Émancipées, le podcast
Le podcast qui émancipe les femmes (et les hommes !) en leur donnant des clés pour comprendre leur corps et leur cycle, pour leur permettre de maitriser leur fertilité, leur contraception et leurs hormones avec autonomie et confiance !
Le savoir, c’est le pouvoir, et Laurène est bien décidée à vous apporter un max, en répondant à des questions qu’on se pose tous, ou pas, seule ou avec des experts passionnés, pour que votre intimité n’ait plus de secret pour vous !
Émancipées, le podcast
#69 Déséquilibre hormonal : tous les signes que votre corps vous envoie !
À propos de l’épisode :
🌿 Un déséquilibre hormonal pourrait-il expliquer votre fatigue constante, votre irritabilité, vos insomnies, votre cycle irrégulier ou encore vos règles douloureuses ? Quels sont les signaux d’alerte que votre corps vous envoie, et qui peuvent être le signe d’un mic mac dans vos hormones ?
Dans cet épisode, on vous aide à reconnaître les signes typiques d’un déséquilibre hormonal et à comprendre :
- Comment vos hormones communiquent entre elles
- Qui sont les grands “fauteurs de troubles” en matière de fertilité (hormones thyroïdiennes, cortisol, prolactine, insuline notamment)
- Pourquoi certains symptômes "banals" méritent toute votre attenti
- Ce qu’un bilan hormonal peut vous apprendre (et ses limites)
En tout cas, non, vos symptômes ne sont pas dans votre tête : votre corps vous parle, il est temps de l’écouter !
📲🎁 Si vous êtes en projet bébé et souhaitez mettre toutes les chances de votre côté, voici notre check-list des pistes à explorer quand les essais s'éternisent !
Nos Clubs :
👶 Vous êtes en projet bébé et/ou souhaitez reprendre en main votre fertilité naturellement ? Le Fertility Club peut vous aider !
💔 Pour celles qui vivent une grossesse arrêtée le Club d'Après est là pour vous ❤️
👊 Vous voulez mettre un coup de pied à votre syndrome prémenstruel, le Moody Club est votre homme !
Nos mini-programmes :
🆙 Pour booster sa progestérone en phase post-ovulatoire, c'est par ici !
💦 Et pour une glaire cervicale de folie, c'est par là 😇
👱♂️ Votre amoureux est largué quand on lui parle de cycle menstruel ? Le mini-programme Mon cycle expliqué à mon mec devrait l'aider !
Mais aussi...
🖥📱 On est ravis de partager toutes nos connaissances et de vous retrouver (dans la joie et la bonne humeur !) sur notre site web et notre compte Insta ! 😊
Quand on sait écouter, on se dit punaise, mais en fait, j'avais tout sous les yeux. Bien évidemment, il faut observer son cycle hein pour voir combien de temps dure sa phase lutéale, etc. Voir si la température, par exemple, fluctue il y a plein de choses qui sont importantes à regarder et qu'on nous a pas appris à regarder. Donc il faut apprendre à faire tout ça. Mais après, quand on sait faire, on ne passe pas à côté d'une phase lutéale trop courte et d'une progestérone insuffisante. Et du coup, on sait agir en conséquence. Bonjour à toutes à tous. Bienvenue dans ce nouvel épisode du podcast émancipé. On est sur un épisode solo, vous savez, ou je vais creuser des sujets dont on parle souvent et celui que j'avais envie d'aborder avec vous, c'est un thème un peu peut être pour tout. En tout cas, on ne sait pas trop ce qui se cache derrière, mais on en parle beaucoup. C'est le concept de déséquilibre hormonal. Alors moi, j'en parle pas mal parce que je vous explique souvent plein de symptômes, plein de choses. Par un déséquilibre hormonal, mais vous vous dites peut être, elle nous parle de quoi? Lorraine, c'est quoi un déséquilibre hormonal qui est l'hormone, etc. Donc là, je voulais vous faire un épisode un petit peu, un petit peu plus liste à la pré vert. Donc écoutez le tranquillement ou en tout cas, allez choper les infos qui vous intéressent. Mais pour vous montrer à quel point notre corps nous parlent, nos hormones nous parlent et qu'on peut, quand on se met dans une posture d'écoute. Comprendre plein de petits messages et après dresser un espèce de tableau qui va aller dans une direction ou dans une autre. Donc je prends les pincettes d'usage tout de suite. Évidemment, on n'est pas là pour faire des diagnostics. C'est un médecin qui va poser un diagnostic avec de l'imagerie de la clinique. En discutant avec vous, éventuellement de la biologie, il faut plein de choses pour poser un diagnostic. Donc ce n'est pas du tout ce qu'on va faire là, mais c'est peut être plus vous donner des pistes pour vous dire après, ok, ça est ce que ce ne serait pas intéressant que j'aille le creuser parce que moi, quand je m'écoute, me dis qu'il y a un sujet. Et vous savez, nous, les femmes, on a tendance parfois à banaliser plein de choses