
Émancipées, le podcast
Le podcast qui émancipe les femmes (et les hommes !) en leur donnant des clés pour comprendre leur corps et leur cycle, pour leur permettre de maitriser leur fertilité, leur contraception et leurs hormones avec autonomie et confiance !
Le savoir, c’est le pouvoir, et Laurène est bien décidée à vous apporter un max, en répondant à des questions qu’on se pose tous, ou pas, seule ou avec des experts passionnés, pour que votre intimité n’ait plus de secret pour vous !
Émancipées, le podcast
#46 Progestérone naturelle, progestérone bio-identique et progestatif : stop aux idées reçues !
À propos de l’épisode :
On trouve de plus en plus d’études sur les dangers des progestatifs pour la santé des femmes, et notamment sur la hausse du risque de méningiome.
Sauf qu’entre la progestérone qu’on produit naturellement après avoir ovulé, la progestérone dite naturelle ou encore bio identique qu’on peut prendre pour optimiser sa phase lutéale, apaiser son SPM ou encore ses symptômes de périménopause, voire prendre en PMA après un transfert, et les progestatifs que l’on trouve dans les contraceptifs et dans certains traitements hormonaux, on peut vite perdre la tête sur ce qui est “risqué” ou pas.
Dans cet épisode, je reçois Aurélien Nunez, médecin fonctionnel, pour un échange sans tabou ce sujet, pour distinguer ensemble la progestérone naturelle et les progestatifs de synthèse et apprécier objectivement leur impact sur la santé des femmes.
Ensemble, on parle de contraception, de ménopause, de fertilité, de PMA, de SPM, ou encore des risques liés aux traitements hormonaux. Surtout, on va bien au-delà de cette histoire de progestérone, pour parler de la santé hormonale globale des femmes, parce que c’est là dessus que repose la médecine fonctionnelle, et vraiment, c’est passionnant !!
J’espère sincèrement que cet échange vous permettra d’y voir plus clair, d’avoir moins peur peut-être, et de faire des choix éclairés !!
Pour lire l'étude citée dans l'épisode, c'est par là !
Nos Clubs :
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Nos mini-programmes :
🆙 Pour booster sa progestérone en phase post-ovulatoire, c'est par ici !
💦 Et pour une glaire cervicale de folie, c'est par là 😇
Mais aussi...
🖥📱 On est ravis de partager toutes nos connaissances et de vous retrouver (dans la joie et la bonne humeur !) sur notre site web et notre compte Insta !
Laurène: Salut aurélien. Je suis super contente de t'accueillir dans ce podcast parce que j'adore te suivre sur Instagram et j'adore, j'apprends plein de choses avec toi, tes médecins. Tu vas expliquer un petit peu plus le type de médecine que tu pratiques. Et on va parler aujourd'hui de la progestérone des progestatifs de tous les fantasmes, un peu autour de tout ça.
Est ce que tu veux bien, s'il te plaît commencer par te présenter.
Aurélien: Déjà coucou, Lorraine, merci de me recevoir sur ton podcast. Émancipé. Ça me fait très plaisir d'être là. Moi aussi. Je te suis évidemment sur le réseau. J'apprécie beaucoup. Je l'avais dit d'ailleurs par message ton combat. Pour démocratiser, notamment les méthodes [00:03:00] naturelles, autant de fertilité que de contraception.
C'est qui croit avec ces méthodes là, c'est que ça marche pour les deux choses à la fois. Contrairement à la pilule. Bref, on en reviendra peut être aussi sur ça sur cette question, là quoi d'autre? Oui, écoute, donc moi, je suis médecin fonctionnel. Voilà donc la médecine fonctionnelle. J'ai peut être juste faire un petit dessus.
Et parce que les gens souvent ne connaissent pas. Donc, c'est une médecine qui, à la fois pour moi, préventif, mais aussi curatif, parce qu'on prend en charge des patients qui ont déjà très souvent des maladies. Chronique. Donc maladie chronique, ça ne parle pas toujours aux gens, ce terme. Donc les maladies chroniques.
Pour moi, c'est une maladie cardiovasculaire, par exemple. Donc avoir de l'insuffisance cardiaque parce qu'on a eu un infarctus, c'est les maladies neurodégénératives. Donc, par exemple, la maladie d'Alzheimer, la maladie Parkinson, ça va être aussi tout ce qui est maladie autoimmune qui est de plus en plus fréquent qui touche particulièrement les femmes.
C'est un sujet souvent qui intéresse beaucoup.
Laurène: la thyroïde, notamment
Aurélien: voilà tout ce qui est problème aussi endocriniens. [00:04:00] Donc tyroïde, très fréquent. On faut aussi très fréquemment les gens fatigués qui ont été en burn out. Donc des manque de cortisol, on en parlera peut être de ce stress parce que ça joue aussi beaucoup sur sur les femmes et à la ménopause en particulier.
Et voilà. Puis après des pathologies plus complexes, comme la fibro migi en fait, on reçoit un peu de tout. C'est la réalité.
Aurélien: On reçoit aussi beaucoup de gens en errance médicale. Donc, tu vois tu tu un peu tout, mais en gros, globalement, c'est quoi la différence avec la médecine fonctionnelle par rapport à la médecine conventionnelle?
On va dire, c'est l'approche déjà. C'est à dire que nous on essaie de prendre de traiter le patient, sa globalité. On essaye vraiment de trouver les causes profondes des maladies. C'est à dire, pas juste parfois faire du symptomatique.
Laurène: pansement ou.
Aurélien: C'est ça et plutôt se dire bon, ok, cette patiente a t, elle est tel symptôme.
Je peux lui donner ces choses là pour qu'elle a mieux, mais en réalité, qu'est ce qui se passe? Quelles sont les causes? Qu'est ce qui explique que la maladie se développe à ce point là? Parce qu'en [00:05:00] fait la réalité, c'est qu'au niveau scientifique, on les connaît. Les causes. En fait, il y en a plein qui reviennent à chaque fois qu'ils doivent parler l'inflammation chronique, le stress oxydant les problèmes de très actuels de manger trop de trucs.
Donc des métabolisme avec une insuline très souvent, très haute. On parle d'un inulin les problèmes de cholestérol. Et puis évidemment ça va te parler beaucoup plus. C'est des problèmes hormonaux. Donc, avoir une théorie de ralenti. Avoir des déficits d'hormones œstrogène progestérone, surtout durant la ménopause ou péri ménopause.
C'est des étapes clés chez la femme ou souvent des déclenchements, des maladies ou il y a vraiment une baisse de forme. C'est flagrant. En quoi les patientes elles arrivent au cabinet. Elles vont te dire le docteur là je viens, puisque que ça ne va pas quoi? J'ai eu 40 ans et je me sens épuisé. Fatigué anxieuse, j'ai pris.
Héritable j'ai pris cinq kilos d'un coup, je ne sais pas ce qui m'arrive. On voit bien qu a un impact énorme des hormones et des hormones féminines, en particulier [00:06:00] sur globalement la santé et sur le déclenchement des maladies. Voilà. Et puis après un ax très important qu'on regarde, je juste le ci pour terminer, parce que je fais beaucoup de je me dédie grande partie de mon temps, de mon activité à ça.
C'est tout ce qui'est des équipes du microbiote intestinal. On c'est pareil que le microbio c'est hyper important qu'il a un impact, pas seulement au niveau digestif, mais global. Après, il y a tout ce qui est système unitaire. Enfin, bref, on a essayé d'avoir une approche globale, de trouver les causes profondes des maladies et ensuite, évidemment de travailler dessus, pas juste en important, par exemple, des compléments, des médicaments, de la phyto, etc, mais aussi en faisant travail important sur l'hygiène de vie.
Je vais quand même le mettre en avant. Donc changer l'alimentation des patients, améliorer et lamentation, c'est fondamental. Refaire du sport. C'est fondamental aussi mieux gérer son stress et un meilleur sommeil. Ça, c'est quatre piliers pour aussi aller mieux et qu'on prend compte, évidemment, médecine fou que je pense que j'ai fait le tour,[00:07:00]
Laurène: Ou tu as fait le tour et merci de l'avoir fait parce que c'est une médecine qui est malheureusement encore pas assez connue et qui, quand on la découvre, on se dit mais en fait, c'est ça. La santé, c'est que tu peux pas cloisonner. Tu vas s'oter tous les pans de ta santé. Moi, je sais que j'ai eu une errance médicale des années.
Pour trouver ma tyroïde parce que j'étais chez un gastro. Toi, j'ai vu plein de médecins et chacun est sur son silo et moi j'adore les médecins fonctionnels comme toi parce que vous êtes les seuls à avoir la big picture à regarder le corps dans son ensemble et à dire, ok, en fait, peut être que te problèmes intestinaux.
Ils sont liés avec ta tyroïde et en fait, j'aurais fait le lien beaucoup plus vite. C'était il y a longtemps. Donc il n'y avait pas encore peut être les réseaux pour vous faire connaître ou peut être que vous étiez moins développés aussi. Ce type de spécialiste là, mais mais voilà, merci d'avoir fait cette explication parce que je pense qu'il y a plein de gens qui vont découvrir la médecine fonctionnelle grâce à toi et et qui sauront que voilà, on peut aussi avoir cette vision globale qu'on n'a pas toujours en médecine, en tout cas, en allant aussi loin qu'un médecin généraliste qui y a cette vision globale, mais là, en allant vraiment aussi loin sur toutes [00:08:00] les relations à l'intérieur, des hormones, des messagers, etc, etc.
