
Émancipées, le podcast
Le podcast qui émancipe les femmes (et les hommes !) en leur donnant des clés pour comprendre leur corps et leur cycle, pour leur permettre de maitriser leur fertilité, leur contraception et leurs hormones avec autonomie et confiance !
Le savoir, c’est le pouvoir, et Laurène est bien décidée à vous apporter un max, en répondant à des questions qu’on se pose tous, ou pas, seule ou avec des experts passionnés, pour que votre intimité n’ait plus de secret pour vous !
Émancipées, le podcast
#60 Anovulation : pourquoi parfois on n’ovule pas, et comment le savoir ?
À propos de l’épisode :
Anovulation : pourquoi parfois on n’ovule pas, et comment le savoir ?
L’anovulation, ça peut être une grosse peur pour beaucoup, car on peut complètement passer à côté, avec une impression de cycles “normaux”, avec notamment des règles régulières, et pourtant pas d’ovulation (et donc pas de fécondation possible).
Sans alarmisme ni panique, dans cet épisode, on décrypte les signes du cycle anovulatoire, les différences entre anovulation et aménorrhée, et les outils pour repérer un couac au niveau de l’ovulation, et le rectifier bien sûr, le cas échéant.
Si vous vous demandez parfois si vous avez bien ovulé, cet épisode est pour vous !
Vous découvrirez :
- Les signes concrets d’un cycle anovulatoire
- La différence entre anovulation et aménorrhée (et pourquoi dans un cas le cycle se met sur pause, alors que dans l’autre il “simule” un vrai cycle)
- Pourquoi certaines règles ne sont pas de “vraies” règles
- L’importance de l’observation du cycle pour détecter une absence d’ovulation, notamment avec la symptothermie.
À ce propos, voici notre guide sur le symptothermie, qui vous donne toutes les clés pour comprendre en quoi consiste cette méthode, et notamment pourquoi et comment vous pouvez vous appuyer sur votre glaire cervicale et votre température basale pour valider votre ovulation (la fameuse courbe de température mentionnée dans l’épisode ;))
Nos Clubs :
👶 Vous êtes en projet bébé et/ou souhaitez reprendre en main votre fertilité naturellement ? Le Fertility Club peut vous aider !
🧘♀️ Vous souhaitez adopter une contraception sans hormones ? Go Serenity Club !
Nos mini-programmes :
👱♂️ Votre amoureux est largué quand on lui parle de cycle menstruel ? Le mini-programme Mon cycle expliqué à mon mec devrait l'aider !
Mais aussi...
🖥📱 On est ravis de partager toutes nos connaissances et de vous retrouver (dans la joie et la bonne humeur !) sur notre site web et notre compte Insta ! 😊
Ce qu'il faut se dire, c'est qu'on a quand même cette privation, cette fin de cycle où l'endomètre ne peut pas continuer à s'épaissir plus longtemps avec des oestrogènes qui continuent à monter. Ce n'est pas possible physiquement, on ne peut pas. Donc, à un moment donné, ça se détache. Et ce qui est fou, c'est que très souvent, c'est au moment où les règles seraient arrivées si on avait eu un cycle ovulatoire. C'est pour ça que ça porte beaucoup à confusion et que si on n'a pas observé son cycle, eh bien, on peut complètement passer à côté puisque on a un saignement à la date à laquelle on aurait dû avoir un saignement. Et juste, on n'a pas eu au milieu l'élément marquant du cycle qui était l'ovulation et donc la sécrétion de progestérone. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast, un épisode solo juste vous et moi où j'aime bien aborder des concepts, des sujets, des questions qui reviennent beaucoup, notamment dans mon message, et il y en a un qui est sur le trône en la matière. Le genre de questions que je reçois énormément, c'est est ce que j'ai vu vraiment, comment je peux être sûr que j'ai vu quand j'ai mes règles, notamment régulièrement, en gros, est ce que c'est possible d'avoir des cycles anovulatoires. Est ce que ça existe. La ovulation un petit peu toutes ces questions. Parce qu'en fait nous les femmes, si on sait bien repérer nos règles là dessus, il n'y a pas de sujet. Quand on a nos règles, on le sait. Eh bien, pour la plupart, on ne sait pas repérer l'ovulation. Et donc il y a plein de femmes qui ont peur craignent de ne pas vraiment ovulaire et de pas s'en rendre compte. Moi, je vais vous faire une confidence, mais c'est un truc que j'ai eu pendant très longtemps quand j'étais plus jeune. Je ne sais pas pourquoi je suppose ce qui s'est passé dans ma vie, mais j'avais cette peur d'être stérile, de ne pas de ne pas pouvoir avoir d'enfants de ne pas OV voler. Donc c'est un peu le comble quand on sait le métier que je fais aujourd'hui, mais pendant très longtemps, j'avais cette sais, pas cette angoisse là parce que pour moi, c'était l'inconnu. Et je me disais, tant que je ne suis pas tombé enceinte. Je n'avais jamais j'ai jamais vécu ni d'arrêt de grossesse nié. Quand j'étais plus jeune, j'étais vraiment jamais tombé enceinte jusqu'au jour ou je voulais vraiment être enceinte. Et du coup, je me disais en fait, je ne peux pas savoir pour vous dire même je n'aurais pas raconté ça, mais mon frère avait eu une petite copine qui elle a eu une grossesse