qu'on ressent parce qu'on nous a dit que c'était normal d'avoir mal. C'était normal de ressentir telle ou telle chose. Alors qu'en fait parfois pas du tout. Et donc je pense qu'on n'est pas forcément cette posture de un petit peu de lanceur d'alerte de se dire, ok, j'ai ça, ça, ça, ça, ça. Peut être, il y a un truc là qu'il faudrait que je creuse. Donc c'est l'objectif de cet épisode qui va parler à toutes celles qu'on peut être de la fatigue qu'elle n explique pas parce qu'elles ont bien dormi. Des sautes d'humeur, de l'irritabilité, du ras, le bol très très fort envers leurs mecs, leurs mères, leurs copines, j'en sais rien. Des cycles parfois irréguliers, des gros SPM de lane qui persiste. Bref, tous ces petits signaux du corps qui veulent nous dire plein de choses. À condition qu'on sache les écouter. Donc c'est ce que je vous propose dans l'épisode du jour qu'on apprenne un peu à reconnaître des signes de déséquilibre, savoir quand s'al alerter et puis qui allez voir quoi doser quoi faire pour creuser. Et puis surtout vous expliquer qu'il y a plein de choses qui ne sont pas dans votre tête, mais bien dans votre corps et qu'il faut juste savoir l'écouter son corps. Donc, pour commencer, je vais vous parler un petit peu des hormones parce que pareil les hormones, ça peut être un peu flou pour pour plein de gens. On range plein de choses derrière. Ça tombe bien parce qu'il y a plein d'hormones, mais en gros, une hormone. Le concept, c'est que c'est un messager chimique. Quelqu'un qui va venir apporter un message d'un point a à un point b, donc d'une glande à une autre en général et qui ses hormones, en tout cas dans notre corps, c'est elle qui orchestre énormément de choses. C'est elle qui orchestre notre énergie, notre sommeil, notre humeur, notre fertilité, vous l'avez compris, mais aussi notre. Poids, notre digestion, notre libido, tous ces sujets là sont des sujets qui sont guidés par des hormones. Et du coup, quand il y a une hormone qui déraille, ça peut avoir des conséquences un peu en cascade partout parce que ce sont des messagers. Mais si vous c'est pas comme si c'était sur des autoroutes parallèles, nos hormones. C'est plein de route qui se croise en tous les sens, beaucoup qui partent du même endroit, notamment hyphys. Vous connaissez bien si vous intéressez au cycle qui envoie des hormones aux ovaires pour faire l'ovulation, mais qui envoie aussi des hormones à la thyroïde qui envoie aussi des hormones aux glandes surrénales. On est sur des trucs croisés et du coup, quand il y a une route. Qui est embouteillée clairement, ça va nous créer comme, comme sur les les itinéraires bis, ça va se répercuter à côté et on va se retrouver avoir l'embouteillage sur la nationale aussi sur la départementale, sur les petites routes. Et ça devient le bordel. J'arrête mon allégorie du 15 août, mais vous voyez un peu l'idée. Donc ce que je vous propose, c'est de commencer par avoir un peu les grandes familles d'hormones et ou est ce qu'elles agissent justement. C'est quoi leurs autoroutes, celles que vous connaissez probablement pas mal. Si vous écoutez ce podcast, c'est évidemment les œstrogènes, la progestérone. Qui elles vont intervenir sur tout ce qui touche au cycle menstruel, à la fertilité, mais aussi beaucoup à l'humeur ou encore à la libido. Ça, cette première famille. On va dire qu'on va un petit peu aborder dans cet épisode autre famille, tout ce qui touche à la thyroïde. La tyroïde vous savez, c'est la petite glande qui a la forme d'un papillon qui est au niveau de notre coût qui sécrète des hormones qui discutent elle aussi avec l'hypophyse comme les œstrogènes et la progestérone et la thyroïde. Elle va agir sur tout ce qui touche à notre métabolisme, à notre énergie aussi, à notre poids et aussi par effet domino. À notre fertilité. Après, on a le cortisol hormone bien connu des gens un peu stressé parce que c'est dans ces moments là qu'elle va s'activer un petit peu. Mais sinon, hormone très utile. On en a parlé notamment dans l'épisode avec le docteur Rivka De Paz. Vous qui est pharmacienne sur l'importance de la lumière pour justement avoir une bonne sécrétion de cortisol, etc. Et de mélatonine la nuit. Donc le cortisol, elle est sécrétée par les glandes surrénales qui sont là un peu au niveau de nos reins et qui est dans la famille. On va dire de tout ce qui touche au stress au sommeil, on l'a dit, mais aussi à l'immunité. Et toujours par effet domino à la fertilité, apprendre à l'insuline l'insuline qu'on dose beaucoup dans les cas de sopk qui est toujours un peu lié dans notre problématique, si fertilité qui elle intervient, surtout ce qui