Aurélien: En fait, au final, c'est une médecine qui repose sur simplement la définition de l'organisation mondiale de la santé, justement, qu'est ce que la santé, parce qu'ils le définissent justement comme la santé. Ce n'est pas l'absence de maladie, mais un état complet de bien être physique et mental. C'est marrant parce qu'ils le définissent.
Mais après, dans la pratique, un métier plus conventionnel, ils n'appliquent pas du tout parce que quand tu vas pour médecin et que ton bilan sanguin ou même que toi cliniquement, tu te sens pas bien si ça rend pas dans une des tableaux cliniques qu'on a appris à la fac. Et que donc ce n'est pas une maladie ou un syndrome.
Eh bien, le médecin va te dire tout va bien, monsieur. Vous êtes en bonne santé. Vous êtes pas malade circuler rien à voir. Alors qu'en fait clairement, ça rentre pas dans la définition de ce qu'est la santé.
Laurène: Et c'est ce qu'on voit beaucoup pour des sujets qui sont plus proches des miens dans l'infertilité inexpliquée, qui est très dur à vivre pour [00:09:00] pour les couples ou on dit non, tout va bien, mais mais ça ne marche pas même, mais tout va bien. Et ça, c'est très difficile. Parfois, tu aurais envie qu'on ne dise qu'on trouve une cause, pas trop grave, bien sûr, mais au moins quelque chose sur lequel travaillait.
Tu vois?
Aurélien: c'est hyper important ce que tu dis parce qu'il y a beaucoup de les personnes en règle. Génial. On va parler des femmes en particulier, mais c'est pareil pour les hommes. Très souvent, c'est important pour eux de comprendre ce qui se passe et de trouver tu une cause. C'est ce que tu dis.
Laurène: acteur quoi de pouvoir faire quelque chose?
Aurélien: Et c'est vrai que le problème de faire des tableaux cliniques. Moi, j'appelle ça mettre des gens dans les cases. C'est ça, c'est qu'au final, quand il n'y a pas de cases ou les maîtres, c'est terrible pour ces personnes là. Et puis du coup, le médecin n'a pas pas de solution parce que
Laurène: puis tu prends pas au sérieux forcément leurs souffrances si tu n'as pas trouvé une case ou les maîtres. Hyper intéressant, merci pour cette présentation de la médecine fonctionnelle. J'ai une petite question rituelle. Je ne l'ai pas dit en avant, mais t'inquiète, elle est facile. C'est en quoi tu participes à l'émancipation des femmes comme on est sur un podcast qui s'appelle émancipée.
Aurélien: Non, [00:10:00] c'est une question qui est super intéressante et importante. Je pense que depuis un an, je participe enfin à ça. Mais je pense qu'avant je n'y participer pas du tout puisque je me suis enfin formé. Tu vois donc déjà? D'une part, je me suis formé en hormonology donc je me suis formé beaucoup plus aux hormones féminines.
J'ai pu revoir beaucoup plus en détail que parce qu'on voit encore une fois à la FAQ, il faut dire qu'à la FAQ, la gynécologie, c'est vraiment hyper enseignée, la partie physiologie de la femme, ça reste malheureusement encore même actuellement quelque chose de très mal enseigné. Et tu vois, on nous enseigne typiquement que toutes les femmes ont des cycles de 28 jours.
Par c'est totalement faux, mais faux. On nous enseigne pas. Faites toutes les subtilités. On ne nous enseigne pas non plus qu'en fait la progestérone et les œstrogènes ont plein d'actions importantes chez la femme, que ce soit au niveau physique, au niveau cognitif, au niveau du bien être émotionnel, on nous apprend juste [00:11:00] les œstrogènes.
Voilà quand la femme a la puberté, ça va servir à développer les caractères primaires sexuels. Vois, c'est vraiment les trucs super basiques. Et en fait le reste, on n'apprend pas quoi. Donc en fait, on ne sait pas nous, médecins que, en fait, c'est important que les femmes et des bons niveaux de œstrogène et de projet pour se sentir bien.
Donc voilà déjà, d'une part, je participe à ça parce que maintenant j'ai compris tout ça. Et donc j'en tiens compte dans mes consultations avec mes chères patientes. Et le deuxième chose, c'est que je me suis aussi formé du coup aux méthodes d'observation du cycle. Donc dans la sympto hermie sy the. De toute façon, ça englobe de ce que j'ai pu faire.
Observation de la guerre cervicale et prise de la température. Donc, du coup, je participe activement, pas forcément à former mes passions directement, mais moi, je comprends ce qui leur arrive quand elles arrivent avec leur petits tableaux de sympto hermie déjà, ça me parle.
Laurène: lève
Aurélien: ça, ces petites cases avec des petits points rouges.
Je sais que c'est des spottings ou je sais, ça dépend à quel moment. Mais voilà, ça me parle un peu [00:12:00] plus. Et puis du coup aussi sur le thème de la pilule qui pas si on va l'aborder aujourd'hui, mais du coup, j'ai une autre vision et j'essaye en tenant compte évidemment de la volonté de la personne et des cas individuels.
J'essaie quand même très souvent de leur faire arrêter. Ou de leur proposer des alternatives rapidement vers des méthodes naturelles de contraception.
Laurène: ou.
Aurélien: Puisqu'on sait qu'aujourd'hui je pense que tu l'as déjà abordé plein de fois sur ta chaîne, mais on connaît tous les défauts de la pilule contraceptive et en quoi en fait, ça a été et ça va répondre encore à ta question, à quel point ça a été une mascarade pour moi, en tout cas sur l'anticipation réelle de la femme.
Laurène: Un
Aurélien: Parce qu'en fait ça a été non émancipation. Oui, mais qui est venue avec des conséquences péris
Laurène: sexuelle, mais au détriment de la santé et du bien être des femmes. Quoi?
Aurélien: Avec une augmentation énorme du risque de cancer du sein notamment. Et puis, comme on l'a dit, toi et moi récemment, ça coupe, ça [00:13:00] coupe les cycles naturels de la femme. Donc elles ont plus leurs hormones. Donc c'est aussi quelque part, vivre toute sa vie sans être vraiment une femme. Ce que on est une femme aussi parce qu'on a vu et parce qu'on alterne ces cycles, ses faces, je veux dire, et qu'on a justement et une vie qui est cyclique alors que nous, les hommes, on est beaucoup plus constants, même si on peut il y quand, quand même des microcycles tous les jours.
Mais je trouve ça terrible. En fait, quand j'ai repensé, après de me dire ça, il y a des femmes, il y a des générations entières qui ont vécu, peut être 20 30 ans sans avoir leur cycle
Laurène: Oui. Ah ben, oui, moi, ma mère, c'est ça, nos mamans, c'est ça. Et moi, je trouve toujours intéressant de faire le pendant côté masculin. Te dire si tu disais aux hommes que tu allais couper leur testostérone pendant 30 ans, mais viendrait fou. C'est à dire, mais pas du tout, jamais. Et c'est vrai que ça. On a. Oui.
Laurène: Oui, voilà. Ça change la personnalité. C'est hyper intéressant, mais ça nous fait une transition très bien avec justement le thème du jour que je voulais aborder avec toi parce que justement autour de cette progestérone de [00:14:00] synthèse, notamment qu'on trouve dans les pilules, on appelle les progestatifs de la progestérone qu'on peut prendre a contrario plus pour soutenir le cycle de la femme quand elle a un site naturel, la projet naturelle qu'on produit soi même.
Je pense qu'il y a plein de gens pour qui ce n'est pas clair et que parfois, quand tu vois passer des papiers sur les risques. Des projet natifs pour la santé, tous les risques de megio mais etc. Ça peut te faire flipper si toi, par exemple, est ce que t'es en PMA ou parce que t'es en péri, ménopause ou pour plein d'autres raisons.
On t'a prescrit de la progestérone type progest ultra progest, etc. Et d'un coup, tu vas dire maintenant est ce que je suis pas en train de faire n'importe quoi. Donc je voulais qu'avec ton oeil de médecin qui connaît bien les molécules, la chimie et l'effet, surtout sur la santé, qu'on fasse un peu un état des lieux de tout ce qu'on classe derrière le mot progestérone.
Et en fait des effets positifs négatifs sur la santé pour que les femmes elles puissent faire après un choix éclairé sur est ce que moi j'en ai besoin est ce que je n'en ai pas besoin est ce que ce que je prends dans la pilule. C'est la même chose que ce que je prends en PMA. Et voilà un peu, en gros, [00:15:00] le panorama que j'aimerais qu'on dresse peut être qu'on peut commencer en deux mots par dire ce que c'est la projete tout court, celle qu'une femme produit dans l'absolu.
Et puis après, on parle de ces substituts qui existent dans la médecine.
