Émancipées, le podcast

#54 Symptothermie : oui, partager la charge contraceptive à deux, c’est possible !

• Laurène Sindicic • Season 1 • Episode 54

Share episode

À propos de l’épisode :

Dans cet épisode, Samuel partage son expérience d’homme impliqué dans la symptothermie avec sa compagne ! Il a fait le choix de se former à cette méthode à ses côtés et nous raconte comment ce choix a permis de répartir équitablement la charge contraceptive dans leur couple, et surtout renforcé leur lien (tout en adoptant une méthode de contraception tout à fait fiable (98%) au passage !)

Une conversation sincère et rare sur la pratique de la symptothermie en couple, le rôle des hommes dans la contraception, et ce que veut réellement dire “partager” la charge contraceptive.

💬 Un témoignage précieux pour toutes les femmes et tous les hommes curieux, ouverts ou en questionnement sur ce sujet hyper important de la contraception !

Nos clubs :

🧘‍♀️ Vous aussi, vous souhaitez vous former à la symptothermie, en solo ou en couple ? Go Serenity Club !

📲🎁 Et vous pouvez aussi télécharger notre guide de la symptothermie, qui vous donne de premières clés de compréhension de la méthode !

Nos mini-programmes :

👱‍♂️ Votre amoureux est largué quand on lui parle de cycle menstruel ? Le mini-programme Mon cycle expliqué à mon mec devrait l'aider ! 

Mais aussi...

🖥📱 On est ravis de partager toutes nos connaissances et de vous retrouver (dans la joie et la bonne humeur !) sur notre site web et notre compte Insta ! 😊


Samuel:

Je pense que là je parle à des hommes qui sont globalement en couple et qui ont qui vont essayer la symptothermie. Je n'ai pas eu plus peur que ça. J'avoue, mais je pense que c'est aussi lié à votre équilibre dans votre couple. C'est à dire que si ça ne se passe pas très bien et qu'il y a des complications ou que la confiance n'est pas là, ça ne va pas aider. Je ne m'attendais pas non plus spécialement à mon dieu, une frustration parce que pendant plus d'une semaine, c'est compliqué.

Laurène:

Ça rend créatif. Quoi?

Samuel:

Oui, voilà. En fait, ça rend créatif. On a re de nouveau des bonnes idées. Envie de tester les choses, qu'on faisait plus qu'on faisait mais qu'on faisait plus, et ça vous fait varier vachement de choses.

Laurène:

Bonjour à toutes et à tous. Et j'espère beaucoup à tous dans cet épisode parce qu'on va parler un peu plus des hommes, en tout cas, du regard masculin sur le cycle des femmes sur la smie, sur la contraception. C'est plein de grandes premières pour moi, cet épisode. Alors ce n'est pas la première fois que j'ai un homme, mais c'est la première fois que j'ai un homme sur ce sujet là de la contraception de la smie. C'est la première fois que j'ai des dragons. En fond d'écran et derrière moi pendant l'enregistrement. Donc, si vous écoutez en podcast, n'hésitez pas à faire un tour sur youtube pour voir le set up de mon invité. Mais je vous en dis pas plus. En gros, on va parler de ça. On va parler de sto hermie de ce que ça fait pour un homme en terme de charge mental en terme de changement dans la sexualité en terme de gestion au quotidien de cette contraception, là qu'on ne délègue plus à 100 À une pilule que prendrait sa compagne, mais à quelque chose, on est un peu plus acteur. Donc on va parler tout ça avec Samuel et je le remercie du fond du cœur d'être venu se prêter à l'exercice parce que je sais que ce n'est pas toujours facile. Donc c'est parti. Place à l'épisode. Et hello, sam, merci. C'est la première fois que j'ai un homme non médecin dans mon podcast ou non expert de la fertilité ou que sais donc, tu le sais, je suis très heureuse et c'est une denrée rare de trouver des armes qui viennent de parler de ces sujets. Donc merci pour ça. Si que je te dis ça et j'ai eu un homme qui est venu me parler d'infertilité. Donc j'ai une bêtise. Mais en tout cas sur la sympto et le premier. Donc merci du fond du cœur ensemble, on va parler justement de la vision de l'homme, de la contraception de la sy termine, notamment parce que c'est par là que vous êtes allé avec justine, mais tu l'expliquera mieux que moi. Donc si ça te va, sam, peux tu commencer par te présenter s'il te plaît

Samuel:

Ben. Oui, carrément. Merci à toi. Lorraine, du coup, bonjour à tous. Moi c'est sam. Je suis ingénieur dans le milieu de l' audiovisuel et du coup avec madame avec justine, ça fait maintenant plus de six, sept ans qu'on se connaît. Et ça fait maintenant plus de deux ans qu'on est marié. Et du coup, on a un enfant. On a un petit bébé qui s'appelle rose, qui a 15 mois aujourd'hui, une petite crevette incroyable qui se porte très, très bien. Et forcément, il y a une question qui s'est posée chez nous. C'était la contraception, bien sûr, mais bon ça, on va en reparler du coup pendant le podcast, un peu plus en

Laurène:

Ouais,

Samuel:

Voilà pourquoi je suis là pour

Laurène:

ouais, mais

Samuel:

toi

Laurène:

yes.