touche à la digestion, la glycémie, l'énergie aussi le poids et évidemment. Notre effet domino sur la fertilité. On a aussi toutes les hormones and hydrogènes, les hormones qui sont typiquement normalement plutôt masculines, mais qui sont aussi produites chez les femmes, notamment la testostérone, la DHEA, etc. Qui elles vont jouer sur la fertilité, bien sûr, puisqu'elles interviennent dans le mécanisme de l'ovulation, mais aussi beaucoup sur la libido, sur la masse musculaire des femmes et des hommes, mais aussi des femmes sur la vitalité aussi une autre hormone qui, parfois, Fou un peu le camp et va impacter la fertilité. C'est la prolactine. La prolactine est principalement connue quand on allaite, puisque c'est elle qui va stimuler la lactation à chaque fois qu'on va faire tester un bébé, mais elle peut être anormalement élevée en dehors de toute grossesse de tout a allaitement, et là aussi, elle vient dérégler tout le reste. Et notamment agir sur la fertilité, puisqu'en fait son rôle à cette hormone, c'est devenir bloquer l'ovulation quand on allaite notre corps. Considérant que quand on est en train de nourrir un bébé, on n'a pas la place pour en créer un autre. Et donc cette prolactine, elle vient bloquer les cycles, puis après, selon à quel point elle est sécréter, en quelle quantité elle est sécrétée. Quand on commence à espace les été, elle va juste perturber les cycles. Mais donc. Si elle est présente en dehors de tout allaitement, elle peut avoir un effet un peu comme un halètement, donc bloquant ou a minima perturbant sur les cycles, joue aussi sur la libido, etc. Donc c'est une hormone aussi qu'on oublie souvent beaucoup alors qu'elle est hyper importante. Et donc voilà, c'était ça un petit peu moi, c'est celle que j'appelle la pyramide des hormones de la fertilité. Je les appelle aussi beaucoup dans le Fertility club, celles qui le suivent reconnaîtront les fauteurs de troubles. Tous ceux qui viennent en fait, auxquels on pense pas au premier abord, mais qui en fait. Viennent mettre un peu le bazar. Il faut imaginer comme si tout ça, c'était un orchestre. Voyez avec plein d'instruments et s'il y en a un qui joue faux ou trop fort ou trop doucement ou quoi toute la symphonie, elle s'in faux et ça va se répercuter sur tous les autres et en finale à l'oreille, ça sera désagréable. Alors même que c'est peut être juste un petit instrument qui joue un tout petit peu trop bas ou un tout petit peu trop haut. Donc c'est hyper important que ce qu'on est, un chef d'orchestre, c'est le cerveau, souvent le chef d'orchestre qui fasse en sorte que tout ça soit très harmonieux pour qu'on n'ait pas à la fois nos autoroutes qui se rendent dedans et notre orchestre qui se casse la gueule avant de rentrer dans un espèce de ou de liste à la pré vert. Mais vous verrez, on va faire en sorte que ce soit pas fastidieux et que ça reste intéressant. Je voulais vous dire un petit peu tous les symptômes qui peuvent. Être lié à une hormone. Donc il y a plein de choses. Ou en fait, vous allez vous dire ok, ça, je me mets à être attentive à ça déjà. On a évidemment tout ce qui touche au cycle, les cycles irréguliers, voire carrément. Quand on se retrouve en aménorrhée, on a plus de cycle du tout les faces du théâtre trop courtes, les syndromes pré menstruels intenses, la guerre qui est plus là, qui est trop là, tout ce qui touche au cycle au sens large. La sécheresse vaginale aussi. C'est assez lié. Bien sûr, tout ce qui est bouffé de chaleur, tout ce qu'on relie beaucoup à la ménopause. Qui en fait, est effectivement, bien sûr liée aux hormones, les fluctuations au niveau de notre peau, de nos cheveux, de notre poids, l'acné persistance, surtout chez les adultes, les pertes de cheveux ou les cheveux qui viennent très faims, très cassant, etc. Tout ça, ça peut trouver son origine au niveau hormonal, évidemment tous ces symptômes plus émotionnels. D'irritabilité d'angoisse de fatigue, de tristesse, etc. On a souvent une raison hormonale derrière les fluctuations dans le poids prises de poids perdent de poids aux difficultés à en perdre. En tout cas, parfois, vous savez pas moi, je sais que j'ai eu des périodes comme ça dans ma vie ou. En fait, je sais perdre du poids quand j'en prends un petit peu. Je sais quoi faire. Et voilà avec des efforts, évidemment, je sais perdre les deux kilos que j'ai pris, etc. Et il y a eu des moments dans ma vie ou je pouvais faire tous les efforts du monde. Ça ne marchait pas, je ne perdais pas. Et donc là, c'est un peu décourageant, mais tout ça, ça peut être lié à des hormones qui sont déséquilibrées et qui empêchent le corps du coup de se