Aurélien: Ok, donc, c'est une question intéressante qui revient souvent quand même tout le monde se pose cette question là et je me rends compte que ce n'est pas forcément clair qu'on parle aux gens justement de hormones naturelles et hormones de synthèse. Donc, en fait, il y a plusieurs. Alors. La progest évidemment.
Donc c'est l'hormone produite par la femme naturellement, notamment en phase après l'ovulation durant la phase leale. C'est une hormone très importante déjà pour la santé mentale, parce que c'est une hormone. Qui a des des effets GABA allergiques. Donc c'est à dire qui vont avoir des effets apaisant sur la femme vraiment antidépresseurs naturel, anxiolytique naturel.
C'est un effet sur la sérotonine. Donc pareil, ça va aider au niveau de [00:16:00] l'anxiété. Et donc cette progest, évidemment, on peut la produire en laboratoire. Donc on peut faire des médicaments base de projet stene ce n'est pas parce qu'on l'a produit, un laboratoire que ça devient une hormone de synthèse, ça reste la même structure biochimique que notre projet que notre corps produit.
En revanche, maintenant, on a la capacité depuis des années de fabriquer des projet staif qui sont aussi des hormones fabriquées en laboratoire, mais qui vont avoir des structures moléculaires qui sont différentes. De la progest elle va et elles vont se rapprocher, mais elles sont différentes. Et donc c'est ces pro qui posent problème parce que très souvent, ça ne va pas voir le même impact sur notre organisme parce que nous, on a des récepteurs à la progestérone qui sont habitués à recevoir cette molécule de progestérone qu'il y a une certaine structure et ces hormones de synthèse.
Souvent, elles ont été modifiées pour donner des propriétés différentes, par exemple, des demi vies d'action beaucoup plus longues. Et des effets plus puissants. Et en fait, la réalité, c'est [00:17:00] déjà dehors. C'est qu'on sait même pas d'oser au niveau sanguin. Ces hormones là, c'est à dire que quand une femme prend, par exemple du dufton qui est très donnée en PMA ou des fois même en ménopause qui n'est pas de la progestérone. C'est la déroge. Donc une autre molécule, cette molécule là, elle va pas, on ne peut pas faire de dosage de façon dans le sang, par exemple, et et voir si une personne est sur dosée. Donc déjà, ça amène des problèmes. Je trouve déjà juste sur le suivi des patientes et
Laurène: ou on la détecte pas par prise de sang contrairement à ta prosterol naturelle quand tu fais ton dosage en post-ovulatoire
Aurélien: un premier problème sur la sécurité des traitements
Laurène: c'est
Aurélien: et ça, on va revenir quand on va parler les traitements substitutif parce que pour la ménopause, parce que c que tu veux en arriver aussi de là, quelque part,
Laurène: Oui
Aurélien: c'est la sécurité et le suivi des patientes.
Ça, c'est le premier point. Et deuxième point du coup, évidemment, elles vont générer des effets secondaires qui sont bien plus importants que notre propre hormone lié à ce manque. Cette différence moléculaire. Ça, c'est aussi de l'autre point, [00:18:00] parmi les effets secondaires. On a évoqué un récemment. Je sais que qu'en ce moment, il y avait pas mal de progression autour de ça.
C'est les méninges là.
Laurène: expliquer en deux mots ce que c'est le méningiome parce qu'il y a plein de gens qui disent ça, mais ils savent pas
Aurélien: lening c'est juste, c'est une tumeur, mais bénie. Donc ce n'est pas un cancer, c'est une tumeur bénie des méninges qui sont les membranes qui recouvrent le cerveau.
Laurène: ou.
Aurélien: Et on sait que du coup, en tout cas, il y avait des doutes jusqu'à présent que même les projet puissent favoriser le développement de ce type de tumeur.
Laurène: La projection naturelle.
Aurélien: Voilà en tout cas, c'était le débat actuel. Moi, je regarde à nouveau ces derniers jours parce que, justement, j'avais ce débat avec d'autres amis médecins. Il n'y a pas longtemps encore. Même l'agence de sécurité du médicament en France a publié des informations dessus et clairement, il met était en avant le problème lié aux hormones de synthèse.
Laurène: Oui,
Aurélien: Tu vois, je ne sais plus si je l'avais ouvert, mais je dois l'avoir par là. Oui, je l'ai, je crois. Et.
Laurène: as le lien, tu me le donneras moi. J'aime bien mettre les liens après en
Aurélien: voilà, je mettrai le lien, mais en [00:19:00] fait à aucun cas dans leurs différents. Tu vois dans leurs différents dans le rapport, ils nomment la progest. Il te nomme le még stone, qui est le col pr. Donc un autre type de progestérone.
C'est marrant parce qu'en fait, on se rend bien compte que ce qui augmente le risque de méninge c'est les hormones de synthèse.
Laurène: ben? Oui, bien sûr.
Aurélien: Justement lié, je pense à cette différentes structures et au fait qu'elles ne sont pas, c'est une molécules qui n'existe pas dans notre corps. En fait, j'explique ça parce que c'est plus logique pour les gens.
Et quand en réfléchit assez à ça, ça devient logique. C'est à dire d'un coup, d'un côté, on une hormone qui est produite naturellement dans notre corps et d'autre côté, on a tout un tas de molécules qui n'existent pas dans notre corps que l'homme a inventé.
Laurène: ou.
Aurélien: Qui, oui, ont inaction et apportent un bénéfice parfois aux femmes, mais qui vont entraîner évidemment tout atteint des faits secondaires liés au fait qu'elles n'existent pas dans notre corps et que le corps va
Laurène: on n'a pas, on se crée pas des auto effets secondaires nous mêmes à l'inter notre corps. C'est en général quand on amène quelque chose d'étranger.
Aurélien: Et je me méfie toujours, tu vois de toutes les polémiques qui [00:20:00] surgissent parce qu'il va en avoir d'autres. Il y en a déjà eu avant sur la progestérone ou sur même les œstrogènes naturels qu'on produit. Parce qu'en fait, c'est quelque part, c'est pas logique. On vit avec ces hormones, toutes nos vies.
Et d'un coup, on va nous dire à banon si vous en prenez, c'est dangereux pour la santé. Alors évidemment, si on donne des doses de cheval et qu'on ne contrôle pas derrière les bilans sanguins et que les femmes sont en excès.
Laurène: Là, tu dis si on prend la pro des œstrogènes de la product naturelle, mais quand même faite en laboratoire, jusqu'il y a la même molécule que celle qu'on produit soi
Aurélien: Et en fait, il n'y a pas de risque après, il y a toute une question de dosage. C'est là ou le médecin doit être reformé pour accompagner les femmes et ou les personnes dont ne doivent pas non plus s'auto médiquer, mais ça n'a rien à voir avec les hor de synthèse.
Laurène: Ouais. Ou est ce qu'on peut se faire. Aurélien un petit point sur justement cette progestative de synthèse. Dans quel cas on apprend, il y a la pilule et tu parlais du dufton. Tu vois, c'est un peu les deux grands moments ou on peut en prendre
Aurélien: Oui en [00:21:00] général dans les progestatifs
Laurène: pap pilule ou autre contraceptif
Aurélien: et ça et autres. Donc dispositif in train du terrain ou il y a souvent des projets natifs aussi
Laurène: ouais.
Aurélien: avec.
Laurène: Stérile hormonal, un
Aurélien: Voilà,
Laurène: tous tous ces contraceptifs hormonaux. Donc là c'est un projet staif qui en fait va je te laisse expliquer mais vient en gros.
Aurélien: ces projets qui vont en gros vont avoir des effets au niveau de l'hypophyse pour notamment couper l OV l'ovulation.
Laurène: Oui,
Aurélien: Et donc si la femme ne veulent pas pas de risque lors des rapports de tomber enceinte. D'ailleurs, souvent, je pense que tu as dû l'expliquer. C'est pour ça qu'on s'arrange dans les plaquettes pour qu'il y ait certains jours ou ça soit des fausses des pilules sans le principe actif qui soit dans la plaquette pour que la femme saigne artificiellement.
Laurène: Oui.
Aurélien: Quelques jours durant son cycle. Il faut savoir que c'est des stratégies marketing qui ont été réfléchies depuis des années par les industries pharmaceutiques, parce qu'ils se sont rendu compte que si une femme ne [00:22:00] saigne pas tous les mois. Elle va se rendre compte du coup que ça normal. Et donc ça va lui faire peur.
Et donc on se dit bon, on va faire ça pour qu'au moins elles n'aient pas peur, mais c'est pour ça et beaucoup de femmes en consultation. Je pense que ça arrive aussi sur sur ta chaîne et sur tes différents forums. Raisons sociaux. Il y a beaucoup de femmes qui pensent réellement qu'elles ont des règles soupir pillées,
Laurène: bien sûr, on a fait un épisode là dessus avec marc affronte qui est le pseudo Martin vincla qui parle beaucoup de ça sur les règles sous pilules qui sont des règles artificielles. Donc je mettrais le lien aussi de cet épisode là, il explique justement exactement ce que tu dis là du coup, un peu plus en détail puisque l'épisode était là dessus.