accidentelle quand il était jeune et j'avais une petite part de moi, mais honteuse. Qui l'enviait un peu lui en disant lui, au moins, il sait que ça marche en vrai, on sait que pas du tout et on peut, c'est pas parce que ça marchait à 18 ans que ça marcherait à 30, mais je sais pas, j'avais cette crainte là de me dire mon frère, lui, il sait moi, je sais pas. Donc voilà, je ferme la parenthèse, mais je sais qu'il y a beaucoup de femmes qui sont dans la même situation que moi et qui ont cette espèce de ou d'angoisse, de la ovulation. Et du coup, je voulais vous faire un épisode là dessus déjà pour vous rassurer, pour vous donner des clés aussi parce qu'en fait, vous êtes. Pas aujourd'hui forcément dans le même flou que moi à l'époque, parce que vous, vous savez qu'on a plein de choses pour lire dans son cycle et pour vérifier qu'on a vu le bien. Et aussi je voulais vous faire un petit explication un peu plus théorique, entre guillemets, sur la différence entre cycles lavatoire et améliorer l'améliorer. Vous savez, c'est quand on a plus de trois mois sans règles. Sans cycle ou en fait, le corps est un peu sur pause. Donc on distingue la minerai primaire d'une femme qui n'a jamais eu de cycle. En fait, depuis son plus jeune âge de la minerai secondaire ou on a déjà eu des cycles, on a déjà ovée, mais pour une raison x ou grec, le corps s'arrête. Donc, il y a plein de cas tout à fait normaux et physiologiques d'améliorer pendant la grossesse, évidemment, ne vu pas pendant l'allaitement aussi. Il y a une période, on ne vu pas après la ménopause, bien sûr, mais il y a aussi plein d'autres moments de la vie ou bien souvent. Du fait d'un moment de stress ou d'une soust nutrition. Les femmes qui ont des troubles du comportement alimentaire souvent sont en amélioré ou qu'on fait trop de sports. Et du coup, on a un déficit calorique trop trop important parce qu'on utilise trop de ressources ou on a trop de stress parce que, justement du fait de cet excès de sport, le corps est dans un état de stress trop important. Bref, il peut y avoir plein de raisons. Qui vont faire qu'on va se retrouver en améliorer. Mais ça peut aussi être les mêmes raisons, un petit peu qui m'ont expliquer qu'on ne va pas OV violer. Et parfois, et c'est ça, je trouve le cœur de cet épisode et en tout cas, moi, ce qui me passionne. Parfois, on va être complètement sur pause. Et parfois on va savoir cette espèce de simulacre de faux semblants de cycle ou on va avoir. L'impression d'avoir des règles, d'avoir des cycles ou sur le papier. On va, si on regarde pas plus loin que ça, on va dire si moi, j'aimerais tous les mois, il n'y a pas de sujet, mais ou en fait, on n'aura pas ovée je vais vous faire plein de petites parenthèses dans cet épisode, mais c'est important. D'ailleurs, dans l'absolu, on ne devrait pas parler de règles ni de cycle. Quand on n'a pas OV vulé puisque par définition, un cycle, c'est un cycle ovulatory, c'est la définition du cycle. C'est ainsi qu'on a ovulus et des règles. C'est un enseignement qui fait suite à une ovulation. Donc, normalement, on ne ni parler les cycle ni parler de règles, mais bon par abus de langage. On va parler de cycles anovulatoires et de règles qui arrivent. Mais en fait, c'est plutôt des saignements à uls, des saignements de privations. Je vous raconter tout ça, mais pas forcément des règles. Si je récapitule un petit peu les points que j'aimerais aborder avec vous dans cet épisode, le premier c'est, on va expliquer déjà. C'est la base, ce que c'est un cycle ovulatory pour pouvoir, par opposition, comprendre ce que c'est un cycle adulatoire on va faire un petit peu la différence entre l'amer et le cycle adulatoire pour comprendre pourquoi. Dans un cas, on va mettre sur pause et dans l'autre, on va avoir ces fausses règles. Et après, je vous expliquerai vraiment ce qui se passe physiologiquement à l'intérieur du corps pour qu'on ait ces faux saignements et et surtout comment repérer qu'on est dans un cycle ambulatoire et se rassurer, surtout parce qu'encore une fois ça arrive, ce n'est pas grave. C'est juste que on ne le sait pas parce qu'on n'observe pas nos cycles. Mais si on les observe, on se rend compte que de temps en temps, une fois de temps en temps, on n'a pas OV volé. D'ailleurs petite parenthèse, mais je suis allé chercher les chiffres des études qui ont été faites sur le sujet. Je voudrais vous les partager pour faire baisser la pression tout de suite. Si vous avez déjà observé un cycle no obligatoire et vous montr montrer qu'en fait vous êtes loin d'être seul, c fréquent. Donc je vous partage mes petits chiffres. Alors pour les femmes en âge de procréer, j'ai trouvé plusieurs études. Il y en a une qui parlait de trois pour des cycles qui sera innov obligatoires. L'autre de 18. Alors je vous avoue que pour recevoir beaucoup de cycles au quotidien, vous m'en envoyez plein sur Instagram par mail, etc. D'ailleurs parenthèse, mais je vous réponds souvent la même chose qui est que je ne peux pas analyser tous les cycles qu'on m'envoie