Samuel:

ça vraiment intéressant puisque j'ai suivi l'entièreté de tous les lives, en gros avec justine liés à la sympto hermie

Laurène:

que je un jour, vous avez pris la parole tous les deux. Et je ai dit je ne voudrais pas venir dans le podcast, s'il te plaît. C'est à quoi ça dit tout de suite. Oui. Donc c'était un marché conclu. Donc merci Samuel. Toi tu, ça te parle, peut être moins, mais c'est ma question rituelle. Donc je la pose quand même. Est ce que tu peux me dire aujourd'hui. En quoi tu te sens émanciper? Pas.

Samuel:

en quoi je me sens émancipée. C'est marrant comme question. Je sais, évidemment c'est logique,

Laurène:

La posant ou

Samuel:

mais en je me sens émancipé. Je n'ai pas forcément de mots qui mène en tête là tout de suite.

Laurène:

je suis sûr que si je te repose, la question à la fin de l'épisode sera répond on va se faire ça,

Samuel:

à la fin de l'épisode, je pense que je trouverai.

Laurène:

j'en doute pas. Donc sam, ta 30 et quelque, c'est ça.

Samuel:

ça. J'ai 30 ans. Peel,

Laurène:

30 ans, tout pile est ce que tu peux m'expliquer un petit peu. C'est quoi ton histoire? Alors de la sexualité sans forcément rentrer dans les détails, mais du coup de la contraception, comment depuis quel âge tu t'es intéressé à ça? Quelle sont les responsabilités? Peut être que tu as pris comment tu abordé le sujet depuis le début.

Samuel:

Alors globalement, je pense, comme beaucoup d'hommes on apprend ça quand on est au collège, à peu près, j'ai envie de dire un peu comme tout le monde, préservatifs pour hommes de manière globale, c'était vraiment la contraception standard et simple à utiliser. Plus ou moins, c'est secure et fiable quand même, on ne va pas se mentir. Un saut aussi vraiment nous même. On le déchire sans faire exprès. Mais globalement, on va dire que ça s'arrêtait un peu à ça autour de l'homme. Je parle parce qu'évidemment autour des femmes, il y a énormément de contraceptions. Il y en a beaucoup plus que pour les hommes. Ça a toujours été un sujet principalement autour de centré autour de la femme.

Laurène:

Oui.

Samuel:

ça commence à changer quand même pour les hommes. Il y a de plus en plus de contraceptions et de choses qui s'ouvrent sur le sujet. Mais au tout début, je pense, comme tout le monde n'était pas forcément plus renseigné que ça. Après, je me souviens encore ces cours dvt ou on apprend les préservatifs masculins et féminins, ces espèces de sacs poubelle.

Laurène:

On m'a pas montré le féminin. Je n'ai pas le souvenir. Je me suis un très masculin. Ok,

Samuel:

du coup pour le coup, quand on nous a expliqué le préservatif féminin,

Laurène:

c'était pas chaud.

Samuel:

envie. On ne va pas se mentir, ça va plus te gâcher le moment plus qu'autre chose. un peu particulier. bon, préservatif masculin. Après, on a expliqué aussi, bien sûr, les contraceptions hormonales avec la pilule, etc. Autour de la femme, les

Laurène:

Hum

Samuel:

aussi que ça peut provoquer. On sait bien, chacune est différente sur le sujet. il n'y a pas de contraception, en tout cas, pas ma connaissance de là dessus pour les hommes, mais en gros, S'arrêter à ça. Pour moi,

Laurène:

Ouais.

Samuel:

j'ai eu des amis. Comment dire qui ont eu des implants? bien sûr. Hormonales au cuivre de manière générale, avant ma compagne actuelle ou ma femme actuelle, eh bien, c'était principalement préservatif ou comment dire stérile

Laurène:

Papule ça n' pas eu engin de propriétaire.

Samuel:

eu de sur comment dire les personnes avec qui j'ai été. Je n'ai pas eu de femmes qui ont utilisé la pilule. C'était beaucoup de, je crois qu'il y a eu stérilets hormonal, mais principalement stériles et cuivre en gros. Et sinon, sinon, préservatif en fait globalement, c'était ça?

Laurène:

ouais, ou souvent moi ce que je remarque dans les relations c'est que tu commences au préservatif quand tu te connais pas trop, tu vas faire le test de dépistage. Et puis quand t'es secure tu passes à une contraception féminine comme ça,

Samuel:

Oui.

Laurène:

mais ça, c'est le classique, en tout cas.

Samuel:

C'est ça globalement, à quoi s'arrête un peu méconnaissance et

Laurène:

Oui,

Samuel:

du coup maintenant que ça fait quand même pas mal d'années que je suis avec madame et qu'on a eu un bébé et tout se passe bien de ce côté là à merveille, mais forcément. Donc, gros, justine avait toujours eu un stérile et cuivre on se depuis qu'on se connaît et a toujours réinstaurer les cuivres. Et ça pouvait arriver qu'il puisse puisse sentir des gènes, même si on raccourcissait les fils ou ce genre de choses

Laurène:

C'est elle qui était gê c'est toi.

Samuel:

C'était plus elle pour le coup. Moi, je n'ai pas eu de souci de ce côté là.

Laurène:

Tu sentais pas.