Mais oui sur le fait que ça a été créé pour assurer les femmes, mais qu'à la base, le projet staif bloqué le cycle. Donc tu avais plus d'ovulation, plus de saignement non plus. Et c'était comme ça sur le long cours, comme le font certains stériles. Et d'ailleurs tu as plein de stériles aujourd'hui ou tu as plus de cycle du coup, les femmes ont plus la règle et le vive.
Très bien, tu vois qui bloqué son cycle autant bloquer l' saignements. Mais donc ça, c'est les projets staif dans les contracept hormonaux,
Aurélien: Ou
Laurène: pilules stériles,
Aurélien: etc, [00:23:00] etc. Après moi, je trouve que ce qui pose encore plus quand même dans les cellules contraceptives, c'est plus les œstrogènes de synthèse pour le coup.
Laurène: Ou pas les puis le combiné ou,
Aurélien: Pour les pilules combinées que je trouve particulièrement néfaste. Je pense que tu es d'accord avec ça et qui augmente, qui soumet la femme à des doses d' œstrogène énorme.
Et par contre, tu peux le voir sur la biologie. Tu ne peux pas d'oser encore une fois, ces œstrogènes de synthèse. Donc on ne peut même pas savoir si c'est évident. En fait, il y a une chose aussi que j'aimerais bien souligner parce qu'on parle de médecine fonctionnelle, c'est le fait en fait qu'en médecine fonctionne, on considère déjà qu'on est tous différents.
On sait qu'on est tous différents que ça soit de par déjà notre génétique. De par notre épigénétique, c'est à dire l'impact de l'environnement sur nos gènes, l'alimentation, l'activité physique, comme on gère le stress. Si on a reçu de l'amour durant notre enfance, etc, etc. Il y a plein de choses dans les facteurs épigénétiques.
On sait qu'on a un microbiote qui est unique pour chacun. Donc, en fait, comprend toutes ces considérations, là se dire [00:24:00] qu'actuellement à toutes les femmes. On donne la même dose de pilules contraceptives alors que c'est évident pour toutes les raisons que je viens de nommer qu'elles vont pas toutes gérer ces doses d' œstrogène.
De la même manière, elles n'ont pas toutes les mêmes métabolisé de la même manière en fait et qu'on ne peut pas les doser. En vrai, c'est de la folie d'un point de vue médical, parce qu'en fait, il y a plein de femmes pour qui ils sont sur de jazz actuellement d' œstrogène de synthèse et qui vont très probablement, malheureusement, si elles le prennent durant 20, 30 ou 40 ans, développer un corsaire du sein,
Laurène: Tu vas nous faire flipper après, il y a des raison de le dire. Il y a différents types de pilules quand même les gy adaptent selon ce que la femme fume son hygiène de vie
Aurélien: ça
Laurène: pas donner des œstrogènes à ces femmes là.
Aurélien: et les effets secondaires
Laurène: Voilà est ce que tu as des effets secondaires. Tu peux arrêter quand même une pilule qui
Aurélien: C'est ça,
Laurène: correspond, mais tu ne peux pas vérifier par la biologie.
En revanche, c'est juste du symptôme. Quoi?
Aurélien: c'est ça. Tu ne veux pas par la biologie? Il y a des femmes peut être qui sont bien sous pilule contraceptives et [00:25:00] qui, en fait, en sont sur dosage.
Laurène: Oui et c'est intéressant. Ok, donc ça, c'est le projet staif et du coup et les œstrogènes de synthèse pour les pilules combinées, c'est dans la version contraception. Et après tu parlais du du fast on parce que j'ai un, bien qu'on fasse justement la distinction entre les différents types de progestatifs progestérone naturel qu'on peut prendre.
Pas quand on est sous pilule, au contraire pour soutenir sa face post-ovulatoire notamment le du fast tombe, mais aussi trois gestion pro gestion qu'on distingue un peu les trois par les deux trois gestion pro gestion d'un côté et du fast ton de l'autre.
Aurélien: donc duphaston le duphaston. C'est différent parce que du fasto il n'a pas une action du coup déjà. C'est un projet staif, mais on pourrait l'appeler aussi projet. C'est une hormone de synthèse, mais qui ne va pas avoir une action si puissante. Son but c n'est pas de couper les cycles de la femme. C'est plus une action qui va être.
Similaire à la progestérone de la femme avec sa [00:26:00] particular a été que, du coup, c'est une hormone de synthèse. Des fois c'est un avantage, c'est certaines femmes. Il y a des femmes qui ont tendance, par exemple, ça, je le vois dans mes suivis à convertir la progestérone en œstrogène. Donc je sais que c'est un peu bizarre de se dire ça, en tout cas pour les pros de santé qui nous écouteront, mais ça arrive.
Et c'est vrai que dans ces cas là donner du du façon ça veut être intéressant parce que du bason, il va jamais se transformer en œstrogène du fait que c'est une hormone de synthèse. Donc c'est pour ça que souvent, même en PMA, des fois je ne sais pas, il y a des médecins, il préfèrent donner du fast ton du coup pour remonter la progestérone, même si ce n'est pas vraiment de l'approche thé, mais ça, une action quand même centrale et très souvent par là.
Il cherche soit et il y a déjà une fécondation, une vitro. Il y a déjà eu la femme est déjà enceinte entre guillemets, et pour sécuriser la grossesse, on va donner des grosses doses de progestérone ou de du fast tombe, ce qui va permettre d'éviter ou de diminuer le risque, en tout cas, de fausses couches.
Laurène: Oui,
Aurélien: [00:27:00] Notamment vient une meilleure adhérence au niveau de l'utérus, moins de contraction, moins de dilatation, du col de l'urus, etc. Donc ça, c'est très souvent utilisé en PMA, les grosses doses de projet d'accompagnement. Moi, ça m'arrive aussi d'en faire dans mes suivis fertilité ou en tout cas grossesse.
Grosse. Et ça, j'ai déjà donné des doses, mais plutôt de progestérone. Donc plutôt l'estant en soutien. Et donc, effectivement là, on va suivre une courbe. Et on va essayer vraiment de s'assurer via des dosages que la que la femme enceinte est toujours à des niveaux adéquats de progestérone pour sécuriser la
Laurène: tu peux pas faire avec le dufton du coup, on n'est d'accord que du faon. Tu le détecte pas par
Aurélien: voilà ça. On ne peut pas détecter, même si, effectivement, il y a quand même des médecins qui donnent du fast tombe dans ce sens là en PMA.
Laurène: Et attends, je fais une micro parenthèse parce que pour le coup, je sais qu'il y a plein de femmes qui s'intéressent à ça. Donc si tu prends l'est, gestion progest tu et que tu fais un dosage à j postulation que tu vas voir dans ton résultat. Ta propre propre pro [00:28:00] g plus celle là, ce qui n'est pas le cas de du façon tu verras que ta propre pro g gestion et idem sur la courbe de température de du façon il ne va pas faire monter la température là ou progest hydro gestant va faire monter la température.
Donc tu peux si t à une montée de température, en prenant de du façon il ne faut pas se dire c'est c n'est pas vrai. J'ai peut être pas OV volé. C'est juste le du façon si tu as bien ovée alors qu'à contrario, avec progest ultra gest, ça a l'action aussi hyper thermique de la pro puisque c'est la même molécule.
Donc tu vas avoir ce décalage. De température.
Aurélien: Ça se
Laurène: C'était ma parenthèse symptôme
Aurélien: c'est ça sympto je n'avais pas cette notion ou tout cas. Je l'ai oublié si je l'avais. Mais c'est intéressant, ça montre encore une fois, bien ce que je te dis, que ça n'a pas du tout en fait les pas exactement les mêmes effets
Laurène: Ouais. Il y en a un qui agit exactement comme celle que tu produis et l'autre nom
Aurélien: Donc, dans ce que je voulais citer, j'ai cité ne bloc pas le violation pour le du fast tombe.
Je réfléchissais à ce que tu me disais, il y a aussi moins des effets secondaires neurologiques, apparemment sur la somnolence de vertige. [00:29:00] On va repasser moi aussi tout ça, c'est efficace. Donc ce cycle monstre, on l'a déjà dit, ça peut utiliser dans les traitements substitutif hormonales, on l'a déjà dit plus ou moins parce qu'on n'a pas encore
Laurène: Oui, on va y revenir
Aurélien: Mais probablement avec ce dont on a parlé, toi et moi avec un risque plus important de méningiome sur le du
Laurène: Ou ou intéressant et du fast on qu'on donne aussi beaucoup pour je mets des guillemets faire revenir les cycles des femmes. Et ça, c'est un truc, moi que pour le coup, j'ai fait pas mal de contenu là dessus parce que il y a plein de femmes à qui ont fait des femmes en améliorer, par exemple, à qui on fait prendre du du fast pour mimer justement une chute hormonale de fins de cycle et des femmes voient revenir leurs règles.
Mais il faut bien avoir en tête que ça ne veut pas dire qu'elles ont vu les c'est juste qu'on a mimé. Une chute hormonale peut être que du coup ça va permettre de faire un recette des hormones et que derrière le cycle va repartir. Mais ce n'est pas parce qu'on a pris du du façon qu'on a eu enseignement que ça veut dire qu'on a retrouvé des cycles.