hors, évidemment les femmes qui sont dans les clubs ou là, c'est mon job. Elles sont là pour ça, mais hors club, je ne peux pas parce que je n'ai pas des journées qui me permettent de faire tout ça, mais c'est vrai qu'il y a des fois. Ou c'est assez flagrant que le cycle est à novateur. Je vous expliquerai juste après un comment fait pour le lire. Et dans ce cas, là, je vous le dis pas comme ça de but en blanc parce que ce n'est pas mon rôle de faire ça. Je ne suis pas là pour faire ni vous faire peur ni poser des diagnostics ou quoi, mais je vous mets quand même sur la piste, mais clairement, ce n'est pas 18 des cycles que je reçois par contre trois. Oui, tout à fait possible. Donc, cette étude me paraît en tout cas plus fidèle à mes observations à moi, mais c'est quand même pas rien. Vous voyez 3 %, c'est veut dire que sur à l'échelle d'une vie d'une femme, il y a forcément ainsi un moment qui va être an ambulatoire. Et puis parfois plus chez les femmes, les ados un à deux ans après la Monarch, la méar, ce sont les premières règles. Là, on est selon les études entre 50 et 80 % des cycles qui seraient anovulatoires C'est tout à fait logique puisque les cycles mettent du temps à se mettre en place, à se lancer et au début, ils peuvent ne pas réussir à vraiment se finaliser, se concrétiser. Et on peut avoir comme ça des cycles à no manipulatoires. Et pas forcément une amène parce que justement, il se passe des trucs quand même dans le corps, le corps essaye, mais il n'y arrive pas. Donc on a ces faux semblants de cycle, ce qui est tout à fait logique en boutique, quand c'est encore assez instable. Et les autres études que j'ai vus, c'est chez les femmes en péri, ménopause donc à partir de 40, 45 ans. Et là, on serait jusqu'à 50 à 60 des cycles aussi qui pourraient être anovulatoires, ce qui me paraît aussi cohérent parce que, comme pour la puberté. Ainsi que mettent du temps à se mettre en place au monde de la péri ménopause. Ils mettent du temps à redescendre un peu et à s'éteindre. Et avant qu'on ait plus de 12 mois sans règle, c'est ça la définition de la ménopause. Eh bien, on va avoir des cycles de plus en plus foireux entre guillemets de moins en moins bonne qualité. Et certains qui n'auront pas d'ovulation, c'est normal. C'est aussi assez fréquent en postpartum ou quand on allaite ou justement, on a encore un dérèglement hormonal potentiellement de la prolactine. Qui est sécrété dans le cadre de de l'allaitement qui vient perturber un peu les cycles et ou ça peut entraîner justement un louper de l'ovulation, mais quand même des saignements, puisque il s'est passé quelque chose, je vous dis ce, il s'est passé quelque chose là. Vous dites qu'est ce qu'elle veut dire par là? Vous allez voir, je vais vous expliquer tout ça bien en détail. Mais je voulais vous vous rappeler ces petits chiffres en amont. Et maintenant, si ça vous va, je commence par vous expliquer ce que c'est un cycle ovulatory et. Par opposition, comment on reconnaît un cycle adulatoire vous expliquerait ce que c'est la différence du coup, vraiment avec l'amène. Et après, je vous expliquerait en détail pourquoi dans le cycle ambulatoire, il se passe ça vraiment concrètement dans le corps. Physiologiquement, pourquoi on a ses saignements à la fin et pas une longue phase. De pause comme on l'a dans l'amène. Mais donc on démarre avec la définition de l'explication d'un cycle ovulatory et je vais vous donner les quatre grands impacts entre guillemets, les quatre grands niveaux ou il se passe des trucs dans un cycle ou on a bien OV. Donc je vous refais pas un truc trop dans le détail parce que j'ai plein de contenus là dessus. Donc si vous voulez, je vous mettrai des ressources, que ce soit de podcast ou d'articles sur mon site qui explique vraiment le cycle et l'ovulation. Mais en fait, on est sur un dialogue entre le cerveau et les ovaires. Il faut bien avoir en tête que c'est le cerveau, le chef d'orchestre, et c'est lui qui déclenche qui décide qu'on va OV voler les ovaires. Ils ne sont que des répondants, des ordres du cerveau et le cerveau. On a d'abord l'hypothalamus, qui est la glande mère qui va envoyer une hormone qui s'appelle la gnrh, qui est un peu l'élément déclencheur. Le go qui va parler à l'hypophyse. Une autre, notre petite zone du cerveau à l'avant du cerveau qui va sécréter de la FSH FSH. Ça veut dire follicule stimulating hormone. Donc c'est vraiment l'hormone qui vient stimuler les follicules et cette hormone, elle va descendre vers le bas et parler aux ovaires pour leur dire de commencer à faire maturer des follicules. Vous savez, une femme, une petite fille. Elle née avec son stock de follicule présent dans ses ovaires. On a à peu près 1 000 000 à la naissance. Ça fait que décroître quand elle arrive à la puberté, à peu près 400 zéro. Et après tous les cycles, elle va recruter un petit poule de ces 400 zéro, plusieurs centaines qui vont commencer tout doucement à rentrer en maturation. Et puis quelques jours au début de cycle, au moment des règles, quand un