce qu'on raconte pour les autres. Ce sera peut être un tout petit peu plus flou, mais vous aurez au moins quelques notions, mais il nous faut six températures basses. Pour pouvoir avoir une vision de la température basale et valider qu'on a bien ovulé et après, on attend toujours trois températures hautes pour confirmer que c'était bien l'ovulation et pas le rosé de la veille qui a fait monter la température. Donc, en fait, ça fait à peu près neuf températures aller. Si on est un peu large, 10 11 sur un cycle de 28, 30 jours, ce n'est jamais qu'un tiers du temps. Quand on est. Notamment en désir de grossesse. Moi, mon point de vue, mais qui est le mien, c'est qu'il y a tellement de choses qu'on peut lire dans un cycle sur l'équilibre hormonal, sur les possibilités de fécondation, les possibilités d'implantation, etc. Que moi, j'invite toujours les femmes à observer le cycle dans sa globalité. Tellement. Je trouve que c'est précieux. Mais quand on est. En contraception ou en désir de grossesse, mais justement dans un moment où on a besoin de relâcher la pression. Eh bien, on ne va pas regarder tout le cycle c'est pas grave pendant les règles. On va se foutre la paix. sauf si en a un cycle très court et du coup, pour avoir nos températures basses, il faut commencer un peu plus tôt. Mais sinon, on peut se dire qu'on commence à la sortie des règles à prendre cette température. Et dès qu'on a eu ces 3 températures hautes. corrélées avec 3 jours d'assèchement de glaire. C'est ça les règles en symptothermie pareil. On arrête dans ce cas là et ça nous fait toute une fin de cycle où on se prend pas le chou avec son thermomètre. On ne se prend pas le chou avec ses heures de réveil, sachant que les heures de réveil, je fais juste une petite parenthèse là, mais ce n'est pas une heure fixe. Sept h zéro zéro. C'est une fourchette plus ou moins d'une heure et demie. Donc ça veut dire que dans tous les cas, on n'a pas à mettre un réveil. Exactement. On peut. Avoir une heure de réveil, un peu de souplesse toute l'année. Ça c'est au delà de l'été. Ça c'est, il faut aussi s'enlever de la tête que la symptothermie c'est monacal c'est pas vrai, mais non, voilà. On peut se dire que sur ces cycles d'été, une fois qu'on a bien validé qu'on a ovulé que du coup en contraception, on sait qu'on est dans la période infertile sans risque. Et quand on a un désir de grossesse, on sait que les dés sont jetés et que on attend la fin du cycle en espérant une bonne nouvelle. Eh bien, on peut arrêter toute analyse à partir de ce moment là pour justement, ne plus avoir de règles de sympto hermie à appliquer dans son quotidien et juste se concentrer sur cette petite période, celles qui sont en contraception. Vous pouvez faire ça toute celles qui sont en désir de grossesse aussi. Mais si vous vous dites que c'est quand même chouette de vérifier que la progestérone est bien stable. Pendant plusieurs jours que la phase postulatoire est suffisamment longue. Ça reste précieux comme observation, mais l'été à la rigueur, on arrête et on se lâche la grappe et on se repose et on range son thermomètre et on range ses pilulliers aussi, comme on vous disait avec Nolwenn dans l'autre épisode, ça peut être aussi un bon moment pour oublier tout ça et il se concentrer sur soi sur son couple, sur sa famille, sur ce qu'on veut, mais pas forcément sur son thermomètre. est ce qu'il y a des choses que je n'ai pas dites Juliette,

2 e: 17:32

sans que c'est ça l'idée, c'est vraiment vous relâcher avec toutes les observations. Vous pouvez prendre l'année et et de se dire qu'est ce qui est vraiment utile dans la sympto cet été?

Laurène: 17:41

Ouais, sachant gens qu'on dit ça, mais il y en a aussi. Et moi, je sais bien, parce que pour le coup, je vous connais bien pour qui. Ce n'est pas une contrainte et qui ont envie de continuer à contrôler à savoir et pour qui ce relâchement est pas forcément bienvenu ou en tout cas nécessaire. Donc, si c'est tout ce qu'on vous raconte, ça vous parle pas et que vous, au contraire, vous aimez monitor ou vous avez un Tempdrop, par exemple. Moi, c'est mon cas. Donc j'avoue que je ne fais jamais de pause parce que je n'ai aucune contrainte particulière. Donc c'est aussi quelque chose qu'on peut faire. Donc ce n'est pas une injonction à lâcher prise qu'on vous fait là, bien au contraire. Mais c'est une invitation à si vous sentez que ça vous crée trop de contraintes à vous dire que ce n'est pas du tout obligatoire de conserver une observation parfaite tout l'été qu'on peut tout à fait valider son ovulation et pratiquer les règles de la sainte hermie en version très allégée l'été. Donc, si je récapitule, on avait la glaire, on se concentre sur la sensation à l'essuyage le col si on connaît. C'est le bon moment peut être de switcher vers cet indicateur là la température, si elle est un peu différente et le cycle plus globalement, habituels, c'est normal. Faut pas s'alarmer. Le SPM, le SPO éventuellement, peut aussi avoir un moment autour de l'ovulation un peu plus compliqué. Pareil, ça peut être lié au changement de rythme. En bien comme en moins bien sur les changements, la tempéra, là

2 e: 18:55

aussi, on peut être juste rajouter d'être toujours vigilante au fait que, qui dit changement de rythme dit changement possible de moment d'ovulation. Donc en mode contraception. On est toujours bien attentif quand même parce que ce changement de ryth peut vraiment faire. Bousculer notre équilibre hormonal

Laurène: 19:08

en et si vous utilisez une appli qui calcule votre ovulation, la dites vous que c'est le bon moment pour le coup, arrêter d'arrêter de vous mettre à la s parce qu'il y a des chances que l'été par des risques plutôt que l'été. Elle se plante. Donc ça, c'était le quatrième cinquième point. On ne se prend pas la tête. Il y a toujours la possibilité d'exclure les températures perturbées quand il y a eu un élément perturbateur. Et donc ce n'est pas grave. Il n'y a pas besoin d'avoir tous les jours les conditions de prise parfaites et dernier et sixième point. On n'hésite pas à se concentrer sur la période vraiment importante pour les observations et à tout arrêter complètement le reste du temps. Voilà, c'était nos six points. que ça vous aura apporté un petit peu des infos comme ça pour passer ces quelques mois, quelques semaines en vous lâchant un peu la pression. Et voilà. Oui, bon été chacune ou bon été.