réguler, notamment par rapport au poids. Évidemment aussi tous les troubles du sommeil, les insomnies, les difficultés à s'endormir, la sensation de fatigue tout le temps, les digestion, les troubles, soit digestifs, les ballonnements, la diarrhée, la constipation, voilà tout ça. Il vous allez voir quand je vous faire vous faire des tableaux. Il y a plein de trucs liés aux hormones. Et puis il y a plein d'autres trucs. Vous allez voir sensation de chaud, sensation de froid, envie de sucre, baisse de libido. Il y a tout plein de petits signaux comme ça. Vous allez vous dire ok, tout ça. Quand ça arrive, je vais me dire. Je me mets en mode écoute parce que si j'ai un faisceau d'indices qui converge dans le même sens peut être que ça voudra le coup de me dire ok, je vais aller creuser cette hormone là. Alors évidemment tous ces signaux, ils peuvent avoir d'autres causes. Donc il faut déjà avoir une vision un peu globale. Et puis surtout, elle est consulter des professionnels. Si ça persiste pour essayer de comprendre ce qui se passe moi, ce que je vous donne là, c'est une première grille de lecture plutôt hormonale, mais il y a plein de trucs à creuser. Donc ne restez pas sur cette grille de lecture, mes parents. Et il est là parce que c'est un petit peu le premier niveau quand même à avoir en tête. Et donc ce que je vous propose maintenant, c'est qu'on se fasse justement un petit peu les tableaux de quelques déséquilibres assez typiques et les signes qui peuvent vous permettre de les reconnaître. Et puis après les choses que vous pouvez faire, si vous sentez qu'il y a une piste à creuser par rapport à ça, le premier parce que je pense qu'on est énormément de femmes à être concernés. Je ne pense pas, d'ailleurs, je sais, ça concerne beaucoup plus les femmes et c'est encore ça. C'est très long. Finalement, pour diagnostiquer ça, moi, j'ai été concerné. J'ai mis des années avant d'avoir le diagnostic. Maintenant, je l'ai et c'est d'ailleurs un peu grâce à ça. Que j'ai arrêté la pilule que j'ai commencé à me former ens thermique et que j'ai lancé émancipée. Donc finalement peut être, merci, ma tyroïde tu as été à l'origine de pas mal de trucs. Le premier justement, c'est l' hypothyroïdie. Tu peux avoir plusieurs origines la mienne. Elle est autoimmune, celle qu'on appelle Hashimoto, mais il peut y en avoir d'autres et l' hypothyroïdie en fait, c'est une tyroïde. Donc cette glande. Petit papillon dont je vous parlais, qui va produire trop peu d'hormones ces hormones. C'en est deux. C'est la t et la t. Si vous voulez vraiment creuser ce sujet, je vous renvoie à l'épisode de podcast avec le docteur ioni ass sui qui est vraiment dédié à ça, à la thyroïde, à la conversion de lat dans t. Comment ça marche vraiment d'un point de vue très physiologique, tout ça, mais en l'occurrence l'impact d'une baisse des hormones tiro roïd c'est que ça va faire ralentir le métabolisme puisque c'est elle. Qui est en charge cette glande de notre métabolisme de faire en sorte qu'il tourne bien. Donc si la thyroïde est au ralenti, le métabolisme va être au ralenti aussi. Et ça, ça va donner des symptômes assez typiques ou quand on les connaît, on se dit ah ouais, en fait, c'était assez flagrant de fatigue persistante dès le réveil de transit ralenti, puisque le métabolisme étant ralenti, le transit va être ralenti aussi libido, évidemment, ralenti besoin de dormir beaucoup prise de poids. Même qu'on n'a pas de changement alimentaire, voir qu'on essaye d'en perdre. Et on ne va pas y arriver de frilosité les mains, les pieds froids, etc. La peau sèche, les cheveux terne, chutes de cheveux, etc. Tout ça. On voit que c'est tous des choses de ralentissement du métabolisme. Et aussi, bien sûr, puisqu'on a toujours cet impact par effets domino sur le cycle,de cycle qui peuvent être irréguliers ou des ovulations un peu moins qualitatives et du coup des cycles plus déséquilibrés. Donc, vraiment, c'est l'ambiance de l'hypothyroïdie. C'est cette sensation d'être au ralenti. Comme si tout fonctionnait à son un peu en service minimum, vous voyez comme en période de grève. Et donc si tout ça, ça vous parle, ce qui est intéressant, c'est d'aller faire un dosage, évidemment sanguin, vous pouvez tester la tsh, mais ce qui est très important aussi, et ça, je vous renvoie à l'épisode avec le docteur assouis, d'aller aussi doser la T4 et la T3 libre puisque c'est vraiment elle, les hormones actives, la tsh, c'est juste celle qui réagit en haut. À la diminution du bas. Donc elle compense. Mais ce qui est chouette, c'est d'aller vraiment regarder les hormones, elles mêmes éventuellement les anticorps aussi, pour voir si