Émancipées, le podcast

#63 Cycle menstruel, fertilité : 7 signaux essentiels souvent délaissés

Laurène Sindicic Season 1 Episode 63

À propos de l’épisode :

Cycle menstruel : 7 signes souvent ignorés en médecin (et pourtant essentiels pour votre fertilité !)

Dans cet épisode, on aborde 7 points cruciaux (et passionnants !) autour du cycle menstruel, de la physiologie et des hormones féminines que le corps médical tend à négliger alors même qu’ils jouent un rôle prépondérant en matière de fertilité :

  • nos symptômes et ce qu’ils disent de notre équilibre hormonal (fatigue, irritabilité, douleurs, seins tendus…),
  • la durée de la phase post-ovulatoire, trop souvent considérée comme “fixe” à 14 jours,
  • le rôle essentiel mais méconnu de la progestérone et de la glaire cervicale,
  • l’insuffisance fréquente des bilans classiques : thyroïde, vitamine D, zinc, oméga-3, etc.

J’en profite aussi pour vous raconter quelques anecodtes personnelles, pour vous montrer que moi aussi, je peux galérer à faire entendre ces points dans ma vie perso : ). Et j’espère cet épisode vous donnera des clés pour mieux écouter votre corps, et vous encouragera peut-être à ouvrir le dialogue autour de ces 7 points cruciaux avec votre médecin, pour un meilleur suivi hormonal !

🎧📚 Les ressources citées dans l’épisode :

🎁 Télécharge gratuitement notre guide Cycle Menstruel : il vous aidera à mieux observer, comprendre et décrypter les messages de votre corps !

Nos Clubs :
👶 Vous êtes en projet bébé et/ou souhaitez reprendre en main votre fertilité naturellement ? Le Fertility Club peut vous aider !
👊 Vous voulez mettre un coup de pied à votre syndrome prémenstruel, le Moody Club est votre homme !

Nos mini-programmes :
🆙 Pour booster sa progestérone en phase post-ovulatoire, c'est par ici !
💦 Et pour une glaire cervicale de folie, c'est par 😇
👱‍♂️ Votre amoureux est largué quand on lui parle de cycle menstruel ? Le mini-programme Mon cycle expliqué à mon mec devrait l'aider !

Mais aussi...
🖥📱 On est ravis de partager toutes nos connaissances et de vous retrouver sur notre site web et notre compte Insta

Laurène:

Non, la progestérone on ne s'en fout pas. Non, les règles n'arrivent pas forcément 14 jours après l'ovulation, cette phase ne fait pas toujours 14 jours, et non, la progestérone, en fait, n'est pas toujours si elle est là, c'est que ça suffit. Elle peut être là, mais elle peut être là de façon insuffisante. Et si on a un taux, par exemple, inférieur à à peu près 15ng/ml par exemple de progestérone, sept jours après l'ovulation, ce n'est pas parfait pour permettre l'implantation d'un embryon. Salut à toutes à tous. Je suis heureuse de vous retrouver pour cet épisode que je tourne le dernier jour avant de partir en vacances et que vous écouterez plutôt à mon retour a priori, fin août, début septembre, mais j'anticipe et c'est un épisode un peu peut être différent de d'habitude qui est à la fois en réaction à un événement qui s'est passé il n'y a pas longtemps et dont j'ai parlé un petit peu sur Instagram et je trouvais chouette de revenir dessus. Et du coup, un épisode un peu plus "spontané" entre guillemets, moins préparé. J'ai juste listé sept points que je voulais aborder avec vous. Je risque degresser parce que c'est quand même ma spécialité, mais l'idée, c'était de faire un épisode sur différents sujets. Ce n'est pas exhaustif. C'est les principaux pour moi qui sont en général pas du tout explorés par le corps médical par la médecine en matière de fertilité d'infertilité et qui, pourtant, jouent des rôles hyper importants pour pas dire primordiaux parfois et qui font qui sont de l'ordre, plus de la physiologie, de l'écoute, du corps, des symptômes, etc. Et qui, je me rends compte, sont assez hermétiques, en tout cas par rapport à la médecine classique. Alors ça change de plus en plus et il y a de plus en plus. Et de médecins qui s'intéressent à ces sujets. C'est génial. Et j'en ai reçu plein dans ce podcast, mais pas tous. Et c'est notamment ma petite anecdote de cette semaine qui me l'a révélé. Donc, vous savez à quel point moi je tiens énormément tout ce qu'on fait avec émanciper avec le Fertility club, etc. Que ça reste à sa place de complément de soutien de good vibe, de savoir de pouvoir entre les mains des femmes sans jamais ni interférer, ni critiquer ni s'opposer aux médical. Donc, cet épisode a évidemment. Pas du tout vocation à faire ça ni à dire nous, on est meilleur. On voit des choses que les autres ne voient pas bien. Au contraire, vous savez que tous les médecins que je reçois dans ce podcast, à quel point je les respecte, à quel point je suis hyper heureuse d'avoir justement tout leur savoir, mais c'était d'amener ces petites clés comme ça de lecture. Que nous on aborde beaucoup plus avec cet angle un peu plus naturel, un peu plus physio, un peu plus sympto aussi. Donc voilà, c'est un épisode, évidemment hyper bienveillant qui n'a pas vocation à attaquer quoi que ce soit. Bien au contraire, vous me connaissez, mais je trouvais à choix de vous faire cet état des lieux. Ma petite anecdote à l'origine de tout ça, c'est que mardi, donc là, on est vendredi mardi, j'avais rendez vous chez un nouveau gynécologue que je ne connaissais pas. Il faut savoir qu'à Valence, j'habite à côté de Valence, dans la Drôme, c'est assez connu que ce n'est pas évident de trouver un gynéco. Il y a des gynécos à l'hôpital qui sont géniaux et j'en connais plusieurs et ils sont jeunes, ils sont incroyables, mais ils sont à l'hôpital donc ce n'est pas de consultation comme ça sur Doctolib. Donc moi, j'ai eu des expériences désastreuses avec un gynéco j'en ai parlé déjà, je pense dans mon épisode de Bliss, notamment dans le cadre de mes arrêt de grossesse. Donc on a rompu tous les deux. Je ne vais plus le voir. Donc là, je suis allée en voir un autre parce qu'il y a quelqu'un de très cher dans mon équipe qui a eu un petit souci gynéco et qui nous a dit à toutes faites des contrôles. C'est trop important, notamment un contrôle écho. Et moi, je n'avais pas fait d'écoute depuis longtemps. Bref, je vous raconte ça. Vous n'avez peut être pas besoin de tout savoir, mais pour vous dire que je suis allé voir ce nouveau gynéco pour faire un petit bilan et une échographie et que je me suis retrouvée face à tous les clichés du gynécologue vis à vis de ce qui touchait à la physiologie. Et quand j'ai commencé à parler de ma progestérone, notamment qui, objectivement, ne va pas très bien, alors je ne sais pas ce qui explique qu'à mon âge, elle soit déjà dans les choux comme ça, il y a peut être des raisons. Je fais tout ce que je peux et je l'améliore et il n'y a pas de sujet. Je, je mets toute mon énergie pour rééquilibrer mon cycle, mais de fait. Mes cycles ne vont pas très bien. C'est l'âge aussi à l'heure ou cet épisode sortira. J'aurais peut être eu 40 ans. Mon dieu, je n'arrive même pas à le dire. Et bon, c'est dans un mois et demi. Donc c'est normal que ça commence à se dégrader. Mais c'est un peu tôt quand même pour ce niveau là. Donc je lui ai parlé de ma progestérone et là il m'a fait des yeux la première fois, ce qui m'a dit c'est. On s'en fout. Je dis pas moi, je m'en fous pas. Pourquoi? Parce que j'ai des symptômes associés. C'est un peu un des objectifs de cet