nouveau cycle démarre que la FSH commence à être stimulé, ça va venir nous capter. Une gros 10, 20 follicules parmi ce petit poule de follicule qu'on appelait pré entro, qui avait commencé tout doucement à sortir du sommeil et elle va commencer à stimuler ces follicules là. Et donc ils vont commencer à croître, à croître tout doucement. Et puis il y en a un qui va aller plus vite que les autres qui va croître plus gros qui va prendre toute la place et les autres du coup vont se désagréger. Ils ont fait tout ça pour rien. Et ces follicules, puis ce follicule élu vont sécréter des œstrogènes. C'est ça leur langage. Ils sécrètent des œstrogènes. Et quand les œstrogènes vont atteindre un niveau suffisant à un niveau plafond, ça va faire qu'on appelle un rétro contrôle. Donc un message dans l'autre sens qui va remonter des ovaires vers le cerveau pour dire au cerveau, ok, vu le seuil d' œstrogène là, c'est veut dire qu'il y a un follicule qui est méga chaud. Tu peux envoyer la sauce, il est prêt à ovulaire. Et quand il va recevoir ce message, le cerveau, il va envoyer un autre message dans l'eau de sens avec la lh l'hormone lutté nis. Vous savez, c'est l'hormone contest teste avec les tests d'ovulation pour celles qu'on ont déjà fait. Et cette lh, elle va avoir deux principaux rôles. Le premier, c'est de provoquer la rupture du follicule et du coup, l'éjection de l'ovule. De l'ovaire qui va sortir de l'ovaire et pouvoir être capté par la trompe donc ça c'est l'ovulation. Et il va provoquer aussi la transformation de la membrane du follicule en corps jaune qui va commencer à sécréter de la progestérone et des œstrogènes. Encore un peu pour consolider le nid pendant toute la deuxième partie du cycle. Et donc toute notre deuxième partie du cycle, elle est sous la dominance de cette progestérone. Et c'est en fin de cycle que s'il n'y a pas eu de grossesse, notre corps jaune y va se désagréger en fait le corps jaune, faut un peu le voir comme un papillon de nuit. Voyez, il a une durée de vie très courte. Donc le papillon de nuit, c'est une nuit, le corps jaune, c'est, on dit 14 jours en moyenne, c'est plutôt 11 à 16 jours. Et s'il n'y pas pas eu de fécondation notre corps jaune, il ne peut pas vivre plus longtemps. Je pense pas que pour les papillons de nuit, il y a les même système. Je ne crois pas que si le papillon de nuit se reproduit pendant la nuit survit malheureusement, mais en tout cas le corps jaune. S'il y a une fécondation. Il va tenir pendant 19 mois. En vrai, c'est trois mois. Et au bout de trois mois, c'est le placenta qui prend le relais. Mais on ne va pas rentrer dans ce niveau de détail ici, mais il va rester en place pour conserver le nid pour la grossesse. Mais s'il n'y a pas eu de fécondation notre corps jaune, il se désagrège à la fin du cycle et forcément du coup, il produit plus de progestérone et de œstrogène. Et c'est cette chute de la progestérone. Et des gènes qui va entraîner le détachement du nid de l'endomètre, puisque c'est la pro qui le maintenait et du coup les règles. Donc ça, c'est un petit peu ce qui se passe dans un cycle ovulatory classique. Maintenant, je vous, je vous disais on va voir un petit peu les différents niveaux. Là, je vous ai parlé du niveau OV ouvert. En gros, dans les ovaires, vous avez vu les follicules qui grossissent, il y en a un qui gagne. Et après le corps jaune qui gère notre deuxième partie du cycle. C'est la tranche. On va dire ouvert après très important, on a la tranche utérus. Et là, c'est ça qui est bien clé quand on présente les cycles ambulatoire, la main, etc. C'est que nos œstrogènes pendant notre première partie du cycle, ils vont aussi avoir pour rôle d'épaissir l'endomètre, en gros, pour créer le nid. Pour un éventuel embryon qui serait créé à ce moment là. Donc vraiment, les œstrogène y vont épaissir, l'endomètre, faire comme des couches de sang plus ou moins pendant toute la phase pré OV obligatoire, ce qui fait que quand on arrive à l'ovulation, notre endomètre en général, il mesure sept, neuf mm. Il y est assez épais. Et pendant la phase post-ovulatoire, notre progestérone elle, elle bloque le développement de l'endomètre. Donc il l'arrête de s'épaissir. Ça c'est finito. Il a atteint son sa taille définitive au monde de l'ovulation. Mais par contre, il va venir le densifie, le vascularisé, le rendre vraiment attractif. Je sais pas comment dire pour un embryon pour qu'il puisse venir s'implanter dedans. Donc on a vraiment cette consolidation en phase post obligatoire versus cet épaississement en phase pré obligatoire. Ça c'est hyper important à bien garder en tête ce concept de œstrogène. Qui vont vraiment venir épaissir l'endomètre et de projet qui le consolent, c'est notre couche endomètre. Après, on a notre couche claire cervicale, évidemment la plus importante, je rigole, mais nos œstrogènes au delà des psir l'endomètre, ils vont aussi venir provoquer la sécrétion de gla cervicales au niveau du col de l'utérus. Que vous vous allez observer au niveau de la ville parce que par la