ce n'est pas une maladie auto immune. Donc ça, je vous laisse voir après avec un endocrin, un médecin généraliste, quelqu'un qui peut vous suivre là dessus, mais qu'est ce qu'on va avoir en cas d'hypothyroïdie on va avoir une tsh. Élevé qui est trop haute puisque le cerveau compense la baisse de régime de la g de la glande thyroïdienne et la T4, et T3 qui elles vont au contraire être plutôt basse. C'est pour ça qu'on parle d' hypothyroïdie. Et si effectivement, on vous diagnostique une hypothyroïdie, là aussi sur les normes, je vous renvoie à l'épisode avec le doctorat souli parce que les normes de laboratoire sont extrêmement larges par rapport à ce qu'on peut appeler les normes santé, parce qu'en fait, ça prend en compte. Toute la population, même des gens qui sont justement dans des forts hypothyroïdie. Donc ça fait une fourchette très large. La norme santé est beaucoup plus précise. On dit qu'il faut être en dessous deux en tsh. Je ne rentre pas là de parce que vous avez cet épisode beaucoup plus précis, mais dans ce qu'elle a si un diagnostic d' hypothyroïdie, encore une fois avec un médecin, bien sûr, la prise en charge, ça va être un traitement substitutif par ce qu'on appelle souvent le lévo rox lerox, etc. Qui va venir rapporter des hormones qui manquent à la tyroïde. Et bien sûr, on peut avoir tout un soutien en parallèle par l'hygiène de vie, avec un régime riche en ides, en sélénium, en zinc, etc. Tous les cofacteurs qui de l'a thyroïde, mais les deux sont absolument complémentaires. A contrario, on peut avoir l'hyperthyroïdie là, c'est l'inverse. C'est la tyroïde qui s'emballe qui va trop vite. Et du coup, elle va produire trop d'hormones thyroïdienne trop dormantes tiro trop de t trois trop de t, ce qui va accélérer tout le métabolisme et va faire en sorte que le cerveau lui va se mettre un peu au ralenti. Donc on va avoir une tsh. Très basse, les signes qu'on va avoir, c'est justement des signes d'accélération du métabolisme. Donc on va maigrir malgré un bon appétit. On va se sentir très nerveux, très irritable, très anxieux, avoir éventuellement des palpitations, de l'attaque picardie, des tremblements, etc. Une transpiration excessive aussi. On va toujours avoir chaud, voir carrément être un peu intolérant à la chaleur. Quoi? On va un peu comme au moment de la ménopause, les bouffées de chaleur là, on va sentir que toujours on a toujours chaud et là ou en hypothyroïdie. Le transit, il va se ralentir. On va plutôt être constipé. Et bien, en hyperthyroïdie, il va s'accélérer sur toi avec des diarrhées, etc, et des cycles menstruels plus courts, voire parfois carrément de l'améliorer. Le corps n'arrive plus à à lancer le truc. On peut aussi avoir de la fatigue, comme dans le cas de l' hypothyroïdie puisqu'on est tellement à fond. Parfois de la faiblesse musculaire aussi les jambes fatiguées, etc. Il y a plein de signaux comme ça qui montrent que le corps est un peu en surchauffe qu'il n' peut plus. On peut aussi avoir les yeux qui sortent. Vous savez, un petit peu ce truc, des gens qui ont les yeux comme ça. Les médecins, en tout cas, savent reconnaître cliniquement quelqu'un qui va là, qui a les yeux un peu exorbités comme ça, qu'on va beaucoup dans la maladie de base d'eau, qui est la maladie auto immune. De l'hyper oï dit mais donc voilà là quand on, quand je vous dis tout ça sûr qu'il y en a plein qui se disent ah bah ou mais c'est flagrant. Et pourtant on peut passer des années sans en parler. Et du coup, sans avoir de diagnostic par rapport à ça. Donc c'est hyper dommages. Alors que ces hormones tyro justement quand elles sont trop fortes ou trop faibles, elles envoient plein de signaux qu'on est capable de capter. Là. Dans ce cas là, on va doser la même chose que pour l' hypothyroïdie, sauf qu'on va attendre l'inverse. On va doser la tsh, la T4 libre, la T3 libre les anticorps, etc. Et on va voir l'inverse. On va avoir une tsh très basse et des t t plutôt très hautes. Évidemment, dans ce cas là, on consulte aussi un médecin, un endocrin. On va se faire accompagner, avoir une prise en charge potentiellement médicamenteuse avec un traitement aussi. Antithyroid et on peut aussi, par l'hygiène de vie, aider évidemment le corps à se ralentir, le repos, éviter les excitants, éviter le café, éviter le thé, etc. Prendre du magnésium, essayer d'avoir une approche pour vraiment calmer ces hormones qui s'emballent. Le troisième tableau dont je voulais vous parler, qui est ultra courant aussi. J'ai l'impression que c'est un peu le mal du XXIe siècle chez les femmes, c'est l'insuffisance en progestérone, on va avoir des faces du tél un peu trop courtes, un