épisode, mais mais c'est quoi? Donc il était un petit peu perdu après. J'ai commencé à lui pas lui raconter. Il y avait mes bilans sanguins sur l'espace santé là. Vous savez, maintenant il y a un espace santé ou tous vos bilans sont ajoutés. Donc on a regardé ma progestérone qui effectivement, n'était pas ouf. Ah, ouais, moi. Bon, ben oui, mais bon, c'est pas grave. Vous avez vos règles. Oui. Donc bref, je me suis un peu heurté à tout ça et je me suis dit paise c'est fou parce que nous c'est devenu notre quotidien que d'accompagner des femmes dont la progestérone est parfois un peu dans les choux. Et on sait tous le rôle de la progestérone en début de grossesse. J'ai déjà fait plein d'épisodes là dessus. Donc je ne vais pas revenir là dessus, mais c'est elle qui permet l'implantation de l'embryon. Et après le déroulement. De la grossesse du début de la grossesse, en tout cas. Donc on sait son rôle primordial, mais par contre, le fait qu'elle soit insuffisante, tout le monde a allait s'en ficher. Ça, c'est le premier point et surtout les symptômes associés. Et c'est ça qui m'a vraiment un petit peu chagrinée lors de ce rendez vous, c'est que je disais ben ouais, mais moi en fait, je suis hyper irritable en fin de cycle, mais j'en vraiment beaucoup. J'ai des douleurs au sein, je dors moins bien, je suis fatiguée. J'avais fait un petit peu la liste de mes symptômes qui était flagrant. Et il me regardait un peu l'air de dire bah. Ouais. Et alors quoi? Donc c'était un peu l'élément déclencheur de l'envie de faire cet épisode, de lister un petit peu tous ces petits sujets que moi. Je vous invite à regarder avec la plus grande des attentions parce que je sais, on sait que ça a de l'importance. Et peut être vous apprendre à parfois, sans vouloir non plus, rentrer en confrontation, mais expliquer que quand vous avez vraiment observé quelque chose que ça a un impact sur votre corps, que vraiment, ça a un des conséquences sur votre quotidien, sur votre hygiène de vie, sur votre énergie, sur votre bien être. Et bien, en fait, on ne peut pas le laisser sous le tapis. Et ce n'est pas parce qu'on pense que la progestérone, par exemple, ça sert à rien si vous avez des symptômes importants. En fait, il faut essayer de les régler et de les améliorer. Et si, en plus. Vous voulez un bébé? Eh bien, c'est très important de l' optimiser cette progestérone. Donc c'était un peu l'angle qui m'a donné envie de faire cet épisode un peu spécial. Et maintenant je très trêve de bla arrête de vous raconter ma vie. Je vous explique un petit peu ces différents points, l'argent que le premier, vous l'avez deviné, c'est justement la progestérone. Donc je ne vais pas refaire un cours sur la progestérone. Encore une fois, je vous mettrai les liens en commentaire des épisodes que j'ai déjà tournés là dessus aussi, des articles sur le blog du mini programme progestérone. Qui est toujours très intéressant et très utile. Mais en gros, ce que je voulais dire, c'est que, premièrement, vous avez, vous le savez, l'ovulation n'arrive pas toujours le e jour, mais surtout, et ça, on le sait moins. Et pour le coup, le gin éco que j'ai eu mardi le savait pas du tout, c'est qu'en fait les règles n'arrivent pas toujours 14 jours après l'ovulation, la phase postulatoire ne dure pas toujours 14 jours. Et ça, j'ai l'impression que si maintenant c'est plutôt bien acquis que l'ovulation n'arrive pas forcément le jour 14. Par contre, ce n'est pas du tout acquis que la phase d'après. Jusqu'à présent, on apprenait 14, 14, 14 avant 14. Après cycle de 28 jours, on est des robots. On fonctionne tout comme ça à notre corps tous les tous les mois. C'est faire ça à 14, 14. On sait que c'est faux pour la phase pré ovulatoire qu'il y a des femmes que plus plutôt des femmes que vu plus tard, on ne peut que s'en rendre compte puisqu'il y a des femmes qui ont des décide qui ne font pas 28 jours. Donc c'est acté que cette phase peut varier. Mais j'ai l'impression qu'on n'a toujours pas intégré que la phase d'après pouvait varier aussi. Et donc ce fameux gynéco que j'ai vu mardi quand je lui ai dit voilà moi, j'ai eu un cycle de 23 jours, par exemple, il a fait son petit calcul dans sa tête. Il m'a dit d'accord, vous avez vu non. J'ai dit même j'ai un cycle de 22 jours. Vous avez au vollet aujourd'hui. Sin non non. Jour 11 bien jour huit. Pourquoi? Parce que 22 moins 14 huit. Et en fait, pour lui, c'était inconcevable que ma face postulatoire ait duré moins de 14 jours, alors qu'en réalité. Et ça, c'est quelque chose que j'observe tous les jours et des cycles. Dieu sait si j'en vois aussi bien de femmes en désir de grossesse dans le Fertility club que de femmes, pas du tout en des heures de grossesse. Il pourrait moins s'intéresser à ce sujet là ou en tout cas, peut être avoir moins de problèmes entre guillemets, vu qu'elles sont pas a priori confrontées à de l'infertilité. Mais j'en vois très peu, en fait, des phases post ovulatoire de 14 jours, quand je regarde des cyclogrammes en symptothermie qu'on valide la première température haute et qu'on compte, mais en fait, c'est hyper rare que je vois pile 14 quand je vois très, c'est