Samuel:

qui elle avait vraiment des soucis, pouvait avoir des craintes et pouvait sentir le stérile. Parfois genre de détail qui, du coup évidemment, n'est pas forcément cool. On va pas se mentir et parfois aussi, ça pouvait lui provoquer des règles plus abondantes. Je pense que c'est forcément lié au cuivre, ce genre de choses. Alors ça ne la déréglé pas. Hormonally parlant évidemment, puisque c'était, il n'y a pas d'hormone, il y avait quand même des gènes. Avant notre bébé. Elle avait un stérile cuivre. après s'est posé la question de est ce qu'on remet un stérile ou pas? Elle remet un stérile puisque moi je suis pas suis rien dans l'histoire,

Laurène:

Oui.

Samuel:

Donc on a essayé, elle a essayé de remettre un stérile et cuivre

Laurène:

Elle l'a fait juste après l'accouchement. Comment c'était travail?

Samuel:

peu. Ça a été de mémoire, je crois, deux ou trois mois après quelque chose comme ça dans ces

Laurène:

Si

Samuel:

ça n'a pas été direct de toute façon, il y a le post parum

Laurène:

oui.

Samuel:

n'a pas eu un post parum facile. Donc il y a eu un peu d'attente de ce côté là, mais globalement, c'est, je crois, madame n'est pas à côté de moi pour confirmer, mais je pense que

Laurène:

Oui,

Samuel:

de bêtise entre deux et trois mois

Laurène:

oui.

Samuel:

du stérile. Donc elle a heureuse de nouveau un stérile cuivre. Sauf que ça s'est pas super bien passé, c'est à dire que ça recommençait. Elle le sentait. Elle pouvait avoir des gènes aussi lorsqu'on avait des rapports ou de ce genre de choses et pas forcément de laisser aller parce qu'elle avait des craintes également avec avec le stérile, elle pensait aussi que, des fois il pouvait se déplacer. Elle a eu plusieurs contrôles et au final, non, c'est juste que, et

Laurène:

Ou psychologiquement ça, ça a commencé à gêner.

Samuel:

pense qu'il y avait les deux, il y avait du psychologique, mais aussi du réel. C'est dire que je lui fais confiance dans le sens ou c'est elle, c'est encore, je pense qu'elle sait très bien ce qu'elle ressent. Et quand elle en a pas, y a une véritable différence. C'est là ou on va just en profiter pour parler de la SYN

Laurène:

oui. oui.

Samuel:

Et en fait, c'est elle qui s'est renseignée. Si je n'ai pas de bêtises, c'est sur Instagram qu'elle t'a vu et qu'elle avait parlé de la s hermie. elle connaissait déjà le comment dire le principe. Comme beaucoup de personnes, je pense, mais sans rentrer dans les détails, sans formation ni rien, etc. Et en fait par un ras le bol. On va dire, à un moment donné, on en a longuement discuté. Je suis très, très ouvert à ce genre de discussion. Pour le coup, on est vraiment un couple qui parle énormément. On communique beaucoup, surtout afin que ce soit des sujets relations sexuelles ou autres. On en est discuté, il fallait trouver un autre moyen de contraception et on était d'accord tous les deux que. Tout ce qui était hormone de toute façon, c'est hors de question et je comprends carrément, il n'y avait pas de sujet là dessus et il n'y a pas 1000 possibilités aujourd'hui.

Laurène:

Et la contraception masculine, vous avez creusé?

Samuel:

Alors

Laurène:

T'as regardé.

Samuel:

mais on va dire qu'il y avait rien qui nous convenait réellement. On avait creusé, peut être sans creuser, mais on connaissait, je crois que c'est le SL chauffant ou je ne sais plus quoi.

Laurène:

Ouais ou

Samuel:

tout sauf sexy, un peu complexe.

Laurène:

Ouais, il a

Samuel:

fin ou puis même j'avoue bon ça. On l'a très vite abandonné. On l'a

Laurène:

ou.

Samuel:

essayé, mais globalement, ce n'était pas, on préférait 1000 fois un préservatif. Une fois qu'on a trouvé le bon en soi, c'est pas si mal.

Laurène:

Oui,

Samuel:

Ce n'est pas complexe, ça cache toujours un petit truc, mais globalement, ça va. Donc nous, on était vraiment sur au contraception hommes, c'était préservatif en gros. Et sinon vas sauf qu' on veut peut être au moins un deuxième bébé.

Laurène:

oui,

Samuel:

pas du tout fermé à l'idée, même carrément ouvert, mais pour l'instant, on prévoit quand même potentiellement un deuxième bébé.

Laurène:

oui. Ou.

Samuel:

ce n'est pas pour tout de suite. C'est le coup. Il n'y avait pas beaucoup de choses qui nous convenait. Donc justine est tombée sur la simple theis sur Instagram, surtout d Instagram. Et en fait, du coup, on a parlé, m'a dit j'ai très envie de tester et j'ai vraiment envie de voir. Donc je dis b, il n'y pas pas de souci. Elle m'a expliquer le principe. Je lui dis moi, il n'y a aucun sujet. On participe à deux. Je dirai en gros, on a fait ça à deux, la formation on la paie tous les deux. Je ne vois pas pourquoi ce serait qu'elle qui comment dire qui ferait cette formation et pas moi, Même si évidemment ça me concerne moins parce qu'en fait elle en apprend beaucoup sur elle même. C'est en gros connaître son cycle. Savoir exactement quand est ce qu'on ovule comment ça se passe plein de choses qui sont super intéressantes autour de son corps et de manière générale sur comment se passe un cycle complet. Au début, je devais participer à quelques live avec elle et en fait, dès le premier, je me suis dit en fait, c'est super intéressant. C'est assez cool. au fil, au fur et à mesure des semaines, je crois qu'il y en a que un seul que j'ai loupé. Et c'est parce que j'étais en déplacement. Évidemment, il y a plein de choses que je ne comprenais pas forcément, mais il y a plein de choses qui m'ont aussi ouvert les yeux. Je trouve ça assez ding, parce que là, ça fait deux mois. Elle en est à son deuxième cycle avec la courbe, etc. C'est super intéressant. En fait, il y a plein de choses du coup, elle me partage aussi pas mal de choses. C'est un peu à deux. Ce n'est pas elle dans son coin qui fait tout et qui m'en parle pas. Et elle me montre aussi les cycl. Après, j'ai suivi les live aussi. Il y en a eu beaucoup qui étaient super intéressants sur plein de points. On a l'avis de plein de personnes différentes. Donc, du coup, c'est aussi ça qui est important, c'est que chaque, c'est là que tu vois que chaque femme est différente, très, très différente, même. Et c'est là

Laurène:

Oui.

Samuel:

ça peut être un peu complexe à vraiment savoir comment. tu marches parce que c'est ça le plus difficile en fait. Et je pense qu'il n'y a pas de secret. C'est avec le temps que ça va venir, mais globalement, une fois qu'on a toutes les billets en main, ce qui était lié dans la formation. Ben, ouais. on y arrive, je pense, il n'y a pas trop de problèmes là dessus. Donc il y a eu effectivement un des live qui était plus orienté sexo du coup, on est intervenu tous les deux pour expliquer un peu un retour d'expérience parce que ça faisait déjà plus d'un mois qu'on testait la symptothermie symptothermie globalement pour nous, ça a été vraiment quelque chose de révélateur, Enfin surtout du point de vue. de Justine, elle se sent bien mieux. Elle a plu. Il y a vraiment une différence en tout entre En tout cas pour elle, il y a plein de femmes chez qui ça marche très bien, les stérilets ou autres contraceptions, Et globalement pour elle c'était compliqué et il n'y a pas de secret. On ne reviendra plus en arrière, il n'y a aucun sujet elle se sent mieux et surtout le fait d'apprendre, elle peut même elle arrive. Pratiquement à savoir quand est ce qu'elle va avoir ses règles et

Laurène:

Oui

Samuel:

beaucoup moins de flux abondants ce genre de choses. C'est des détails qui, surtout pour elle vont lui changer la vie. Je pense, il y a des choses comme ça qui sont assez dingue. Et encore, il y a eu que un mois complet, un cycle complet avec prise de température, etc. là, par exemple, sur le deuxième mois, elle a aussi le tral en plus du thermomètre,

Laurène:

à la à

Samuel:

elle a les deux

Laurène:

ok.

Samuel:

du coup, elle fait le test, donc elle fait les deux cours en même temps. Mais elle voit donc

Laurène:

Pour ceux qui savent pas, ça se passe, ça se porte en intravaginal. C'est comme un petit tampon en silicone et qui prend la température du coup comme le thème drop, c'est autour du bras, le tral, c'est dans le vagin

Samuel:

ça. Et ça prend la

Laurène:

la nuit.

Samuel:

basse de toute la nuit. Et du coup, elle observe en fait une même les deux courss en même temps. Et c'est quand même intéressant.

Laurène:

toi, c'est quoi ton rôle de Est-ce que tu tu regardes la courbe ou tu lui fais confiance

Samuel:

globalement. Il y a beaucoup de confiance, mais on en parle. C'est-à-dire que je regarde aussi de son côté. Je regarde aussi son cycle, etc. enfin elle me partage quand même les petites infos. voilà tu vois Ma glaire a été vraiment vraiment très, très élastique. Dis donc là si on veut faire un bébé, c'est maintenant en gros ce genre de choses ou

Laurène:

c'est l'avantage là pour la prochaine étape, vous serez prêts prêt.

Samuel:

pour le coup. On n'a pas pas eu du tout de mal à avoir rose, mais c'est sûr que. Je ne sais pas, il y a un côté sympa ou tu te dis en fait, je sais à peu près est ce que je suis fertile et tout de mon côté, en fait, je suis un peu extérieur à tout ça, mais le fait d'en parler, de voir un peu les courbes, je trouve ça dingue pour le coup elle c'est assez représentatif en plus. Donc c'est assez facile de voir tout ça, de voir l'évolution et comment ça se passe. Il y a peut être même une des choses qu'elle ne comprenait pas. Sur elle même, c'est à dire qu'elle pouvait avoir des fois des non

Laurène:

Le SPM

Samuel:

SPM, mais en fait, le moment ou elle va voulait, on va dire la veille, ça pouvait arriver que dans la nuit, elle se lève ou des choses comme ça, qu'elle soit un peu perturbées ou qu'elle aille aux toilettes, plus souvent du genre de choses. Et ça n'avait pas pourquoi elle n'a jamais su pourquoi et ce serait peut être lié à l'ovulation. du coup, on va

Laurène:

Ok.