peu trop fragiles et des corps jaunes qui ne produisent pas assez de pérone pendant pas assez longtemps. Donc ça évidemment. Ça a un impact sur la fertilité puisque pour qu'un embryon ait le temps de s'implanter, il faut qu'on ait une phase post-ovulatoire suffisamment longue et donc suffisamment de progestérone. Donc ça, c'est le vrai impact, mais il y en a plein d'autres. Et on va se retrouver avec un syndrome pré menstruel souvent très marquée puisqu'on a une chute de progestérone trop vite. De l'irritabilité, des seins tendus, des insomnies, etc. Des sites qui peuvent se raccourcir puisqu'on va avoir des faces du théâtre trop courts, des spotting avant les règles, puisque la progestérone va pas bien maintenir l'endomètre et qui va commencer à se détacher un petit peu par petits morceaux à se fragiliser. Trop tôt et évidemment hélas, des difficultés à concevoir, voir des arrêts de grossesse précoce parce que le nid va se détacher trop vite. Donc on est un peu comme dans une sorte d'ascenseur émotionnel en fin de cycle ou tout tombe très vite et ou la chute peut être assez vertigineuse dans le corps, mais aussi au niveau du cœur de la tête des émotions. Donc ça pareil. Quand on s'est écouté, on se dit punais, mais en fait, j'avais tout sous les yeux. Bien évidemment, il faut observer son cycle un pour voir combien de temps dure sa face du té, etc. Voir si la température, par exemple, fluctu il y a plein de choses qui sont importantes à regarder et qu'on on nous a pas appris à regarder. Donc il faut apprendre à faire tout ça. Mais après, quand on sait faire, on ne passe pas à côté d'une phase du littéral trop courte et d'une progestérone insuffisante. Et du coup, on sait agir en conséquence. Ce qu'on peut faire, évidemment aussi, c'est la dosée, la progestérone. On le fait bien sept jours après l'ovulation, parce que c'est là qu'elle est censée être la plus haute. Donc on vient voir son moment, son climax, et s'il est trop bas, c'est qu'il a un souci. Et voilà, on attend des résultats en général, dans l'idéal, au moins à d nanograms parmi lilli, voire plutôt 15. Et même quand on est enceinte, on aime bien avoir 20. Donc c'est des choses qu'on peut monitor. Et il y a aussi des qui urinaires. On peut faire ça à la maison ou on les a. Je ne les ai pas à côté de moi, non, mais on les a offerts dans le Fertility club aux membres du Fertility club plus pour pouvoir doser leur projet chez elles. Plusieurs jours de suite pour voir si elle se maintient, mais on se peut aussi le faire, bien sûr, par prise de sang. Et dans ce cas, là, c'est a un souci et bien soit on va envisager une supplémentation avec de la projet bio identique. Là, je vous renvoie pour le quoi, l'épisode de podcast avec le docteur aurélien nuez sur la différence entre progestatifs, progestérone, naturel, etc. Qui est hyper intéressant pour comprendre les traitements qu'on peut prendre et ne pas se faire flipper avec tous les trucs sur les scandales, des projets natifs, etc. Ce n'est pas du tout la même chose, mais on peut aussi faire plein de choses par l'hygiène de vie pour favoriser la progestérone. Il y a aussi plein de plantes qui viennent soutenir la progestérone et qui permettent sans forcément avoir un traitement médical sur ordonnance, mais déjà de mettre en place des choses qui vont aider la progestérone à être produite suffisamment. Donc, ce n'est pas du tout une fatalité. Mais encore une fois, il faut savoir s'en rendre compte pour pouvoir agir derrière et essayer de la remonter. Quatrième tableau, qui va souvent beaucoup de pair avec l'insuffisance en progestérone, c'est l'excès de œstrogène qu'on appelle parfois la dominance oestrogénique Donc là. C'est une hormone qu'on a en trop. Et souvent on n'a pas assez de progestérone trop d œstrogène, c'est à dire qu'on va avoir trop de œstrogène circulant dans le sang par rapport à la progestérone, ce qui va nous entraîner un déséquilibre dans le cycle, notamment en phase post-ovulatoire, ou on veut une pro très, très haute et des œstrogènes plutôt bas. Et là du coup, ça va être l'inverse. Et ça va entraîner des symptômes comme des règles très abondantes puisque, comme c'est elle qui épaissie l'endomètre, si elle est trop forte, elle va nous faire un endomètre très épais. Un s pré menstruel, marqué aussi de l'irritabilité, les seins gonflés douloureux de la rétention d'eau aussi la prise de poids. Des migraines. Ça appelle des migraine catalonia au moment du cycle, ça ressemble pas mal, en fait, à l'insuffisance en progestérone, puisque les deux vont de pair. Et après une des caractéristiques de l'excès d' œstrogène, c'est que ça peut aussi