très cool, 12, mais en fait, c'est pas, c'est compliqué. Et là, hier, je faisais l'analyse justement des courbes de smie, des filles du précédent Fertility club qui restent dans le cocon après. Raconte pas toute notre petit organe, mais je leur analyse leur courbe tous les mois. Et donc je les prenais toutes et là, en fait, c'était ces des filles qui sont là depuis longtemps qu'en suite depuis un moment, et je n'avais presque que des phases lut de 14 jours. Je leur ai sonné la cloche de la victoire parce que c'était trop bien, mais parce qu'elles y mettent des efforts importants qu'on travaille là dessus depuis longtemps avec plein d'outils qui ne sont pas l'objet de ce podcast là. Mais voilà, on fait des efforts et on arrive à des phases du théâtre de 14 jours, mais c'est au prix de plein de de pas de sacrifice. Oui. D'efforts pour allonger cette phase du théâtre qui était trop courte. Donc la réalité, c'est que moi, quand je regarde des cycles, j'ai des phases du théâtre de 11 jours, 12 jours. Parfois même moins de 11 jours. C'est même fréquent, ce qui est un vrai souci pour la fertilité, mais on en voit beaucoup. Donc vraiment ce premier sujet, c'était non. La pro ne s'en fout pas. Non, les règles n'arrivent pas forcément 14 jours après l'ovulation, cette phase ne fait pas toujours 14 jours et non la progestérone, en fait, n'est pas toujours si elle est là, c'est que ça suffit. Elle peut être là, mais elle peut être là de façon insuffisante. Et si on a un taux, par exemple, inférieur à à peu près 15 nanograms parmi l'élire par exemple, de pérone. Sept jours après l'ovulation. Ce n'est pas parfait pour permettre l'implantation d'un embryon. D'ailleurs, je vous ai dit sept jours après l'ovulation, ça, c'est aussi un truc qu'on entend beaucoup, c'est que la projet, il faudrait la doser le jour 21 parce que c'est le moment ou elle est censée être le plus haut. Donc à la moitié de la fête du tél. Mais ça, c'est encore partir du postulat que un on a vu au jour 14 et que de notre phase du total durait 14 jours. Parce que du coup, ça fait 14 plus sept égale 21. Donc voilà toutes ces petites choses qui, ce qui montre une méconnaissance ou surtout un dés intérêt par rapport à cette hormone. Moi, je trouve que c'est important de bien les avoir en tête et face à son à gin eco, sage, femme, etc. Si on sent que on nous envoie un peu valser ce sujet là ou qu'on nous dit à vous doser jean 21 ou machin. Soit on sent que le dialogue. Il est intéressant et on m'a peut être expliquer, non, en fait, je vu pas le jour 14. J'ai remarqué, je vu plutôt le jour 18. Donc si je fais le jour 21, ma projet peut être pas encore bien monté. Et là, c'est intéressant, soit parfois on sent qu'on est face à quelqu'un qui démordra pas ce qui était mon cas, notamment mardi sur ce sujet là, en tout cas. Et dans ce cas, là, on dit d'accord. Et puis on adapte après son dosage quand par rapport à son cycle à soir. Mais voilà ce sujet. Je trouve qu'il est très parlant de cette absence d'intérêt pour la physiologie pour les hormones. Alors même qu'en fait la fertilité, c'est d'abord une histoire d'hormone beaucoup une histoire de progestérone. Et en fait, c'est elle qui joue un rôle très important dans l'arrivée d'un bébé. Donc c'était mon premier point. Que vous aviez peut être deviné parce que j'en parle souvent et qui m'anime beaucoup. Le deuxième sujet, assez lié au premier, c'est tout ce qui touche aussi une clinique aux symptômes aux ressentis qu'on a dans un examen clinique avec un classique d'infertilité. On va poser plein de questions sur les si sur les règles, etc. Mais en tout cas, c'est mon point de vue et je sais qu'il y a plein de gynécos qui font différemment, mais pas trop sur le ressenti. Réel et surtout sur la corrélation de ce ce ressenti par rapport au cycle. Alors qu'en fait une femme qui a toujours très mal aux seins, toujours au même moment du cycle, une femme qui est toujours très triste pour pas dire déprimée, toujours au même moment du cycle, une femme qui a toujours des migraines exactement au même moment qui est très fatiguée. C'est tout. Des signaux d'hormones. Qui parle, hormone qui parfois je dis souvent chuchote, parfois c n'est pas évident de les écouter. Parfois elle hurle et là, en fait, on se dit mais comment j'ai pu passer à côté de ça? Mais voilà toute cette partie un peu. J'appelle ça à la symptomatologie. Vous voyez à toutes l'écoute des symptômes, l'écoute de ce que le corps dit. C'est pour moi. Trop peu pris en compte, alors même que ça veut dire beaucoup de choses, à condition évidemment que la femme sache s'écouter et on nous a pas appris à nous écouter. On nous a beaucoup appris à banaliser aussi nos ressentis et qu'elle sache aussi un petit peu sur son cycle pour comprendre la récurrence des choses et se dire ok, en fait, ça, c'est toujours au même moment, est ce que ce ne serait pas lié justement à un déséquilibre d'une hormone par rapport à une autre ou que sais je? Donc ça nécessite d'avoir des clés de lecture, bien sûr, en amont, mais après. Vous allez voir que c'est assez flagrant et on va dire, mais punais ou, et j'ai pas vu ça, je n'ai pas