Samuel:

sur plusieurs cycles pour voir si ça se répète toujours en même temps. Eh bien, là déjà, sur le deuxième mois, il y a un écart de température exactement au même jour. Et c'est exactement le même jour ou elle se lève la nuit ou qu'il y a une perturbation

Laurène:

C'est une fou. Toutes les connexions qu'on fait quand on se met observer son cycle et on se dit ah oui, mais d'accord, ça c'était, ah, tout devient logique. Parce qu'en fait, c'est des chiffres hormonaux très forts et qui peuvent avoir des effets sur plein d'autres fonctions du corps et notamment, oui, entre des insomnies du stress, il y a plein et c'est juste qu'on normalement, on navigue à vue et on ne sait pas du tout ou on en est. Donc on fait pas le lien, mais quand on suit comme ça, En fait bien, il y a une question que je voulais te poser aussi. Sam, c'est le fait de toi avoir été formé aussi, enfin d'avoir suivi la formation Est-ce que alors tu vas répondre à sa place, mais peut-être aussi pour toi est-ce que c'est rassurant du coup d'être deux à être garants des règles, tu vois et de se dire si on a des difficultés à interpréter, je pourrais lui demander, il pourra me donner son avis. Tu vois comment tu te positionnes là?

Samuel:

moi, c'est clair et net, c'est toujours mieux quand on est deux, C'est toujours plus rassurant. Même si pour le coup, elle est un peu dans son truc aussi, c'est-à-dire que c'est elle qui note tous les petits détails, etc. Mais c'est bien de savoir aussi un peu comment ça marche après, évidemment, c'est une relation de confiance dans ton couple. Ça va de soi. C'est quelque chose d'assez logique. La confiance est là, mais ça donne quand même un, c'est juste cool d'en savoir plus sur comment ça marche. En fait,

Laurène:

Oui.

Samuel:

cette chose là

Laurène:

Mais tu sais on parle parfois de la charge mentale de la contraception, truc comme ça. Il y en a qui disent la symptothermie Ça permet de partager la charge mentale parce que du coup t'es deux à adapter ta sexualité, voire à suivre le cycle. Il y en a qui disent non bullshit ça reste un truc de nana et l'homme. Il sert à rien. Et j'ai limpression que toi t'es quand même bien entre les deux. Tu vois, tu te positionne.

Samuel:

je ne dirais pas que c'est forcément un truc auquel j'y vais y penser tous les jours, contrairement à juju, dans le sens ou c'est au moins qu'elle va devoir prendre cette température, etc. Même si elle a un track et un la mais il y a celui comme autour du bras. Je ne sais plus son nom, mais qui

Laurène:

Game drop

Samuel:

le th drop qu pense acheter plus tard pour ne plus avoir à se prendre la tête. Comment dire ça se met automatiquement et c'est bon,

Laurène:

ouais.

Samuel:

mentale de moins. On le fait. Je pense aussi de le partager parce que. Ce n'est pas moi qui vais lui dire de prendre sa température entre

Laurène:

Un

Samuel:

d'aller noter sur la courbe, mais c'est le fait d'en parler. Ça décharge un petit peu indirectement les choses

Laurène:

oui.

Samuel:

Après Je pense que ce n'est pas forcément le cas pour tout le monde, mais globalement pour nous, ça marche comme ça

Laurène:

Ou non, puis de savoir que toi, tu sais que quand elle te dit, je suis dans ma période fertile. Donc c'est risqué. Donc on fait gaffe. Tu ne vas pas y aller comme un gros bourrin bourrin aussi. Très, mais tu vois, tu as aussi cette moi. Je trouve que le partage de la charge, il se fait aussi là ou en fait sur cette adaptation de l'intimité. T'es complètement deux à être tout à fait conscient de pourquoi en ce moment, ce n'est pas, il ne faut pas faire comme ça parce qu'il y a un risque ou pas.

Samuel:

Non. La suite, c'est clair. Il n'y a pas de sujet de ce côté là, c'est sûr. Mais après, c'est ça qui est cool aussi. Ça permet aussi d'expérimenter d'autres choses pendant les périodes fertiles. Si on n'a pas pas envie d'enfants pour le coup, il y a plein d'autres choses en fait derrière qui peuvent aussi. Je trouve vous reconnecter surtout si quand on a un bébé et des fois on peut un peu s'éloigner ou des choses comme ça ou on passe vraiment les relations intimes en second plan. Et des fois on s'oublie un peu. Eh bien en vrai, ce genre de choses la symptothermie permet aussi après, il faut être en raccord tous les deux, bien évidemment, mais globalement permet aussi de d'imaginer d'imaginer d'autres choses, de se tester d'autres choses et sans forcément avoir les relations intimes un peu classiques et traditionnelles. Et ça, franchement, c'est cool. C'était justement l'un des live avec thérèse qui expliquait ça bien mieux que moi. De pas se dire mon dieu pendant cette période, on va rien faire. C'est une catastrophe, non? Près du coup pour nous, c'était assez évident, mais je sais que ce n'est pas forcément le cas pour tout le monde nous, on est assez, ça se passe bien de ce côté là. Il a vu qu'on parle beaucoup. C'est plutôt cool, mais effectivement, c'est un peu enfoncer des portes ouvertes pour nous, mais en fait le fait de se rappeler de ce genre de choses.

Laurène:

Hum.