Ce n'est pas du tout ça, c'est qu'on a juste fait un espèce de [00:30:00] recette au milieu en mimant cette fin de cycle.
Aurélien: D'où l'intérêt la s the, parce qu'il y a encore beaucoup de ou des techniques d'observation du cycle. En règle général, beaucoup de femmes posent encore pensent encore, malheureusement, que l'événement central de leur cycle, c'est les règles,
Laurène: Ou
Aurélien: les menstruation, alors que l'événement central c'est l'ovulation et ça,
Laurène: mais elle est moins visible.
Aurélien: Elle n'est pas visible, en tout cas, tant qu'on n'apprend pas à la repérer. Une chose qu'on devrait faire depuis, je pense, à l'époque du lycée, à peu près, ou on devrait apprendre aux femmes à s'observer apprendre aux hommes. À savoir en tout cas que les femmes sont différentes de nous dans ce sens, là qu'elles ont des cycles, qu'il y a des phases ou il faut peut être plus les accompagner que d'autres.
On devra en tout être au courant de tout ça. Ce n'est pas le cas. Et donc, du coup, effectivement, du fast tombe du coup les berne parce qu'elles vont être focus sur les règles et pas sur l'ovulation.
Laurène: Ouais exactement. Mais donc ça, c'est de façon a contrario, toi, tu disais que tu donnes une trop GE qu'on [00:31:00] connaît aussi sous le nom du générique progest. Donc ça qu'on explique ça, c'est. Une molécule faite en laboratoire mais qui est identique à notre progestérone naturel. Et c'est là ou c'est intéressant parce que c'est très différent et ça peut être beaucoup plus vertueux pour aider les femmes qui n'ont pas assez de pérone.
Aurélien: Voilà alors je pense que tu as bien résumé. On revient encore une fois simplement à la bio, à la chimie et de se dire que c'est exactement la même molécule. Donc elle va être parfaitement reconnue par les différents secteurs de notre corps, par les différents transporteurs de notre corps aussi. Donc, comme lag, on n'a pas évoqué un mais message hdg qui s'élève aussi énormément la paysage léger pour les gens qui ne sont pas.
Pro de santé. C'est en gros la protéine qui va transporter dans notre sang les œstrogènes en particulier. Et la testostérone. Donc là, je fais un petit saut à nouveau sur les œstrogènes, mais je voulais juste souligné ça que justement les femmes, très souvent sous pilules, ont des niveaux très élevés des ch BG.
Donc cette protéine là de transport. Et en fait, le problème que ça pose, c'est qu'elles vont moins bien [00:32:00] libérer leur testostérone aussi et leurs gènes naturelles. Donc elles vont une carecer dans ces hormones là. Donc je faisais ce petit poids là parce que je pense ça à ça, mais par rapport à ce que tu dis c, ça, c'est un problème qui ne va pas arriver du coup avec l'utrogestan voilà pas impact.
Aurélien: Et l'utrogestan donc, ce qui est intéressant, c'est que du coup, les femmes qui ont des déficits de progestérone, ça va leur permettre de les rééquilibrer sans effets secondaires dans un point d'équilibre. Donc, on va pouvoir suivre parfaitement au niveau des dosages de la progestérone de la femme, justement si elle a assez ou pas et s'il faut augmenter la dose ou pas.
Donc c'est utile, comme je le disais, dans les suivis grossesse. Pour justement que la femme ne décroche pas la courbe d'augmentation naturelle de la projet rendu durant la grossesse et donc être sûr qu'elle ne va pas faire une fausse couche. Je pense que ça, ce n'est pas assez fait, même dans les suivis.
Tu vois normal une
Laurène: Ah, c'est sous côté à mort la processeur et tout le monde s'en fiche.
Aurélien: Tout le monde s'en fiche. Moi le vois bien me suivi grossesse parce que je n'ai pas forcément des suivis grossesses justement. J'en ai d'ailleurs pas beaucoup. [00:33:00] Et aucun moment que ça soit la sage femme ou le médecin va doser ne serait ce qu'une seule fois. Tu vois la progesterone pour se dire ce qu'on est.
Bon. Quoi? Moi chez les femmes, pas trois riches. J'essaie quand même. Tu vois de le faire à chaque trimestre, au début, peut être de le faire tous les mois. Et si je vois qu'elle décroche pas, je me dis ok, c'est bon. Une fois par trimestre, on est bon juste pour vérifier. Mais dans les grossesses à risque ou il y a eu des antécédents vent de fausse couche, c'est, tu vois toutes les ça m'ait de le faire toutes les deux semaines, les neuf mois
Laurène: oui.
Aurélien: d'augmenter d'ar à des doses.
Donc, de même, pour rassurer les femmes, des fois en arrive à des doses de 600 800 milligrammes du triest même je sais, même plus sans pai dos, même plus supérieure à ça sont même à 1000 ou plus. Donc il,
Laurène: PMA, c'est surtout pour les femmes qui ont eu un transfert ou elles n'ont pas produit de corps jaune, elles mêmes. Donc, il faut vraiment complètement la remplacer jusqu'à la fin du premier tri, soit
Aurélien: Et des fois même, il continue. Donc, ce qu'on disait, c'est qu'effectivement le fait que ce soit une hormone exactement identique à notre projeteur [00:34:00] naturels déjà, ça implique moins de problèmes pour le corps et qu'après les effets secondaires sont liés au dosage. C'est ça que je voulais dire et qu' évidemment, s'il y a des mauvais dosages, ça peut entraîner peut être probablement des problèmes comme des mén géome ça peut causer des problèmes, même si, en règle générale, quand tu fais tes formations hormonaux.
Il n'y a pas vraiment d'effets secondaires à la progestérone. On dit plutôt que c'est une hormone saf en comparaison aux œstrogènes ou on sait que en excès, il y a toutes les probatiques liés au cancer.
Laurène: Ou attends même la pro séron naturelle. Donc bio identique qu'on appelle aussi peu entraîner un risque de méninge si on l'en prend trop.
Aurélien: Je pense
Laurène: Ah oui? Ok. Intéressant, d'accord. Et du coup, je rebondi là dessus. C'est quoi les cas ou ça vaut le coup. Pour une femme d'en prendre parce que je te dis moi ce que j'ai en tête, tu à me dire c à d'autres, mais gros SPM ou vraiment, tu sens que tuas pas assez projet péri, ménopause ou tu commences à avoir des SIS qui se cachent la figure et ou il faut la soutenir un peu in fertilité des femmes qui, justement, se rendent [00:35:00] compte qu'elles ont des faces du théâtre trop courtes, des risques, de fausses couches précoces, etc.
Est ce qu'il y a d'autres situations toi dans lesquelles tu penses que c'est
Aurélien: En gros, c'est les situations, moi ou je la prescris, moi sincèrement comme en fonctionnel, on fait quand même pas mal de biologie. On essaie quand même d'avoir des marqueurs précis,
Laurène: Ou
Aurélien: en fait, naturellement chez toutes mes femmes déjà, je vais toujours vérifier la progestérone. Je vais toujours voir si y a un SPM.
C'est SPM. Je vais essayer de le réguler forcément. Donc si c'est un SPM ou le problème, c'est la progestérone qui est basse par rapport aux œstrogènes. Je vais pas forcément toujours donner de, tu vois de la progest en bio identique de l'est. Je vais des fois le faire simplement naturellement. Surtout j'essaye de faire ça chez les femmes qui sont encore dans une phase fertile qui sont jeunes.
J'ai plutôt des sur la phyto, donc plutôt sur du gillier. Tu vois plutôt sur chevillier sur du yan, ce genre de choses. Ça marche vraiment bien. Je trouve en deuxième
Laurène: fait beaucoup, nous [00:36:00] dans le Fertility club, on est à fond là dessus
Aurélien: Donc c'est top et en deuxième partie de cycle du coup, mais ça, je pense que du coup, ils le savent mais vont plutôt en face du théâtre.
Mais c'est quand même intéressant de le dire. Il y a des manières naturelles de réguler le cycle après, effectivement, que la femme est en péri, ménopause ou ménopause, et que là, elle va vraiment décrocher qu'il va avoir une perte de fonction des ovaires et du coup des ovulations de. Mauvaise qualité, entre guillemets, avec un corps jaune qui est faible et qui va produire peu de progestérone.
C'est là ou ça va commencer à devenir intéressant d'apporter des hormones bio identiques. On sait aussi que la phyt thérapie, c'est surtout une action sur les ovaires et que justement quand la femme commence à être en péri, ménopause et en ménopause aussi. C'est important de le dire, ça va être les glandes surrénales.
Les glandes sud qui vont se substituer entre guillemets et qui en produisant des gènes. Donc d testostérone, qui après sera transformé en œstrogène avec une enzyme qui est l aromatase. [00:37:00] C'est les en gros, nos suréna qui vont, c'est surrénales qui vont prendre le relais chez les femmes en péril. Ménopause donc la ptos c'est là ou c'est moins intéressant parce qu'elle a moins d'action vu que les auvergne marchent moins bien.