ressenti ça alors que tout était sous mon nez. Je parle bien sûr des hormones du cycle et ça pourrait faire la transition avec mon plan. D'après il y a plein d'autres hormones qui ont des langages très écoutable, très entendable la thyroïde, notamment, elle a une clé de lecture pour apprendre la langue de la thyroïde. Ce n'est pas très compliqué. Et parfois on se dit mais puis j'avais tout sous les yeux, tous les tous les signaux étaient au vert, au rouge. Je ne sais pas et je les voyais pas. Donc d'apprendre à écouter son corps. Et d'en parler avec ses soignants. Moi, je trouve que c'est hyper important parce qu'en fait, ça peut accélérer beaucoup un diagnostic. Ça peut permettre de moins perdre de temps. Ça peut permettre de comprendre des choses, mais encore faut il savoir s'écouter et oser le dire. Et ça, ce n'est pas facile parce qu'encore une fois moi, mon gy de mardi. Quand j'ai commencé à lui raconter mes trucs, je sentais que je lui parlé chinois complètement après cette personne, plutôt en fin de carrière. Mais je pense que peut être que j'étais une des premières de sa vie qui qui lui déballait comme ça, tous ses symptômes en lui, est corrélé à son cycle et sentais que ce n'était pas du tout quelque chose qui prenait en compte habituellement pas, alors que c'est si important et si parlant et si révélateur de ce qui se passe à l'intérieur. Du coup transition toute faite avec mon troisième point, justement la thyroïde, très souvent, la thyroïde. Donc c'est une petite glande qui est là au niveau du coup qu'à la forme d'un papillon et qui gère tout ce qui touche à notre métabolisme global. Donc elle a un impact sur plein de choses et cette glande, elle peut tourner. Trop vite, trop fort ou pas assez. Et donc on parle d'hyer tyroïde ou d' hypothyroïdie. C'est donc que l' hypothyroïdie. C'est plus fréquent. Moi, j'ai une hypothyroïdie qu'on appelle dhi moto, c'est à dire qu'elle est auto immune. Bref, on est plein de femmes concernées par ça et cette glande en fait, quand elles se dérègle un peu. Son donneur d'ordre qui est dans le cerveau et c'est une hormone qui s'appelle la tsh va soit sur réagir parce qu'elle va dire ou là le papillon, il va trop doucement. Donc je lui envoie encore plus de messages. Donc on va se retrouver avec une tsh qui monte ou a contrario. Si les glands, les hormones de l' thyroïde vont trop vite, le cerveau va se mettre un peu sur pause en disant pop up. Il s'active déjà trop. Je ne vais pas leur en rajouter. Et on va voir une TSH qui va diminuer. Et en fait, l'indicateur toujours communément observé pour voir si la théorie va bien. Dans un bilan fertilité ou autre, c'est uniquement la tsh. En fait, on vient regarder le donneur d'ordre pour voir comment vont les exécutants, sauf qu'en fait le donneur d'ordre déjà quand ils commencent à s'énerver, c'est souvent que les exécutants, ça fait un bail qui vont pas bien. Donc il n'y a pas forcément une corrélation, etc. Et donc on peut observer des tsh qui ont l'air normal. Alors que si on regarde plus bas au niveau de ceux qui nous intéressent vraiment, c'est un peu le boxant. Et puis surtout ce qu'on appelle les normes de laboratoire. La fourchette est extrêmement large. C'est une fourchette qui va permettre d'englober. Tout le monde est en fait représentatif de la population. Donc on considère par exemple qu'une tsh est bien quand elle est en dessous de 4,5. Je rent pas dans les chiffres, etc. Plus que ça, parce que ce n'est pas du tout l'objectif de ce podcast. Mais en fait ça, c'est des normes de labos pour couvrir tout le monde et qui montrent en fait un peu l'éventail qui a dans la population. Mais ce n'est pas du tout des normes santé. Et ça, c'est bien connu en médecine fonctionnelle notamment etc. Ou en fait une tsh à 4,5 c'est a priori, une théorie qui va déjà pas bien du tout et qui, potentiellement a des impacts négatifs sur tout le corps et notamment sur les ovaires sur la fertilité. On dit plutôt que c'est en dessous de deux max qu'on veut la tsh. Mais donc là aussi, c'est quelque chose qui, à mon sens, est un peu trop vite balayé. On regarde que la tsh avec les normes labos. Alors beaucoup, bien sûr, ça veut ce que je vous dis sur les normes santé et regarder les santé, mais sans aller regarder la T3 la T4, qui sont les hormones qui nous intéressent vraiment. Encore une fois, la tsh, c'est juste un peu la conséquence et aussi des anticorps pour voir s'il n'y a pas justement une hypothy auto immune comme Hashimoto, il y a plein d'autres. Je ne rend pas dans le détail dans le fertilité. On va beaucoup plus dans détail là dessus, mais il y a plein d'autres choses à regarder au niveau de la thyroïde. Et en fait, on peut encore une fois avoir une tsh qui va bien et des hormones tyroliennes qui vont pas bien du tout et qui vont avoir un impact. Très important sur le corps. Et là, je vous disais, il y a un petit peu un tableau de symptôme qui n'est pas si compliqué à lire. En fait, quand on sait faire quelqu'un qui est toujours fatigué dès le matin, qui a des difficultés à perdre du poids qui a toujours froid. Voilà, c'est un peu, il y a plein de symptômes comme ça, de