gravité, elle s'écoule cette guerre, elle, son rôle, c'est de maintenir les spermatozoïdes envie. S'il y a un sperato passe par là, vous savez, jusqu'à cinq jours avant l'ovulation. Donc on a vraiment cette couche aussi guerre qui gagne en qualité, devient de plus en plus fluide et désirable avant l'ovulation et s'assèche devient plus compacte et forme comme un espèce de bouchon hermétique à l'entrée du col en face. Post-ovulatoire parce que ça, c'est encore le rôle de la progestérone. Mode pro gestation de venir protéger la zone au cas ou un embryon serait ré implanté. Donc il vient vraiment fermer le col de l'utérus. Donc ça, on a une autre couche. Qu'est ce qui se passe dans les ovaires? Qu'est ce qui se passe dans l'utérus au niveau de l'endomètre? Qu'est ce qui se passe au niveau de la guerre? Et dernière niveau de clé de lecture. Qu'est ce qui se passe au niveau de la température puisque quand on est en face ul? En gros notre température, elle est normale. Quoi? Elle est soumise à aucune hormone qui a un effet sur elle, donc elle est plutôt basse. Et une fois qu'on a ovée la progestérone, elle a une action hyper thermique, toujours pour créer les conditions propices à une grossesse ou il faut que le corps soit un peu plus chaud de l'ordre de zéro, trois à zéro, cinq degrés. Et donc en phase postulatoire, on a cette montée de température et une température qui se maintient haute jusqu'à la fin du cycle jusqu'à la veille des règles en général ou quand le corps jaune ne se désagrège que la progest une chute. Notre température chute aussi. Ça annonce les règles. Ça annonce qu'il n'y pas pas une grossesse sur ce cycle là. Donc, voilà, hyper important d'avoir ces quatre niveaux de lecture de ce qu'est un cycle ovulatory pour comprendre ce qui se passe dans un cycle ovulatory. Mais je vous le disais, avant de vraiment détailler le cycle OV obligatoire, ce que je voulais, c'est faire une parenthèse sur l'amer, parce qu'en fait l'amène aurait c'est un moment. Ou donc si on est sur un amén secondaire, pas une amène primaire, on a déjà eu des cycles. Donc on a eu. A priori des dernières règles et en fait, eh bien, le corps n'y arrive plus ce dialogue hormonal ne se fait plus et on se retrouve comme bloqué dans une longue phase OV obligatoire. On n'a toujours pas ovée, mais on est dans cette période un peu de latence ou il se passe rien. Et dans le cas de l'améliorer, on a plusieurs situations. On a des améliorer souvent qu'on appelle améliorer hypothalamique ou c'est vraiment le cerveau qui ne travaille plus, n'envoie plus aucun message. Et du coup, on n'a vraiment rien du tout qui ne se passe dans les ovaires. Et on a d'autres sortes d'améliorer. Ou il peut se passer. Il y a quand même des petits messages. Il se pas de trois trucs dans les ovaires, mais pas suffisamment pour qu'on ait ce dialogue hormonal qui se fasse ces échanges, son ping pong là et son rétro contrôle pour aller jusqu'à le déclenchement de l'ovulation. Mais je ne sais pas si c'est certaines parmi vous ont déjà fait ça. Il y a certains gynécos qui font ce qu'on appelle le test du duphaston. Le duphaston c'est un progestatif. C'est de la progestérone de synthèse faite en labo si vous voulez qu'on donne pour mimer. Une phase post-ovulatoire pour mimer le corps jaune en gros et sa production de progestérone et voir ce qui se passe à l'arrêt de dfa. Parfois, on l'utilise en plein d'autres raisons qui ne sont pas forcément bonnes. Ou on va dire que ça va faire revenir les si ça va équilibrer et relancer. J'en sais rien, tout ça, c'est faux. Puisque lefon ne fait pas OV violer, il mime juste ce ce qui se serait passé après l'ovulation. Par contre, en cas d'améliorer, il a un intérêt quand même qui est assez chouette, c'est de voir ce qui se passe à l'arrêt et du coup de pouvoir deviner ce qui se passe au niveau o. Variant. Je m'explique. Si on prend ce du fast tombe pendant une durée un peu équivalente qu'à une phase lutté et qu'on l'arrête brusquement et le corps, il est censé réagir comme à la mort du corps jaune et du coup entraîner le détachement de l'endomètre. Si on avait un endomètre, puisque du coup il a plus de projet pour le maintenir. Donc, si à l'arrêt du dufton on a. Des règles enseignement. Ce n'est pas des vraies règles, ça ne veut pas dire qu'on a ovée. Mais par contre, ça veut dire que quand même dans notre corps, dans notre utérus, il y avait un endomètre à évacuer. Donc si on remonte un peu la pelote, ça veut dire que dans nos ovaires, il y avait un peu de œstrogène qui ont provoqué cet épaississement de l'endomètre et du coup, ce saignement. Donc c'est quand un hyper intéressant ce test de dufton en cas d'amer, c'est à dire qu'on va pouvoir voir si on a un enseignement. Et du coup quand même une petite activité ovarienne et du coup un petit dialogue quand même ou si on n'a pas du tout de saignement. Et là, ça veut dire qu'on est dans le calme plat le plus total que dans les ovaires. Il n'y a aucune sécrétion d' œstrogène et que du coup dans l'utérus, il y a eu aucun épaississement