Samuel:

aussi de dire, en fait ok, pendant cette période là, c'est pas grave. on Fera autre chose. Ou alors nous perso, on utilise aussi les préservatifs. Ça nous empêche absolument pas ce n'est pas un sujet chez nous. Ce n'est pas grave. Et ce n'est pas si géant que ça. Si vraiment on en a envie, on peut le faire. Et après, on connaît aussi les risques. C'est dire que si demain, comment dire, on a un deuxième bébé maintenant. Ce n'est pas forcément le timing idéal, mais ce n'est pas grave. Je veux dire, ce n'est pas

Laurène:

mais.

Samuel:

monde. Il sera quand même voulu.

Laurène:

Si pendant la période fertile a utilisé un préservatif et qu'il a craqué.

Samuel:

a craqué, etc. Parce ce que ça reste un pour nous. On n'a jamais eu de problème. J'en ai jamais eu de ma vie avec des préservatifs,

Laurène:

donc sans rentrer dans votre intimité intime pure, mais je sais que c'est quand même à l'aise pour en parler toi, ce que tu disais l'autre jour. Et c'est ça qui m'avait interpellé, c'est que loin de vous éloigner ou de créer de la frustration, vous ça vous avez rapproché parce que aussi justine n'était plus à l'aise avec son stérilet et du coup Là, elle retrouve son corps au naturel et parce que. Près aussi cette communication, un peu forcée entre guillemets, que vous aviez déjà, mais qu'il a de fait, n'a plus le choix. Il faut

Samuel:

Oui y'a pas le choix

Laurène:

T'es obligé de parler

Samuel:

Enfin pour elle ça a vraiment été un gros changement. Quoi

Laurène:

ou

Samuel:

après, je pense que chaque femme est différente là dessus. Sincèrement, je pense que c'est vraiment ça varie entre chaque personne, mais globalement elle, ça a été un vrai changement. C'est en gros une sorte de libération. Quoi?

Laurène:

oui.

Samuel:

je me prend plus la tête. je n'ai plus de craintes J'ai plus de sujet de me dire mer. Je vais encore avoir x problèmes Non, là, il y en a plus. Je pense aussi que ça joue pour elle. C'est un gros changement. Et du coup, évidemment pour nous deux derrière, mais ça devenait vraiment surtout de la frustration qui se qui se créait au fur et à mesure, en principalement pour elle, parce que du quoi comprenait pas pourquoi il y avait autant de problématiques. Donc le fait de l'avoir retiré, ça résout tous les problèmes.

Laurène:

Oui et donc toi par effet domino, t'es trop heureux parce que ta meuf va mieux.

Samuel:

Oui, c'est évidemment ça joue un passement tir. de chacun, mais globalement, oui, c'est comment dire par un des piliers, mais en tout cas, nous, oui, c'est important. En tout cas, dans notre couple après tant qu'on en parle, il faut juste se parler, et se dire les choses. Si on en parle pas et que ça reste là sur le bord d'un coin, c'est comme ça qu'après on peut s'énerver pour rien. pourquoi ce genre de choses pour nous, ça nous a plus rapproché.

Laurène:

Et qu'est ce que tu dirais aux hommes qui sont un peu flips

Samuel:

Mais

Laurène:

Tu as.

Samuel:

franchement, je peux comprendre que ça fasse peur mais c'est en fait avant tout une relation de confiance. C'est à dire que la symp hermie pour moi, il faut quand même se connaître un minimum. Ça me paraît compliqué si demain, j'ai un coup d'un soir avec une nana qui me dit t'inquiète. Tout va bien. Je fais de la symptôme. Je dis ouais,

Laurène:

Oui.

Samuel:

On va quand même faire quelque chose. Mon déjà ne serait ce que pour les msc, etc. Pour toutes les maladies transmissibles et tout, mais globalement, ouais, on va dire qu'il faut quand même moi, c'est avoir un minimum confiance entre l'un et l'autre. Déjà ça, c'est le premier facteur après. Je pense que là, je parle à des hommes qui sont globalement en couple et qui ont qui vont essayer la SYN hermie. Je n'ai pas eu plus peur que ça. J'avoue, mais je pense que c'est aussi lié à votre équilibre dans votre coupe. C'est à dire que si ça ne se passe pas très bien et qu'il y a des complications ou que la confiance n'est pas là, ça ne va pas aider. À partir partir du moment ou il y a une confiance. C'est cool. Donc, pour ma part, je n'ai pas eu de vraies craintes. Je ne m'attendais pas non plus spécialement à comment dire à mon dieu, une frustration parce que pendant plus d'une semaine, c'est compliqué, ce qu'évidemment, si on compte après le nombre de jours, qu'on se réserve au chaos, etc. Sur le cycle, surtout au début. peut être un petit peu

Laurène:

Ça rend créatif quoi?

Samuel:

Oui, en fait, ça rend créatif. On a toujours été, mais on va dire qu'on l'avait un peu laissé de côté, lui aussi un autre bébé, etc. Et elle a eu un postpartum qui a été très, très compliqué et très long avec malheureusement une dépression du post parum aussi qui a suivi, mais globalement le fait d'avoir eu cette symptôme. Hermie. Ouais, ça, effectivement, ça nous re rend créatif. On va dire,

Laurène:

Ou

Samuel:

de nouveau des bonnes idées. Envie de tester les choses qu'on faisait plus qu'on faisait mais qu'on faisait plus. Et

Laurène:

oui,

Samuel:

ça vous fait varier vachement de choses non? Clairement, clairement clairement.