l' hypothyroïdie ou parfois on se dit mais oui, effectivement, c'est complètement moi. Et même quand la ts a est bien, en fait, non, c'est qu'il y a clairement un sujet tyroïde. Donc voilà, peut être sur ces sujets là d'aller un petit peu plus loin. Que ce qu'on fait habituellement que ce qu'elle les conventions veulent pour creuser tous ces trucs un peu plus physiologiques, un peu plus hormonaux qui sont pas très valorisés aujourd'hui. Mon quatrième point, c'est évidemment mon autre passion après la progestérone, la glaire cervicale et moi, je trouve toujours ça fou quand on sait le rôle de la glaire. Et pour le coup, c'est très bien documenté que c'est la glaire qui permet la survie des spermatozoïdes que c'est elle qui permet l'ascension du col de l'utérus que la plupart des contraceptifs hormonaux en fait l'un de leurs principaux rôles, c'est justement de compacter la glaire de la coaguler un peu dans une sorte de bouchon hermétique. Qui bloque le col et ça, en fait, ça empêche les spermatozoïdes de passer. Donc ça a un effet contraceptif. Donc on a créé des contraceptifs sur la base de la glaire, en la rendant inapte à exercer son rôle. Donc, tout le monde sait bien que cette glaire est quand même hyper importante, puisque sans elle, on ne peut pas tomber enceinte. C'est la base d'un contrat, d'une contraception. Et par contre, quand on renverse le sujet et qu'on est plutôt dans un sujet fertilité, on n'en tient pas du tout compte. Et si cette glaire, en fait, elle a un peu le même aspect. Que quand on est sous contraception, qu'elle n'est pas de bonne qualité, qu'elle n'est pas assez fluide, qu'elle n'est pas assez présente. Ben là en fait, on a l'impression que ça n'intéresse personne, alors même que c'est primordial et que sans elle. Spermatozoïde ne peut pas aller rencontrer l'ovule s'il ne peut pas passer via la guerre dans le col de l'utérus, être alimenté, etc. Donc ça aussi, c'est un sujet ou je me dis mince à quel moment on va redonner ses lettres de noblesse à la glaire cervicale, parce qu'en fait, elle est un élément clé de la fécondation qui est bien connu quand on parle de contraception mais qui est complètement zapper quand on parle de fertilité. Donc l'appareil, je rent pas plus dans le détail sur la glaire. Je vous renverrai aux épisodes ou on en parle en détail, notamment avec le professeur écocher. On a fait un épisode super sur la glaire. Je mettrai aussi des ressources, mais, mais vraiment, je trouve qu'on n'en parle pas assez. Et mais moi, la première parler de ma glaire à mon gynéco limite, j'ose pas parce que je me dis mais il va me prendre pour une tarée alors qu'en réalité punaise c'est hyper important. Et du coup, voilà. Encore une fois ça, ça change. La smie est de plus en plus connue de plus en plus recommandée aussi. Donc on voit bien que grâce à elle, on peut savoir quand on OV, vu que elle est complètement corrélée aux œstrogènes et à la période de fertilité, mais dire qu'on a une guerre pao. Ça, c'est limite un gros mot. Et avant, il y avait un test qui s'appelle le test de un h u h n r. On appelait aussi test postal. Ça consistait en fait pour un couple en désir d'enfants à faire analyser ces sperm dans la guerre. Donc, concrètement, il fallait faire l'amour avec une éjaculation à l'intérieur. Garder. Du coup essayer d'évacuer le moins possible. On va pas rester non plus les cuisses comme ça contracté, mais voyez ne pas trop évacuer, voyez après le rapport et de se rendre chez son gynécologue qui va faire un prélèvement du coup de glair qui a priori, contient encore des spermatozoïdes et d'analyser au microscope la façon dont les spermatozoïdes se déplace dans cette guerre. Donc, dans ce cas là, on voit à la fois la bonne fluidité de la guerre. Et la bonne mobilité des sperato et de regarder aussi le ph de cette guerre puisque la guerre, elle doit être basique pour maintenir les spermatozoïdes d'envie et si elle est trop aide, elle ne va pas pouvoir jouer son rôle. Donc ce test, en fait, moi, je le trouve hyper intéressant et il permettait de voir plein de choses à condition, bien sûr, de le faire à un moment de grande fertilité ou du coup, la guerre est translucide et tir. Le fameux blanc d'œuf cru que si vous faites ça au tout début de votre cycle ou en post-ovulatoire quand la guerre justement, est plutôt compacte. On va vous dire qu'elle est naze, mais c'est normal. Elle est comme ça à ce moment là. Mais si on l'a fait au bon moment, je dirais que c'était un test hyper intéressant et clairement, il est plus du tout pratiqué ou très peu. Il y a encore quelques gy qui pratiquent, mais c'est plus du tout dans l'air du temps. On considère que ça sert à rien et les gynécologues qui me suivent et que j'adore vous me direz je sais que vous êtes d'accord et vous dites on fait plus ce test là, moi parfois, je trouve ça. Domage. Je me dis que ça voulait dire plein de choses et ça pouvait permettre d'expliquer à une femme comment prendre soin de sa clair, faire en sorte qu'elle soit de meilleure qualité, parce que là encore, on a plein de choses entre les mains parce que ça reste un fluide, une sécrétion du corps, donc on