entraîner des fibromes, des polypes, etc. Ou là, on sait tous des choses ou justement il y a une excroissance. Il y a trop d' œstrogène. Donc ça va faire des trop de productions, notamment au niveau terrain. Là c'est pareil. Du coup, on va se dire ok, j'ai tableaux sous les yeux. Je vois bien qu'il y a un sujet. Qu'est ce que je fais? On peut aller doser ses œstrogènes. Donc on adoser l'australie. Qui est l stro gène produit au niveau des ovaires, idéalement en début de cycle, le troisième jour du cycle pour voir un petit peu comment il est à son niveau de croisière au niveau bas et aussi en phase post-ovulatoire pareil que la progestérone un septième jour du cycle pourra comment ils situent tous les deux parfois avoir une progestérone qui a l'air bien, mais les astros sont tellement haut qu'on va dire ok, il y a un déséquilibre là entre les deux. Ou vice versa, un estradiol qui a pas mal, mais la process qui est dans les choux. Et on va comprendre du coup pourquoi on a ce déséquilibre et ces symptômes en face post-ovulatoire et là, comme pour la progestérone, évidemment, il y a des choses qu'on peut faire. Et si c'est un excès, vous n'allez pas forcément avoir de traitement médicaux, etc. Il n'y a pas beaucoup. Par contre, il y a plein de soutien naturel qu'on peut faire pour favoriser la detox. Des œstrogènes et les aider à être éliminés pour qu'on en ait pas en excès dans le corps. On peut limiter tout ce qui va un peu exciter les œstrogènes, l'alcool, le sucre, les perturbateurs endocriniens. Évidemment, il y a plein de xénos œstrogènes dans tout ce qu'on mange, tout ce qu'on sait, à quoi on est. Exposés qui vont donner cet excès d' œstrogène. Et puis il y a plein de soutien qu'on peut faire par la micronutrition, par la phy psychothérapie. Il y a des plantes qui aident à bien métabolisé les œstrogènes. Donc, là aussi, il y a plein de trucs à faire. Ce n'est pas une fatalité, il faut juste se dire ok, voilà, je comprends ce qu'il y a et après, j'agis en conséquence. Cinquième tableau. Je vais essayer de vous le faire plus vite de cela parce que c'est peut, ça vous concerne, peut être un peu moins, mais c'est l'excès de prolactine ce qu'on appelle l'hyperprolactinémie ou c'est ce que je vous disais un petit peu au début, on va avoir une sécrétion trop élevée de prolactine en dehors de toute période de grossesse d'allaitement, etc. Et du coup potentiellement. Perturber ou bloquer l'ovulation. Donc là les signes, c'est assez typique, c'est qu'on va avoir des cycles absents. On peut se retrouver carrément en améliorer ou très espacés, se retrouver avec des soucis de fertilité, bien sûr, et avoir ça, c'est très typique de l'écoulement de lait au niveau des seins, parce que justement, on produit du lait puisqu'on a cette prolactine qui produit du lait. Si vous avez déjà eu un écoulement de lait au niveau des seins, elle est doser votre prolactine. C'est hyper important. On peut aussi avoir, bien évidemment, des impacts sur la libido qui va baisser des maux tête, etc. Mais vraiment, on est dans une ambiance du corps qui ne répond plus. Comme d'habitude, on sent qu'il y a un intrus qui vient le bloquer, le verrouillé. Et ça, ça peut venir de plusieurs choses. On peut avoir un excès de prolactine pour plein de raisons, notamment parfois lié à la thyroïde, mais on peut aussi avoir un aome hypophysaire qui une petite tumeur bénine au niveau de l'hypophyse qui va sécréter de la prolactine. Donc c'est très important là de bien aller, la faire doser pour voir si elle est trop élevée. On adosse toujours à jeun et après 20 minutes de repos, vous allez au labo et puis vous allonger pendant 20 minutes avant de la faire doser. Et si elle est trop élevée, on va pouvoir vous faire carrément une IRM ou quoi pour voir s'il n'y pas pas l'adénome. Essayez de comprendre et le cas échéant, avoir un traitement pour faire baisser la prolactine, sachant que là aussi, il y a plein de choses qu'on peut faire en prise en charge plus naturelle avec certaines plantes qui viennent aider. Donc, ce n'est pas une fatalité du tout d'avoir une prolactine trop élevée, mais par contre, ça a un impact. Énorme sur le cycle sur la fertilité. Donc c'est trop dommage de pas de ne pas travailler dessus, sachant qu'on peut aussi beaucoup travailler sur son stress puisque ça peut être complètement lié avec un excès de stress quand ce n'est pas la déôme hypophysaire évidemment. Ensuite, je pourrais vous parler de plein d'autres choses, notamment la résistance à l'insuline, qui aussi aussi un impact sur le cycle et qu'on voit beaucoup dans les cas de so PK notamment. Mais je vous propose qu'on s'éparpille