Donc c'est là, on donnerait plutôt de la progest. Donc ça, c'est une indication que je vais en donner. Et évidemment la ménopause. Très souvent, c'est des taux effondrés chez les femmes, donc je vais en donner systématiquement et à vie du
Laurène: Avis. C'est la question que j'avais de poser. Oui, oui, c'est ça. C'est qu'en fait dans l'absolu, alors pour le coup, le corps est super, bien fait. Je rebondi sur ce que tu disais tout à l'heure ou on s'auto, attaque pas nous, même avec nos hormones, à créer des effets secondaires. Mais il y a quand même un truc chelo chez les femmes, c'est qu'à un moment, il y a une fonction qui s'arrête et qui, en fait, était accompagné d'hormones qui étaient importantes pour la santé.
Donc est ce qu'on peut se dire que dans ces moments là. Pour certaines femmes, en tout cas pour qui cette carence devient problématique. On peut venir la substituer à vie ou ou on va, on peut se dire non, en effet, comme ça, la nature est bien faite. C'est veut dire qu'une femme a plus besoin de ses hormones à un certain moment.[00:38:00]
Tu vois, je trouve qu'il y a un débat un peu limite philosophique là sur comment on doit se
Aurélien: une question. C'est une question hyper intéressante. Je sais que c'est un des questions qui voit le plus souvent c'est la ménopause. C'est un phénomène naturel, donc il ne faut rien faire.
Laurène: ou.
Aurélien: Ça revient souvent moi, j'ai plusieurs s arguments face à ça. Effectivement, c'est un phénomène naturel, mais déjà un, je pense, premier sujet qu'on peut qu'on pas aborder.
On vit dans un monde de perturbateurs endocriniens. Alors oui, naturel peut être qu'effectivement il y a 100 ans en arrière ou même plus 500 zéro ans en arrière, les femmes étaient ménopausées et vivaient bien leur ménopause
Laurène: Mais peut être plus tard. J'ai absent qu'on est ménopausées de plus en plus tôt là. Non, il n'y a pas un. Je sais pas s'il y a des études là dessus. Je dis peut être une connerie, mais
Aurélien: Et je ne sais pas assez bonne question. Moi, je trouve que tu as raison. Je trouve que globalement, les femmes ont tends ménopausées plutôt
Laurène: ou,
Aurélien: je ne veux pas faire
Laurène: mais c'est caché par la pilule. Il y en a plein qui s'en rentre pas
Aurélien: c'est [00:39:00] caché par la pilule. Je mettrai aussi le thème sur la table des vaccins, mais on développera pas, mais voilà
Laurène: va pas.
Aurélien: et là, mais mais en gros.
Ce que moi je vois, est ce que je pense, c'est que le fait qu'il y a beaucoup de perturbateurs endocriniens dans notre époque, chose qui n'était pas avant fait qu'il y a beaucoup plus de compétition entre le peu de projet restaurants que la femme va produire à la ménopause. Et donc, du coup, elle va être beaucoup moins peut être à l'aise et avoir une moins bonne qualité de vie que peut être, tu vois, 80 ans en arrière quand il y avait beaucoup moins de perturbateurs endocriniens.
Donc ça, c'est la première chose. Je mettrai en avant et qui justifierait pourquoi il faut mettre, il faut mettre en place un traitement. On a substitutif. Le deuxième argument que je mets souvent en avant, c'est que maintenant, si la longévité n'est pas la même avant, les femmes peut être ne vivaient pas autant d'années en ménopause.
Maintenant, la ménopause, on dit souvent c'est un tiers de la vie de la femme. Donc si pour être mal durant un tiers de sa vie, [00:40:00] voilà. Est ce que vraiment dans la balance, tu vois bénéficieux tous les médecins.
Laurène: quoi si tu vis 90, 100 ans c limite la moitié. Quoi,
Aurélien: Voilà, ça peut devenir bientôt la moitié. Donc c'est énorme. En fait, l'impact, on sait en plus que le fait de maintenir les hormones à un certain niveau d'équilibre permet de prévenir tout un tas de maladies chroniques. Donc si on peut les aborder, parce que c'est hyper intéressant,
Laurène: non,
Aurélien: mais je vais les développer.
J'avais un troisième argument qui me revient pas en tête tout de suite, mais ça du coup, ça permet de développer les maladies.
Laurène: Ouais, ouais. Développe les maladies, mais moi, je ne sais pas si du tout si c'était ton troisième argument, mais sur le bien être en fait, c'est que peut être aussi on peut soucier l'impact de ces carences sur les femmes et tu n'as pas envie d'être en état de femmes ménopausées toute ta vie.
Quoi?
Aurélien: Je crois que c'était ça. Ce que je voulais aborder, c'est le fait. Le bien être, tout simplement est le fait que maintenant je pense qu' on a pris conscience que dans le terme santé et on abordé au tout début de la vidéo, il y a la notion de bien être et aussi de quelque [00:41:00] part, la notion d'optimisation aussi quelque part, le fait de trop maximum de tes capacités cognitives et physiques.
Et qu'on n'a pas envie de vivre comme un zombie, faire beaucoup de femmes, je les vois, mais les pauvres, quand elles viennent au cabinet, au tout début et qu'elles sont fait des années qu'elles sont ménopause, c'est un peu des zombies. Quoi sont ralenties?
Laurène: ouais, moi, je pense qu'on peut repper la deuxième moitié de vie des femmes en les accompagnant un peu plus hormonales
Aurélien: Je vois. En plus,
Laurène: cette carence soit
Aurélien: je trouve ça terrible pour la femme parce que très souvent, quand je récupère mes patientes et qui sont en ménopause, elles ont passé, entre guillemets, la majorité de leur vie active a travaillé. À s'occuper de leur famille, très souvent à se s'occuper beaucoup de leurs de leurs familles, de leurs enfants, parce que la femme a comme cette tendance ou cette intrinsèque à se préoccuper beaucoup plus pour ses enfants que l'homme.
Et donc souvent se sacrifier si très souvent était là pour le mari. Et en fait, quand elle est enfin dans cette époque de sa vie entre guillemets ou elle travaille plus [00:42:00] les enfants ont déjà quitté le foyer. Le mari, c'est bon, il est autonom. C'est bon.
Laurène: pas,
Aurélien: Et c'est vrai que souvent il y a aussi des femmes qui sont célibataires à cette époque, là de leur vie.
Et au moment ou elles doivent, tu te dis enfin, elle vont pouvoir profiter de la vie. Elles sont ménopausées, pas pris en charge. Et elles, c'est terrible. Elles ne dorment pas la nuit, elles sont épuisée. Donc oui, ça, c'est un argument plus. Et donc, du coup, juste peut être dernière petite parenthèse sur la préhension des maladies parce qu'on ne le dit pas assez souvent, la ménopause un déjà quand elle est pris en charge, pas un traitant hormonal substitutive, ça va permettre, d'une part, de réduire le risque de maladies cardiovasculaires.
Laurène: Oui,
Aurélien: Et qui augmente énormément à les ménopause, plus de risques d'avoir les artères qui se bougent, d'avoir des infarctus, d'avoir des acv. Donc on sait
Laurène: tu as plus tes hormones qui te protégeaient.
Aurélien: c'est ça. Donc on sait, par exemple, que les œstrogènes aident à éviter le dépôt de cholestérol au niveau des artères. [00:43:00] En particulier d'une protéine qui s'appelle la l'apoprotéine a qui augmente le risque de coagulation.
Si je ne vais pas entrer dans les détails, mais pour les de santé qui t'écouteront, ils seront contents de savoir ça. Deuxième chose, donc de mettre en place un traitement, mon âge substitutif réduit en général sont les études entre si je te dis pas de létude entre 40 à 50 % le risque d'avoir une maladie indic cardiovasculaire.
Donc c'est intéressant
Laurène: Ok.
Aurélien: autre chose à la ménopause, à plus de risque d'avoir de l'os stop aux rose. On sait que les œstrogènes sont vitales pour nos os, pour le renouvellement des os, pour la minéralisation des os pareil, il a encore mettre un traitement monnaie substitutif en place précocement, ça réduit entre 30 à 40 le risque de développer le l'ostéoporose.
Donc, super intéressant. Ça permet aussi de réduire le risque de développer de la résistance à l'insuline et du diabète. Beaucoup de femmes comme je faisais, qui viennent au cabinet ménopausées sont surpoids ou 10 docteurs. Je ne comprends pas d'un coup, j'ai pris cinq à 10 kilos. Eh bien, là, il y a une grosse responsabilité de la progestérone et des œstrogènes dans cette histoire là [00:44:00] et y a aussi plus de risques de développer.
On le voit maintenant. Ça, c'est tout nouveau, mais on voit qu'il y a plus de probabilités de développer des maladies neurodégénératives
Laurène: Oui.
Aurélien: en cas de ménopause. Plus de risques d'avoir maladie d'Alzheimer, de Parkinson. Et enfin, et ça, c'est un peu un autre argument qui qui fait polémique alors que pourtant c'est vrai, il y a des études qui montrent que d'être sous traitement subjective hormonal réduit le risque d'avoir un cancer justement, contrairement à ce qu'on dit, et même un cancer du sein et notamment la société.