peut favoriser sa production. Donc c'est mon quatrième sujet que je trouve un peu dommage, mais je pense que vous avez compris que je participer à remettre cette guerre sur le devant de la scène. C'est le cas de le dire puisque que je l'ai fait dans le blis show ou j'ai quand même fait un talk sur la guerre à l'olympia tout simplement. Mais mais moi, je n'ai pas, je trouve qu'il faut en parler et surtout pas avoir honte de parler de ce sujet parce qu'encore une fois, il est trop important. Mon cinquième point, je me rends compte que je ne vais pas trop rentrer dans le détail parce que là aussi, je vais consacré un épisode, mais c'est tout ce qui touche à la réserve ovarienne et un peu à tous les fantasmes autour de l'AMH, l'hormone antimüllérienne où en fait, parfois on peut avoir tendance. Je ne dis pas que les médecins le font parce que ça, pour le coup le savent très bien, mais les femmes peuvent avoir tendance à regarder juste leur ahh lors. Donc ce taux là, qui est une hormone sécrétée par les follicules en trop, qui sont les follicules à un stade intermédiaire de développement et qui reflète. Plus ou moins la quantité du coût de follicule qui reste dans les ovaires et qui serait du coup un reflet de de la réserve ovarienne. Et moi, j'ai énormément de femmes qui m'écrivent me parlent pour me dire je suis en insuffisance ovarienne précoce parce que j'ai une amh basse, sauf qu'on on qualifie pas pose pas du tout un diagnostic d'insuffisance ovarienne précoce juste avec une am. Ça, vous le savez, il faut regarder quelque chose de beaucoup plus global. Pouvoir la FSH. Qui est justement un peu comme notre tsh l'hormone du cerveau qui vient stimuler les ovaires est ce qu'elle est montée. Si elle est montée, ça veut dire que comme notre tsh en fait, elle est en train de sur stimuler des ovaires qui sont un peu trop au ralenti. Donc ça va dans le sens d'une réserve affaiblie. Comment sont les follicules en trop à l'échographie? Est ce qu'on en a suffisamment ou pas. Si on a pas assez, ça va encore dans le même sens. Comment éventuellement notre stadia? Parce que si il est bas aussi, ça veut dire qu'il n'y a plus beaucoup de follicules qui sécrètent. Et puis surtout, surtout, surtout. Comment sont les cycles est ce qu'on a vu tous les mois ou pas une femme qui a tous ces indicateurs qui sont bas mais ou haut pour la FSH, mais qui en fait tous les mois à une ovulation, c'est à dire que même si dans son corps, il reste plus beaucoup de vos sites, même si tous les mois, il y a 15 follicules sur la ligne de départ. En fait, il remporte la course à chaque fois. Le gars est fort. Il n'a pas besoin d'en avoir 10 derrière lui à battre. En fait, il s'en sort tout seul. Donc voilà là, c'est plus un message à vous, les femmes, et pas du tout. Un petit peu mon sujet de départ, qui était ce que le corps médical ne prend pas en compte. Ça, le corps médical le sait très bien qu'on ne se base pas que sur la mh, mais par contre, vous ne le faites pas non plus parce que ce taux ne veut rien dire. Et si vous savez, le nombre de femmes. Nous dans le Fertility club notamment qui arrive avec des am image à zéro deux, c'est très bas en disant c'est fini. Je suis ménopausées machin et qui, en fait tombe enceinte. Très bien parce et on se rend compte qu'elles ont des super ovulations. Donc ça ne veut rien dire vraiment, ne paniquer pas par rapport à ce chiffre là. Et ça, c'est un des fantasmes. Mythe, je ne sais pas quoi qu'il faut vraiment. Débuquer mon avant dernier point, on l'a un peu abordé aussi dans l'épisode avec le docteur Jérémie calvo. Qui est gynécologue, mais aussi formé en micronutrition. Et on a parlé de tous les examens que lui faisait de micronutrition pour expliquer parfois une infertilité inexpliqué puisqu'en fait à la base, on ne va pas du tout regarder ces sujets là de micronutrition donc c'est des trucs qui soient. On s'y intéresse comme lui. Et donc ça va être investigué et on va peut être trouver des causes à une infertilité là dedans. Soit c'est des gens comme nous qui sommes passionnés par tout ça et convaincus aussi que ça joue un rôle. Et donc on va vous aider à aller dessus, mais sinon, dans le bilan de base, on ne va pas du tout regarder le taux de vitamine d, le taux de zinc, etc. Alors même que ces vitamines, ces minéraux, ils jouent un rôle. Très important, soit dans la qualité ovo ctaire, soit dans l'équilibre hormonal. Et pour le coup, il y a des études qui montrent par exemple, qu'une carence en fer, ça a un impact sur l'ovulation qu'une carence en vitamine d. Ça a un impact sur la réserve ovarienne, la qualité ovocytaire qu'une carence en zinc. Ça a un impact sur la production des spermatozoïdes, mais aussi sur la qualité des ovocytes. Il y a plein d'études là dessus. Et pourtant c'est quelque chose qui n'est pas trop pris en compte. Certes, c'est beaucoup moins. Flagrant grave qu'une femme qui n'a pas de trompe par exemple qu elle est trop obstruée, mais ça reste plein de petits leviers qui jouent un vrai rôle en matière de fertilité et qui sont pas assez regardés. Donc, faire un bilan vitam unique et minéraux, faire en sorte vraiment d'avoir plus