d l'endomètre. Donc voilà ça. C'est une petite parenthèse sur la Maine, mais que je trouve quand même intéressante pour que vous compreniez ce concept de est ce que j'ai eu un petit épaississement dans nos mètres ou pas du coup est ce que j'ai un petit peu d'activité. Dans mes ovs il y a des fois ou il y en a quand même. On a quand même un peu d'activité dans les ovaires, mais pas suffisamment pour aller jusqu'à l'ovulation. Mais pourquoi je vous raconte ça? C'est parce que moi intellectuellement pendant longtemps, ça me faisait un peu une erreur 404 dans mon cerveau ou je me disais. Pourquoi dans ces cas d'améliorer, même s'il se passe un peu des trucs, en fait, le corps est bloqué dans cette longue phase pré ovulatoire. Et pourquoi parfois, on se retrouve avec un cycle à no obligatoire, c'est à dire qu'on a quand même un enseignement, alors même qu'on n'a pas OV volé pourquoi on n'est pas comme ça aussi en fait, dans cette longue phase rogatoire, pourquoi on a cette fin? De cycle, alors que quand on n'a pas OV vulé normalement, on n'est pas censé avoir cette fin de cycle, sauf si on la mime artificiellement avec un médicament type du fast. Mais sinon, on n'est pas censé avoir ce saignement à la fin, puisqu'on n'a pas le trigger l'espèce d'élément déclencheur, qui est l'arrivée de la progestérone et la chute de la progestérone. C'est elle qui est censée entraîner ce détachement d'e domaine. Donc pourquoi diable on a ce détachement d'e domaine dans le cadre du cycle à OV obligatoire. Eh bien, c'est qu'en fait comme dans la main, Ou on a quand même un petit épaississement d l'endomètre et un détachement à l'arrêt du du façon dans le cycle ambulatoire. On a toute la phase rogatoire, on a une activité ovarienne et en fait, on va même plus loin que dans le cycle anovulatoire. C'est à dire qu'on a une vraie sécrétion de œstrogène, une vraie croissance a priori des follicules et du coup un vrai épaississement de l'endomètre. Toute la phase pré ovulatoire se passe. Plus ou moins normalement, on a vraiment tout ce qui se passe. Donc, vous savez, mes quatre lignes dans les ovaires, on a les follicules qui grossissent, qui sécrètent des œstrogènes dans l'utérus, on a l'endomètre qui s'épaissit et sous l'effet des œstrogènes aussi au niveau de la guerre. A priori, on a aussi de la guerre qui est sécrétée puisqu'on a des œstrogènes, mais. C'est la dernière ligne qui ne va pas, c'est qu'on n'a pas de montée de température puisque la température, c'est le seul indicateur de la phase post-ovulatoire. Donc du fait qu'on a bien OV volé, mais tout le reste, ça va se passer de la même façon. C'est juste qu'encore une fois pour une raison sous y grec, l'aboutissement ne va pas se faire le pic de lh soit ne va pas être reçu, soit ne va pas avoir lieu, mais on ne va pas avoir cette rupture du follicule et cette libération de l'ovule. Et donc cette création du corps jaune et sa sé création de progestérone, on n'a pas. De progestérone dans le cycle a no obligatoire ça, c'est hyper important puisque pour produire de la progestérone, il faut ovulaire. Mais donc pourquoi le corps ne reste pas comme ça tant qu'il n'a pas ovée dans cette longue face OV obligatoire et pourquoi on a un cycle qui se termine quand même à peu près au même moment ou il serait terminé. Normalement, il y a plein de femmes qui des cycle de 28 jours, mais qui n' vu jamais pourquoi on a cette espèce d'anniversaire à tous les 28 jours, comme si on avait ovulé et pourquoi on ne reste pas dans une longue phase rogatoire comme dans la main. Et elle est vraiment là à la clé, c'est que dans la main, encore une fois, on a. Pas ou peu d'épaississement d l'endomètre, alors que là on a un endomètre qui s'est bien épaissi puisqu'on a eu des gènes. En fait, il y a deux théories plus ou moins à la raison pour lesquelles on a un enseignement à la fin de ces cycle. Là, la première, c'est qu'en fait, si on restait comme ça dans cet état de fête. D'ovaire qui continue à produire des œstrogènes et du coup l'endomètre qui continuent à s'épaissir. On se retrouverait au bout de plusieurs mois si on était comme ça, bloqué dans cette phase pré ovulatoire avec un ventre, mais digne d'une femme enceinte de neuf mois, puisqu'en fait l'endomètre continuerait de s'épaissir s'épaissir de s'épaissir. Donc notre utérus serait au bord de l'explosion. Donc, en fait, il y a un phénomène d'auto. Sabotage de l'endomètre. Qui va devenir trop instable, s'écrouler presque sous son poids et vraiment se détacher parce qu'il devient trop épais. Et c'est pour ça que parmi les clés de lecture d'un cycle ambulatoire, je les présenterait juste après. On peut avoir des saignements très abondants parce que les astros n'ont monté trop longtemps, ont trop épais, c l'endomètre, ils n'ont jamais été freinés par la pérone dont c'est le rôle. Une fois qu'on avilé que de freiner cet épaississement de l'endomètre, il le vascularisé. Donc on va avoir des saignements très abondants. Je vous l'explique juste après quand je vous ferai la liste un petit peu, si