Je révisais ça. Je regardais ça hier. La société de gynécologie canadienne. Qui, je pense pas, est moins bonne que la société de gynécologique française qui, eux, recommandent les traitements, mon substitutive, qui, eux, disent que ça permet de réduire le risque jusqu'à 30 % selon les études, le risque d'avoir un cancer du sein.
Mais alors qu'on donne des œstrogènes, encore une fois, c'est là important la notion d'équilibre.
Laurène: Oui,
Aurélien: On peut apporter œstrogène pour combler un déficit et mettre la femme à un point d'équilibre. Sans aller à des niveaux [00:45:00] massive massifs comme on peut le faire, peut être parfois sans le savoir avec la pilule chez certaines femmes.
L'autre point six, c'est que la société canadienne aussi, ce qu'elle mettait en avant, c'est que même elle met en avant des études qui montraient que même après un cancer du sein, le fait de placer les femmes sous traitement horal substitutif n'augmentait pas le risque de et de mortalité.
Laurène: j'ai reçu je te l'enverrait. Je ne sais pas si tu connais le docteur jine prieur qui est canadienne justement qui est une
Aurélien: vient un
Laurène: endocrin ou elle est vraiment spécialisée sur ces sujets de péri. Ménopause et elle expliquait. C'est un épisode en anglais, mais on la traduit tout ça justement.
Qu'en fait, c'est non, c'est même pas que ça augmente pas le risque du cancer, c'est qu'en fait ça le réduit, en tout cas d'une grande partie des cancers, les hormones de de synthèse, justement les hormones bio identiques naturelles, etc. Qu'on peut donner aux femmes, contrairement aux anciens traitements qu'on a pu donner.
Et qui ou que à l'américaine ou je ne sais plus, je crois un peu un combat traitement à la française, traitement à l'américaine ou pour le coup, les [00:46:00] français en est mieux et on donne plutôt désormais naturelles. Mais mais que voilà, c'est non seulement ça augmente pas, mais en plus, ça peut réduire en tout cas pour certains cancers, notamment subissant.
Et je rebondi quand même sur un truc que tu as dit tout à l'heure qui m'a fatigué en disant que quand même sur less, on n'était pas sûr pour la progestérone, même naturelle. Donc il y a quand même un espèce de petit. Arbitrage à faire avec soi, même avec son médecin, avec ses risques, ses antécédents. Ou on peut se dire que la grande majorité des femmes, quand même, ont tout intérêt, si elles ressentent des effets négatifs d'une carence à se suppléer, tu vois, est ce
Aurélien: Pour moi, je pense que toutes les femmes ont intérêt à avoir un traite de pour substitutif, même à base de à base de projectors bio identiques, pas même à base. C'est la seule chose qu'elles devraient prendre. Pourquoi je te dis qu il y a peut être probablement des effets secondaires et peut être aussi risque de Ming.
C'est parce que je pense que ça, c'est valable pour n'importe quelle hormone ou molécules dans le corps, c'est que tout est une question d'équilibre. C'est à l'image de la vie [00:47:00] et et que probablement être en sur de jazz de progestérone. C'est pas forcément, tu vois quelque chose qui est sans risque. Donc c'est dans ce sens là que je le dis.
Mais si la femme est accompagnée, il y a très peu de risques, qu'elle soit sur deux gestes de projet parce qu'elle va être surveiller. Donc c'est dans ce sens ça aussi. Ou je te dis que toutes les femmes devraient prendre de la pro bio identique en quand les ménopausées, si évidemment on en a besoin,
Laurène: Ouais, ménopausées est péri ménopausées moi, tu vois, j'ai 39 ans. Je commence à voir messie qui se casse la gueule et j'en prends de la progestérone bio identique toutes mes deuxième partie cycle. Et je vais vachement mieux. Donc clairement, même assez tôt dans sa vie, quand on commence à avoir des SPM qui augmentent et qu'on se rend compte qu'il y a un souci du côté des cycles qui qui se dérègle.
Ça peut être intéressant après chacun fait avec son médecin. Moi, je suis accompagné, je ne suis pas ça toute seule, mais c'est important.
Aurélien: d'ailleurs, il y pas pas mal, aussi de petits détails qu'on pourrait aborder par rapport à ça que [00:48:00] je n'ai pas abordé, mais que je pense qu'il est important. C'est déjà de un qui a aussi différentes formes de projet que le mode d'administration. C'est aussi important. Je trouve, tu vois, moi, j'ai plutôt très souvent avec mes patientes.
Moi, je préfère apporter la projet via des crèmes en trans dermique. Ou en trans ou en trans vaginal.
Laurène: ouais,
Aurélien: Très souvent, je donne moi plutôt la projecte, d'ailleurs en trans vaginale, parce que il y a plus de récepteurs au niveau du vagin à la progestérone qui permet de donner des doses plus faibles. Donc, encore une fois, de limiter le risque des faits second secondaires.
Donc, par exemple, au niveau du vagin, pour te donner une idée 100 milligrammes du trop gant, en fait, en donnant seulement 30 milligrammes de proe équivaut à 100 milligrammes de progestérone au niveau trans dermique, par exemple.
Laurène: Et par voie orale
Aurélien: Par voie orale. On sait moi, j'aime pas trop au final, donner de la progestérone par voie orale, même de lutte progest parce que du coup va avoir un méta.
La molécule va être métabolisée au niveau du foie et tu perds en général entre [00:49:00] 40 à 60 %. De la progestérone qui va être éliminée par le foie. Donc, au final, des fois, il faut donner des doses plus importantes. Il y a aussi un débat autour de la même de la progestérone via orale sur le fait que ça pourrait éventuellement monter le risque de thrombose.
Je pense que tu vas peut être écouter cela ou de coagulation chose en tout cas, qui n'arrive en aucun cas quand les données par voie transderm ou trans vaginale.
Laurène: Oui, ouais. Par voie vaginale. On va juste pas se mentir ces relo parce que ça s'est coole après et toutes les femmes qui ont déjà déjà appris de la procession par voie vaginale vont comprendre ce que je dis et mais bon.
Aurélien: Donc plutôt prendre en tout cas si on la on la donne. Moi, je recommande du coup le soir au coucher ça vite du coup que ça coule après. Bon, c'est vrai que si on veut avoir des rapports le soir même ça, après ça, s'absorbe assez vite, mais bon, ça peut être un peu gênant. Donc dans ce cas, là vaut mieux donner un trans dermique.
C'est moins
Laurène: on crème? Quoi? Tu, tu, tu tu met à crème?
Aurélien: En crème. Moi, je suis plus pour aussi, sans la pas border, les formulations magistrales si c'est [00:50:00] possible, parce que du coup moi, j'essaie de faire préparation sans excipent. On parle quand même beaucoup maintenant de tout ce qu'on rajoute dans la nourriture très transformée.
C'est pareil en fait qu'on regarde la liste de tout ce que met l'industrie pharmaceutique dans les médicaments. Ce n'est pas de l'amour. Donc moi, je préfère en général faire des préparations magistrales ou ça va être que de l'acide oléique, par exemple comme base. Et puis on met de la projeter en dedans et la ferme
Laurène: ça, tu fais faire à des pharmacies
Aurélien: Ça, je des pharmacies. Et je trouve que c'est mieux parce que du coup, comme tu l'as dit, ça va être une grande partie de la femme de la vie de la femme, ce traitement. Donc autant éviter au maximum tous ces excipients. On sait que dans le projetant, de façon, il y a quand même du dioxyde de titane
Laurène: ouais,
Aurélien: qui n'est pas des petites quantités, mais qui est un métaux lourd qui ne devrait pas être dans notre organisme.
Donc moi, je préfère éviter ça.
Laurène: ou
Aurélien: Voilà. Donc, c'est aussi pour te dire qu'il y a des. Chose importante, tant sur la forme d'administration de la progestérone. Et puis que des fois même, j'ai eu des femmes qui ont des effets secondaires. On pense que c'est à la progestérone, en fait, pour moi, c'est plutôt aux [00:51:00] excipients contenus dans le médicament,
Laurène: Ok, on ne va pas trop faire flipper non plus, mais c'est intéressant malgré tout. Non, non, mais bien sûr,
Aurélien: le but, ce n'est pas de faire flipper. Je pense que c'est important que les que les gens sachent à chaque fois ce qu'ils
Laurène: mais a complètement raison.
Aurélien: Je pense pas que forcément parce qu'il y les micro doses de dioxyde de titane, ce soit tout de suite dramatique. Je pense que c'est bien en parler parce que peut être qu'en par en parlant de plus en plus, on va créer un effet boule de neige et que ça va peut être les pousser à fabriquer de l'oest sans dioxyde de titane.
Ça ce serait
Laurène: Ce serait pas
Aurélien: On va utiliser le pouvoir d'émanciper ces derniers temps, on avait vu dans les journaux pour.
Laurène: lobby anti
Aurélien: c'est ça pour faire, pour faire bouger les choses. Pourquoi pas? Il n'y a pas longtemps, on a sorti une molécule pour la thyroïde du teca, ce qui est beaucoup plus propre. Tu vois, par exemple, que lévo rox qu'on donne traditionnellement.