de vitamines et minéraux dans son alimentation. C'est hyper important, aller les chercher dans un multi vitamine, un complément alimentaire, le cas échéant, ça peut être très bien aussi quand on en a pas assez. Mais voilà, c'est un des parents pauvres. Là aussi tout ce qui, ce qu'on appelle un peu la micronutrition, un parent pauvre de la fertilité. Alors qu'en fait, ça joue un rôle aussi très important, beaucoup plus micro, mais néanmoins crucial. Et mon dernier point qui je pense, est quand même pas complètement oublié mais peut être pas suffisamment mis en avant. C'est le rôle du gras. Je parlais de micronutrition juste avant. Là, on n'est plus sur ce qu'on appelle la macro nutrition qu'un gros protéine, glucides, lipide, etc. Et en fait, il faut savoir que les hormones ovarienne, les hormones d'une femme, la testostérone aussi, ce sont des hormones issues du cholestérol issues du gras. C'est des hormones stéroïdes. Donc ça veut dire qu'elles ont besoin de gras pour être produits. Or, Les femmes, notamment des hommes aussi. Mais on a tendance à avoir des alimentations trop pauvres en gras quand je dis gras c'est bien sûr, les bons gras, les omega trois. Donc ce qu'on trouve dans les huiles riches en oméga trois huile de colza, huile de lin, etc. Qu'on trouve dans les petits poissons gras aussi le maquereau, les sardines, on en trouve finalement à plein d' endroits, mais c'est des choses qu'on n'a pas souvent en quantité suffisantes dans notre alimentation ou on nous a moi, je sais que je ne sais pas. J'ai ma meilleure amie quand elle faisait white Watchers. Là, on lui disait. Pas manger d'avocats parce que c'était trop gra alors que les avocats, c'est hyper riche en bon gras, justement pour qui vont être très bénéfique pour la production d'hormones. Donc voilà, on a aussi cette peut être cette vision pas suffisante sur l'alimentation et sur l'apport suffisant de gras dans l'alimentation. Pour bien produire les hormones, on le voit chez les femmes et on en a parlé dans l'épisode, notamment avec Anthony berthoux, qui est sorti pour le coup au moment de mes vacances sur le fait que quand on se retrouve en déficit calorique, ça peut carrément venir bloquer le cycle. Donc là, c'est notamment le cas des athlètes des sportives, mais, mais sans aller jusque là, si on a une alimentation trop pauvre en gras, eh bien, en fait, notre corps ne va pas avoir les ressources pour produire les hormones. Pour ovulaire il, on va se retrouver avec des ovulations, soit de mauvaise qualité, soit si vraiment ça va trop loin, carrément absente. Donc ça aussi, c'est un truc que je me disais voilà de plus, prendre en compte ça et de dire aux femmes de manger du grade, vérifier si elles en alimentation suffisamment riche en oméga trois et sinon les pousser à en ajouter, parce que c'est un impact aussi non négligeable. Voilà, j'aurais pu vous raconter plein de trucs sur le sommeil. Les perturbateurs endocriniens. Port, évidemment les protéines, bien sûr, la santé digestive, tout ce qui touche au microbiote. Il y a un milliard de choses passionnantes qui gravitent autour du sujet de la fertilité et qui sont pas toujours observés dans la sphère médicale et ou c'est intéressant d'aller chercher des gens en complément. Pour venir creuser tout ça, toujours en complément, j'insiste jamais à la place nous, c'est ce qu'on fait, vous l'avez compris. Et on s'éclate à vous armer là dessus, à vous donner des clés, à vous rendre plus fortes, plus confiantes, plus efficaces aussi, bien sûr. Donc voilà. N'hésitez pas à les creuser un petit peu plus loin. C'était encore une fois un épisode, surtout pas à charge vraiment. Pas du tout, mais plus pour ouvrir des petites écoutilles, des petits sujets comme ça, qu'on laisse parfois un peu trop sous le tapis et qui jouent leur importance aussi, au même titre, bien sûr que je disais à la perméabilité du trompe la beauté de la cavité utérine ou un bilan hormonal de base. Il y a ces petites choses autour qui sont aussi hyper intéressantes, hyper importantes. Et là, je n'ai parlé que des femmes, mais bien sûr, ça vaut. Également pour les hommes. Je pour faire un épisode là dessus tient un jour si ça vous intéresse. Mais il y a évidemment plein d' trucs au delà du sperme de base qu'on peut faire pour analyser si un homme en fait a une hygiène de vie optimale pour sa fertilité et des hormones aussi optimale. Donc voilà, vous me direz si ça vous intéresse aussi. Et je pense que j'ai terminé cet épisode peut être un peu plus dans tous les sens. Mais voilà, ça fait du bien aussi. C'est des moments ou on prend un peu plus de temps pour raconter des trucs. Je vous remercie d'avoir écouté jusqu'au bout. Je vous mets toutes les ressources en dessous dont je vous ai parlé, le fertil club, évidemment, puisque là c'est un micro aperçu de ce qu'on fait dans le Fertility club. Donc je vous mets aussi le lien si vous voulez le rejoindre en dessous et fin de la liste d'attente, mais il va démarrer bientôt au moment ou va sortir cet épisode. Et voilà, moi, je vous retrouve la semaine prochaine pour un nouvel épisode et je vous embrasse bien fort.

People on this episode