vous voulez des des choses qu'on peut observer dans un cycle à ambulatoire. Mais du coup, on va vraiment avoir ce concept de ou endomètre qui devient trop instable et qui croule sous son propre poids et qui se détache. Ça, c'est la première façon d'expliquer les règles dans un cycle no obligatoire qui est plutôt mécanique en fait, qui est de se dire. À un moment, il faut que ça cesse quoi? Il ne peut pas grossir plus. Il faut qu'il s'en aille. Donc il se détache sous son propre poids entre guillemets. L'autre façon de voir les choses, c'est te dire qu'en fait, on a comme dans un cycle ovulatoire cette désagrégation, je si se dit du corps jeune et la pérone qui chutent. Et bien là, on a des œstrogènes qui, de même, vont au bout d'un moment. Arrêtez de monter. C'est un peu la théorie du si je lâche l'affaire. J'abandonne, ça ne sert à rien. Ce cycle ne va pas aboutir. Le dialogue hormonal ne va pas se concrétiser. Le cerveau ne veut pas entendre mon message comme quoi je suis prête. Et du coup, les gènes de même vont chuter. Et au lieu que ce soit la chute de la progestérone qui entraîne le détachement de l'endomètre, c'est la chute des œstrogènes qui vont entraîner ce détachement d l'endomètre. Et donc on va avoir un retrait stro génique si vous voulez, qui va provoquer ces fausses règles. Sous l'effet de cette chute dégène donc, dans un cas, on serait plutôt dans un excès d œstrogène qui fait qu'on a un endomètre trop épais dans l'autre. On serait aussi dans un excès d' œstrogène, mais qui y a un moment, se retire et provoque ce détachement de ce qui a été construit. Sous l'effet de ces gènes. Donc, la raison à la rigueur hyper philosophique théorique, ce n'est pas forcément ce qui importe ce qu'il faut se dire, c'est qu'on a quand même ce, cette privation, cette fin de cycle ou l'endomètre, ne peut pas continuer à s'épaissir plus longtemps avec des œstrogènes qui continuent à monter. Ce n'est pas possible physiquement, on ne peut pas. Donc, à un moment donné, ça se détache. Et ce qui est fou, c'est que très souvent, C'est au moment ou les règles seraient arrivées si on avait eu un cycle ovulatoire. C'est pour ça que ça porte beaucoup à confusion et que si on n'a pas observé son cycle et vu un petit peu les critères que j'ai vous lister juste après. Eh, on peut complètement passer à côté puisque on a un enseignement à la date ou en laquelle on aurait dû avoir un enseignement. Et juste on n'a pas eu au au milieu l'élément marquant du c qui était l'ovulation. Et donc la sécrétion de progestérone, c'est ça, vraiment. La différence entre le cycle à OV, obligatoire et l'am minerai, c'est que dans le cas de la mine, on n'a pas suffisamment d'épaississement l'endomètre. Et donc ça reste comme ça dans ce calme plat alors que dans le cycle adulatoire l'endomètre s'étant épaissi à un moment. Il faut qu'ils détachent et il se détache. Et en fait, du coup, on a ces fausses règles, cet saignement artificiel de détachement de privations à l'appel comme on veut, mais qui va se faire passer pour des règles mais qui, en fait, ne sont pas des règles qui suivent une ovulation réussie. Et donc, maintenant que je vous ai expliqué tout ça, je suis sûr que vous êtes capable de me lister les critères, les indicateurs qui peuvent mettre la puce à l'oreille d'un cycle anovulatoire. Donc si vous les avez, dites les vous dans votre tête et vous me direz à la fin de l'épisode, si vous les aviez deviné. Mais sinon, je voulais, je voulais donner moi. En gros, il y en a quatre principaux. Le premier, c'est au niveau de la glaire. Je vous ai dit on va avoir, on peut avoir de la guerre dans un cycle ovulatory puisqu'avant l'ovulation qui n'a pas lieu, mais tout se passe un petit peu comme d'habitude. On a a priori des œstrogènes qui sont sécrétées. Donc on peut voir de la glaire, mais on va pouvoir voir peut être une glaire différente de d'habitude ou une glaire qui dure hyper longtemps puisque, vous savez, on n'a pas assez de ce frein, de la progestérone ou une guerre qui va qui vient en tout cas. Voilà, on peut voir dans son profil de glaire quelque chose qui n'est pas habituel. Comme on peut aussi ne rien voir du tout et avoir une glaire qui est assez similaire à celle qu'on voit d'habitude. En tout cas, on va avoir de la glaire. C'est ça qui est intéressant, contrairement à la minor, ou on peut ne rien avoir du tout là. A priori, on va avoir de la glaire. Ça, c'est le premier niveau. Le deuxième. Qui est toujours dans les indicateurs deymie et qui en fait le plus flagrant, c'est évidemment la température. Et c'est pour ça que je vous invite si vous avez envie de vous rassurer à prendre votre température, puisque quand on voit le décrochage de température qui se maintient pendant plusieurs jours typiques de la progestérone, je vous assure que c'est. Passionnant et hyper rassurant et moi peut être que ça vient de mes angoisses dont je vous parlais au début de cet épisode. Mais encore aujourd'hui, après des années et des années, et je n'ai pas moins de dizaines, voire de centaines