Laurène:

oui. C'est très clair. Merci pour ça. En fait, les autres contraceptions quand c'est féminin, tu t'en occupe pas. Enfin toi, tu étais un peu intéressé avec cette histoire de stérile parce qu'il y avait une gêne. C'était déjà un peu ton sujet et là, ça devient vraiment votre sujet à tous les deux

Samuel:

Oui,

Laurène:

parce que vous êtes fermé ensemble que vous vous pratiquez en simple.

Samuel:

Oui, c'est ça. Mais pour le coup, oui, c'est y a de partager un minimum quand tu fais ce genre de contraception, tu es obligé de partager. C'est sûr. De mon côté, je ne dirais pas que ça me fait une grosse charge mentale. mais N'y a rien au contraire, mais elle elle en a moins, je dirais plus ça dans ce sens là, elle a moins de charge mentale. Moi, ça m'en fait. Pas plus que ça.

Laurène:

Merci, Samuel. C'est hyper chouette d'avoir ton regard d'homme tout à fait décomplexé sur tout ça. Je pense qu'elle sera fière de toi aussi. Elle a de la chance de t'avoir parce qu'ils ne sont pas tous comme ça et de plus en plus, mais c'est vrai que il y en a qui s'intéressent pas du tout. Alors que tu le dis bien, c'est un sujet de sexualité à la base. Donc c'est un sujet de couple c. C'est un truc qui devrait être une charge financière et mentale commune. Et

Samuel:

voulu. Elle m'avait absolument pas demandé quoi que ce soit. Et voilà quand on m'en a parlé, m'a aussi annoncé la formation. Le prix du même voulait juste faire la formation et je dis non, la fin du coup, on le fait à deux. Et puis voilà moi je, je suis les cours, etc. Il n'y a aucune raison que je participe

Laurène:

mais

Samuel:

pour moi, ça va de soi, ça aurait été

Laurène:

et.

Samuel:

été pareil pour moi. La symptothermie c'est bien pour il y a deux choses. Il y a une première, on va dire pour mieux se connaître. C'est Certain et la deuxième, une sorte de libération. En vrai, ça peut paraître un peu un mot dingue, mais ouais, c'est un peu ça.

Laurène:

je pense pour plein de femmes, c'est pas dingue comment tu la qualifies cette libération pour toi?

Samuel:

En fait, je la qualifie pour moi. En fait, c'est plus de son côté dire que pour elle, ça l'a libéré d'un poids. Pour nous

Laurène:

Ouais.

Samuel:

d'un sujet qui avait toujours une contrainte. comme ça, je le vois en fait, une contraception féminine de manière générale a toujours une contrainte. Même un stérilet cuivre peut avoir la contrainte, par exemple, de si imaginons tout se passe bien dans le meilleur des mondes que vous ne sentez rien qu'il n'y a pas de problème, etc. il peut y avoir des règles abondantes. Et ça, c'est encore quelque chose tu te dis Putain fais chier Il y a encore quelque chose qui s'est passé. Enfin bref, il y a toujours. Il y a un.

Laurène:

un. Un effet secondaire

Samuel:

Voilà, c'est ça Il y a toujours un point négatif. La sympto le point négatif, c'est la fenêtre fertile. Si on veut être sans contraception, du coup, il n'y a pas pénétration ou en tout cas se protéger. Pour moi, ce n'est pas une contrainte. C'est ou est ce que je veux dire, ce n'est pas un point négatif, faut le tourner autrement se redécouvrir aussi soi même, etc, et partager d'autres choses. C'est donc donc, en fait, ça amène une autre chose positive. Donc plus de contraintes. à ça que je la libération, c'est à dire que la et la charge en plus n'est plus que d'un seul côté. Elle est aussi sur les deux, elle est sur le couple. De manière générale, c'est plus une personne qui doit penser à ça, même si, en vrai, si la confiance se fait à fond, etc, ça peut, mais c'est plus facile de le partager. On va dire

Laurène:

Mais

Samuel:

prend la pilule ou un truc comme ça tous les matins. Tu ne vas pas le dire ou ce genre de choses. Puis elle me dit ce matin, tiens, on regarde, j'ai une ma chute de température

Laurène:

Ou.

Samuel:

c'est bizarre, celle là. Je vais l'exclure cette température parce que on a trop pi collé hier ou un truc

Laurène:

Mais.

Samuel:

ça, c'est ça. Et c'est tout court. Mais pour nous, en tout cas, il y a un côté rapprochement. Il y a un côté cool, même même elle en plus faire Enfin ses règles durent moins longtemps, par exemple, français. C'est vraiment C'est ça une libération. Il n'y n'y a aucun sujet pour elle et pour nous, du coup, il n'y a plus de de points négatifs. On va dire.

Laurène:

Non, non, mais j'adore. Je pense que c'est un mot tout à fait vrai. Et c'est chouette de l'entendre dans la bouche d'un homme qui tu vois perçoit aussi cette libération qui est favorable pas chez tout le monde, mais

Samuel:

bien sûr.

Laurène:

aux deux quoi?

Samuel:

Bien sûr, pour du coup, c'est là ou c'est clair que la symptôme, c'est super pour se découvrir et pour se libérer d'un poids, mais c'est clair que coup d'un soir ou autre, c'est sûr

Laurène:

Bon t'en auras plus Samuel, C'est fini. Ça, c'est ton ancienne vie.