Donc pourquoi pas avoir l'espoir qui sortent en des autant de lutte gestant comme de l' stadio? Parce qu'on n'a pas pas beaucoup parlé d' œstrogène jusqu'à [00:52:00] présent. Bio identique sans excipent a priori, pas péri pour la santé.
Laurène: Ouais ou on va, on va faire un petit lobby. Bon est ce qu'on a. C'est un épisode un peu long mais passionnant. Donc j'adore quand on va comme ça, bien en profondeur dans les sujets est s'il y a des trucs ultra importants qu'on n'a pas abordé.
Aurélien: on n'a pas parlé beaucoup des œstrogènes pour le coup.
Laurène: Ouais. Après c'était vraiment plus un épisode sur la progest on peut s'en faire un autre sur les gènes si si tu veux un
Aurélien: C'est bon. Je réfléchissais par rapport à la progestérone. Il y a surtout traitement de remplacement en hormonal. La phyto. On en a parlé un petit peu en péri 1000 boss. Intéressant,
Laurène: Ou ça? On va faire un épisode sur la phyto
Aurélien: Ok, voilà donc c'est parfait. Elle expliquera tous les mécanismes. On n'a pas trop parlé.
Hygiène de vie sur, tu vois les choses qui, des fois.
Laurène: Ouais ça pour le coup, c'est ma réponse. Mais on a des épisodes aussi là dessus, plus sur le SPM et sur parce que l'origine du SPM qui peut être à la fois une carence en progestérone, mais aussi [00:53:00] pour beaucoup de femmes, une carence en endorphine, en sérotonine et tout l'impact de l'hygiène de vie du sport, notamment là dessus.
La pro ne fait pas tout parfois, c'est d'autres choses
Aurélien: Ça ou je pense que tu as du coup tu as déjà abordé tout ce qui est aussi le fait de fumer l'alcool. Le sud des a des stimulants de l'armata. Donc du coup, ça fait passer les femmes très souvent en hyper omie et donc les SPM plus marquées et pour la peine ménopause, ça compte aussi du coup, ça fait aussi ce qu'on péri.
Ménopause ça, on l'a pas abordé, mais la première hormone qui va diminuer, c'est la progestérone avant les œstrogènes. Et du coup, ça créé une dominance stro génique beaucoup plus importante qui va augmenter, exacerbé le syndrome pré mensuel. Et donc c'est vrai que là c'est en plus. Et la femme n'a pas une bonne hygiène de vie.
C'est ds pour ça à ce moment là qu'il se rendent compte que ça ne va pas et qui change l'origine de vie qui n'était pas bonne depuis des années. Donc dans ça, du coût trop d'alcool, fumer une alimentation trop riche en sucre [00:54:00] va exacerbé tous ces symptômes là de péri. Ménopause, c'est là que c'est intéressant.
Un suivi sur tout ça.
Laurène: Ouais. Ce qu'on fait, c'est que les personnes qui écoutent si vous avez envie qu'on creuse ces sujets là, vous me direz vous m'envoyez un message et on refera avec aurélien des épisodes ciblés, œstrogène, impact de l'hygiène de vie sur le cycle et les symptômes, etc. Ça peut être chouette.
Aurélien: en gros, pour faire une conclusion sur sur tout ça, moi, je dirais que de toute façon, les traitements, mon substitutive à base de projet, puisqu'on se focus sur ça aujourd'hui, sont vraiment pour le coup. Très, très sûr,
Laurène: Ou
Aurélien: voilà sans risque. Je dirais, même si c'est bien fait que c'est bien suivi, qu'il y ait des dosages de temps en temps pour être sûr que la dose est adaptée à la patiente.
Que la voie d'administration quand même importante. Et il faut trouver ce qui convient le mieux à la femme. Et tu la souligné, j'ai eu des femmes qui se font effectivement pleint de la voix trans vaginale comme pas pratique. Dans, dans ce cas, là, faut pas hésiter à leur offrir d'autres solutions que la voie [00:55:00] orale.
C'est pas forcément l'idéal, mais qu'encore une fois, si c'est la seule solution chez une femme, eh, il faut y aller du coup. Travailler plutôt sur améliorer le fonctionnement de dé intoxication du foie. De ces hormones. Ça, c'est un autre Bill aussi qu'on peut travailler. Et je pense est ce que c'est important, effectivement d'accompagner les femmes, que ça soit en péri, ménopause ou en ménopause que sa représente, on l'a dit.
La moitié de la vie, voire un tiers, un tiers de la vie de la femme dans une époque ou la longévité ne fait que progresser, même s'il souvent au détriment de la qualité de vie. Ça, c'est un autre débat. Et voilà, et que aussi on vit dans un monde de perturbateurs endocriniens. Je le rappelle quand même parce qu'il y a des scandales tout le temps, que ça soit sur l'eau, les pesticides, etc.
Et que ça, ça va contribuer à déséquilibrer encore plus d'équilibre hormonal, naturel, naturel de la femme et que c'est pour ça que beaucoup de femmes actuellement. N'arrivent pas naturellement à se sentir bien au péri, ménopause ou en ménopause et que du coup, dans tous les cas, même si c'était un phénomène naturel, il faut le prendre en [00:56:00] charge
Laurène: Ouais. Ouais. Et il faut essayer de réduire toute cette exposition,
Aurélien: aussi
Laurène: d'aider son corps à se protéger contre ça,
Aurélien: ça, je pense que tu as peut être déjà fait des épisodes sur perturbateur.
Laurène: sur les perturbateurs en nous crier un enfant avec en face dans le fertilité club. Je l'ai sa, elle me déteste. C'est le moment ou elle, elle regrette tout d'être venue, mais elle fait après mais dit non, mais as raison.
Je préfère le savoir, mais mais fallait que je fasse un épisode aussi ou bonne idée.
Aurélien: se
Laurène: le fera
Aurélien: et pas forcément avec moi. Mais en tout cas, il y a plein de choses à dire intéressantes que tu dis sûrement soit tous les produits dans la cuisine, le maquillage, etc. Y plein de choses intéressantes,
Laurène: Ah ou c'est ou fin à la fois, ça fait peur. Et en même temps, il faut se rappeler qu'on peut être acteur de sa santé aussi et qu'il n'y a pas de fatalité et on peut essayer de
Aurélien: quand même sur l'eau. Si tu me permets une petite parenthèse, j'insiste quand même sur l'eau et l'importance en 2025 d'avoir un filt à ou chez soi un minima, voire d'avoir un osmoseurs inverse qui un peu le palier au sin. [00:57:00] Voilà donc bar. On parle plutôt de filt à par grané, mais sincèrement, n'importe qui peut prendre ne serait ce qu'une demi heure de son temps se mettre sur Google.
Et cherché tous les scandales qui à tous les mois, ça soit dans le monde dans le Figaro, parce que même les médias en parlent pour même les médias en parlent des scandales sur les pesticides qu'on retrouve dans l'eau, les micro nano plastiques qu'on retrouve dans l'eau, les perturbateurs endocriniens, on le sait justement que toutes les femmes sous pilule urine du coup beaucoup de métabolites des œstrogènes de la progestérone qui ne sont pas épurés dans les stations de dépuration.
Et qui, donc du coup sont ingérés par nous tous et qui vont contribuer à perturber nos hormones. Donc moi, pour moi, ça c'est quelque chose de simple qui coûte des fois un petit peu cher à l'investissement, mais qui est largement rentable après, c'est mettre un filtra au chez soi pour limiter cette exposition qui vient principalement par lot aussi parce que [00:58:00] souvent je pense que on a parlé l'importance de manger bio, mais très souvent, on sous estime qu'on est fait à 70 d'eau.
Et que le corse a tout de l'eau et que très souvent, l'eau, on ne fait pas attention et c'est une grosse erreur. Donc j'avais quand même envie de mettre ça en avant. Tu vois dans cet épisode le fait de prendre soin afin de faire attention à l'eau qu'on voit que ce soit une autre qualité.
Laurène: ou ouais. Et là dessus, c'est un peu la paix ou le choléra entre les bouteilles en plastique, l'eau du robinet matin. Donc la bonne solution, ça reste de filtrer l'eau du robine. Quoi ou.
Aurélien: à du robinet. Ça, c'est quelque chose qu'on pourra développer, mais il y a plein de techniques différentes. Mais pour faire très simple les filtres par gravité, il y a des marques qui sont top. On a nommé une juste avant et le le mieux du mieux du mieux pour ceux qui ont un peu plus d'argent, c'est l'osmose inverse
Laurène: Oui, moi, mon mari m'a offert ça à Noël pour te dire le degré de toqué de la meuf. Mais j'ai demandé ça, mais c'est très bien sur ravi. Il faut qu'on installe. Merci pour ce rappel, aurélien. Merci pour [00:59:00] ce balayage à la fois de ce sujet. Des progestatifs, la projet naturelle, mais aussi de tout un petit peu ce qui est annexe connexe qui a un impact sur nos hormones.
Tu fais bien de le rappeler. Je suis super contente que tu sois venue expliquer tout ça. J'espère que ça a pris plein de choses et je te dis à bientôt merci au régen.
Aurélien: À très bientôt. Lorraine. Merci à toi.[01:00:00]