de cycles observés. J'ai toujours encore cette magie de, wow, mon dieu, mon corps, il a réussi ou j'ai ovée incroyable, alors même que je le sais en maintenant, mais je trouve toujours ça aussi merveilleux de voir cette température monter parce que c'est la seule chose qui confirme que oui, vraiment, on a ovée sur ce cycle. Il n'y a pas de débat. On est sur un cycle ovulatory. Bien sûr, on peut aussi, si on a envie faire un dosage sanguin de la progestérone, un dosage urinaire, il y a des tests comme ça pour faire son dosage de progestérone à la maison. Je pourrais vous mettre les liens si vous voulez en description aussi. Donc là, si on la fait au moment ou on est censé avoir OV vulé idéalement à peu près une semaine avant ces prochaines règles et qu'on n'a pas de progestérone, c'est qu'on n'a pas OV violé. Mais ce jour, ce n'est pas forcément facile parce que si on n'a pas suivi son cycle avec la symptom hermie, on ne sait pas à quel moment on serait censé avoir de la progestérone. On ne sait pas forcément quand faire le dosage au bon moment. Je vous fasse un épisode là dessus, d'ailleurs, sur quand d'oser sa progestérone, pour être sûr qu'on a un bon niveau, mais ce n'est pas le sujet du jour. Mais donc, voilà la deuxième critère. C'est évidemment une courbe de température plate, ce que je vous disais quand je reçois des cycles comme ça. Moi, je le devine tout de suite. Je le vois qu'on n'a pas ce décalage de température. Si, bien sûr, on a pris la température dans les bonnes conditions pour qu'elle soit fiable et lisible. Le troisième indicateur que vous avez peut être deviné, c'est évidemment au niveau des règles puisque, comme on n'a pas ce tampon, ce frein de la progestérone qui vient densifie l'endomètre, potentiellement avoir des règles plus abondantes. Puisqu'on a eu des œstrogènes qui l'ont épais ci pendant trop longtemps, notre endomètre, mais aussi potentiellement avec des caillots, des lampes, des espèces de lambeaux. Puisque comme on n'a pas eu cette densification par la progestérone, on peut avoir des règles qui tombent un peu plus comme un château de cartes et du coup qui font des gros lambeaux, des gros caillot comme ça. Donc des règles plus abondantes ou avec des caillot, ça peut être un indice de cycle lavatoire. Mais on peut aussi avoir des règles assez similaires à d'habitude, mais aussi avoir parfois des règles plus plus abondantes sur un cycle sans que ce soit un un signe d'ovulation. Mais ça peut mettre la plus à l'oreille. Et le dernier indicateur, c'est sur justement tous les symptômes de la progestérone puisqu'on n'a pas de progestérone dans un cycle comme ça. Eh bien, on ne va pas avoir son effet apaisant. Après l'ovulation, vous savez, la progestérone allait s'était fait un petit peu anxiolytique naturel apaisant là, on l'aura pas, mais on n'aura pas non plus les symptômes potentiels de la chute de la progestérone en fin de cycle, le fameux SPM, syndrome pré menstruel. Et donc on peut avoir une fin c différente de d'habitude avec soit pas de SPM. Et on va se dire tiens bizarre parce qu'on n'aura pas cette sensation de manque. De la progestérone ou un SPM beaucoup plus fort puisqu en fait, comme il se passe pas la même chose que d'habitude, qu'on a ces chutes de œstrogène un peu che loup, ça peut aussi provoquer des symptômes différents. Donc voilà une fin de cycle pas comme d'habitude avec des symptômes étranges. Ça peut être aussi un, un signe de cycle no obligatoire, mais sinon, vous avez compris entre la guerre. Les règles, les symptômes de phase post, observatoire et la température. C'est vraiment la température le plus fiable et celui qui va ne laisser place à aucun doute pour faire la part des choses. Donc, encore une fois, je le répète, pour conclure cet épisode, si ça vous est arrivé, vous avez compris ces trois à 18 des cycles. C'est normal ne faut pas avoir peur. Si par contre, c'est sur tous les cycles, ça vaut le coup de creuser. Parce que là c'est embêtant, d'autant plus si vous voulez un bébé. Donc là, il faut vraiment essayer de comprendre ce qui se passe et d'aider le corps à ovuler en fait le dialogue hormonal à se rétablir. Il y a plein de choses qu'on peut faire pour ça. Évidemment, la médecine peut vous aider. On peut vous faire des un indicateurs d'ovulation. La stimulation hormonale, etc, mais aussi plein un truc qu'on peut faire pour rétablir un climat propice à l'ovulation par l'hygiène de vie. Ça, c'est ce qu'on fait nous beaucoup, notamment dans le Fertility club, mais voilà, vous avez à la fois plein d'outils naturels et d'outils médicaux pour vous aider là dessus. Mais j'espère qu'en tout cas, avec cet épisode, vous aurez déjà des clés de lecture que vous comprendrez comment on fait la part des choses que vous pourrez lire dans vos cycles. Pas juste dans vos règles, mais aussi dans votre ovulation. Et voilà, en tout cas, je vous remercie du fond du cœur d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Je vous dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode et je vous embrasse.