Samuel:

mais mais non, non, mais c'est sûr que c'est sûr que pour ce genre de sujet, tu te dis pas un inconnu? Je fais de la symptôme. T'inquiète, tout va bien. Bon,

Laurène:

peut être qu'un jour, la symptôme sera tellement connue que les gens seront en confiance et pourront faire confiance à une femme qui dit fait de la sympto terme là, c'est parce qu'aujourd'hui, tu sais pas ce que c'est. Donc attend, on va du tout. Mais demain, tout le monde est conscient que c'est une contraception comme une autre et qu'une femme qui te dit je suis en période infertile. Il n'y a pas de sujet inquiète,

Samuel:

Ce qui m'a fait rire aussi. Ça me fait bondir sur un autre point. Je parlais avec mes collègues et je leur ai dit tiens, je vais faire un podcast sur la sympto bientôt

Laurène:

Tu as dit que tu t'étais formé à tes amis

Samuel:

que j'allais faire un port mètre. J'ai voulu tester pour voir si les gens connaissaient

Laurène:

ou

Samuel:

deux de mes collègues, je l'aurais dit,

Laurène:

mais des hommes?

Samuel:

un podcast sur la sympto hermie regardez la sainte. Pourquoi

Laurène:

Oui.

Samuel:

je me rends compte que, globalement, après aussi avec mes amis, etc, globalement. Pas grand monde connaît je vais très honnête et c'est encore très, ce n'est pas encore répandu, mais je pense que ça va finir par lettre petit à petit

Laurène:

Bien sûr.

Samuel:

pour ça. J'en suis convaincu. J n'ai aucun sujet là dessus, parce qu'en globalement latomie ça existe depuis longtemps. C'est juste que ça n'a jamais été expérimenté comme ça et il n'y avait pas de formation en tant que tel. Ce n'est pas vraiment formé avec un suivi avec des live toutes les semaines avec plein de femmes différentes qui vous qui vous montrent un peu vos interrogations et comment ça se passe. Et c'est ce qui va démocratiser aussi la chose. Bien sûr, c'est ça plus ça plus ça qui va faire un énorme truc, mais globalement dans mon entourage, je vois que la symp pour l'instant n'est pas connue du tout

Laurène:

On devenir un ambassadeur de la sto. Tu vas

Samuel:

pas, j'irai répond ma ça, mais en tout cas. contre, la plupart connaissaient dans mes collègues qui sont globalement aussi des hommes assez ouverts, etc. Ils connaissaient le principe. Ils connaissent aussi leur classique. C'est à dire le cycle d'une femme. Globalement, je dis des gros guillemets attention dans

Laurène:

Mais

Samuel:

mais globalement comment ça marche? Parce que ce n'est pas cas tout le monde. Et du coup, il était intéressé

Laurène:

ok.

Samuel:

le sens ou ok, on vrai, c'est pas bête,

Laurène:

Oui, non, mais mieux comprendre ta nana savoir quand elle est en fin de cycle, un peu irritable, voir qu'elle ne peut plus de voir, mais oui, mais non, mais c'est utile. Tu vas, tu vas moins te remettre en question. Tu ne vas pas te dire, je suis un gros naze tu vas te dire non, c'est rien. C'est ses hormones qui chutent Je sais ce que c'est. Je comprends le sujet. Je fais le dos rond et tu vas.

Samuel:

tu as just un petit bouquet de fleurs. Ça va mieux. Non, non, mais en vrai non, soit oui, c'est bien sûr, mais pour le coup, en tout cas, ça avait quand même intrigué mes collègues.

Laurène:

Tu leur partagera ton épisode. Tu leur montrera ce que ça donne en life. Trop bien. Écoute Sam. Merci. Je pense qu'on a fait le tour et tu nous a apporté ta vision. J'adore trop fun. T'as un dernier truc, un mot de la fin. En quoi tu es émancipé tiens,

Samuel:

échapper à cette question. En quoi je me sens émancipée

Laurène:

mais parce que tu t'es un mec trop cool qui gère la contraception avec nana.

Samuel:

contraception.

Laurène:

Mais oui, mais bien sûr, c'est émancipé, mais ou,

Samuel:

il n'y a aucun débat. C'est ça.

Laurène:

ouais,

Samuel:

En gros, je me sens émancipé de la contraception.

Laurène:

voilà. Bravo. Super, merci du fond du cœur.

Samuel:

merci à toi Laurène.

Laurène:

J'espère que ça vous a plu, cette conversation avec sam, j'espère que ça allumera des petites lanternes de chez vous. Que peut être vous la ferez écouter à votre homme. Si voilà, vous pensez que ça peut être utile. En tout cas, vous le savez, il y a le séré petit club. Donc sam et justine, ils ont fait le sept, la septième promo là, on ouvre la huitième cette semaine. Donc voilà, n'hésitez pas. Si vous avez envie de venir vous former, c'est évidemment indispensable. Pour faire les choses. Bien, donc je mettrai le lien en description et sinon, voilà. Dans tous les cas, j'espère que ça vous a diverti permis de prendre un peu de hauteur sur plein de sujets. Je vous embrasse et je vous dis à la semaine prochaine.

People on this episode

Head Shot

Laurène Sindicic

Host