pas trop, qu'on termine avec le cortisol, le cortisol, c'est hyper intéressant. Déjà parce qu'il est très lié à la progestérone parce que j'ai déjà fait un épisode là dessus, mais ils ont la même hormone mère tous les deux qui s'appelle la prégnénolone. Et donc quand le corps est trop occupé à produire du du cortisol, il va délaisser la progestérone et on va se retrouver avec des cycles déséquilibrés. Donc cortisol, gros ennemi du cycle et de la progestérone et en fait le cortisol. C'est une hormone qui peut aller dans les deux sens l'un après l'autre. En tout cas, si vous avez un hypothyroïdie a priori le mois d'après, vous n'avez pas avoir de l'hyper thyroïde. Vous êtes dans un profil avec le cortisol. Lui souvent, on va avoir pendant une période, un excès de cortisol à cause d'un stress chronique. Donc le corps va devoir produire beaucoup de projet de cortisol pour combattre ce stress. Et en fait, au bout d'un moment, il va complètement s'épuiser. Les glandes surrénales qui produisent le cortisol vont s'épuiser, être fatigué et on va se retrouver avec un déficit cortisol. C'est un peu ce qu'on voit dans les épisodes d'abord de burning, puis burn out. D'abord, on est à fond et on est un peu en mode de survie. On épuise un corps et au bout d'un moment, quand on l'a vraiment épuisé, il se crash et c'est là qu'on a des symptômes du burn out. On ne peut plus se lever les signes d'un excès. Ils sont assez typiques. C'est notamment les insomnies sur tous les réveils vers trois ou quatre h du matin. Alors moi, je plaide complètement coupable et il faut que je prenne soin de mon cortisol parce que clairement, je suis. Typiquement dans ce cas là, il y a aussi tout ce qui est palpitation, anxiété, prise de poids aussi un peu, surtout autour du ventre qui sont perturbés puisque vous l'avez compris que le cortisol vient manger toutes les réserves de la progestérone, baisse de libido, on sent que le corps, il commence à être dans un état de stress tout le temps, d'être un peu de bouillir de l'intérieur. Et puis, au bout d'un moment. On va avoir les signes d'un déficit cortisol, une fois que les glandes surrénales se sont épuisées. Et là, on va être dans un cas de fatigue intense au réveil, cette impossibilité dont vient de parler à sortir du lit, de la baisse de tension des étourdissements, voilà tout des signes. Dès qu'on met le corps en mouvement, en fait, il suit plus, on va avoir de l' hypoglycémie, des besoins de sucre de café pour tenir. Et voilà. Donc on va passer de ce mode survie en état de stress permanent à ce crash avec l'épuisement total. Et ça, c'est typique d'une hormone qui a trop donné. Et qui, au bout d'un moment, n'assure plus du tout. Donc, il y a tous ces signes qui peuvent vous mettre la à l'oreille. Et je pense qu'on est peut être beaucoup à être concernés, au moins par la première partie, l'excès de cortisol. On peut faire un dosage. On peut, on peut doser le cortisol sanguin. On peut doser le cortisol salivaire. Donc voilà, n'hésitez pas à aller plus loin si vous voulez, mais déjà par la clinique, il y a tellement de choses qu'on peut voir. Et c'est vraiment l'objectif de cet épisode de vous montrer que vous n'avez pas besoin d'aller faire d'abord 12 000 dosage. Un peu à l'aveugle que vous pouvez voir ou est ce que vous vous pouvez aller regarder parce qu'il y avait plein de signes avant coureur, sachant qu'on peut faire plein de choses pour aider son corps à calmer son cortisol par l'hygiène de vie par un meilleur sommeil. C'est plus facile à dire qu'à faire. Gestion du stress plus facile à dire qu'à faire aussi. Mais après, il y a des soutiens avec des plantes adaptées aux gène, par exemple, qui peuvent être très efficaces en plein de trucs pour essayer de. Faire en sorte de calmer le cortisol pour ne pas arriver à cet état d'épuisement et de crash final ou là, c'est beaucoup plus compliqué derrière de faire remonter un cortisol qui s'est effondré et des glandes sur annales qui sont au point mort. Donc voilà, j'ai essayé de pas vous donner forcément beaucoup de chiffres parce que un dosage y remplace jamais, justement cette, cette écoute, cette étude clinique, etc. Et puis un chiffre isolé, il n'y a pas de valeur. Mais ce que je voulais vraiment vous faire comprendre avec cet épisode, c'est que les hormones, c'est nos alliés. Ce n'est pas nos ennemis, mais il faut en prendre bien soin et elles ont besoin d'un total équilibre. Vous savez, c'est toujours cette histoire de l'autoroute qui doivent rester dégagées d'orchestre qui doit rester harmonieux de voilà de messages. Qui doivent pas se rentrer dedans les uns les autres parce que sinon, c'est là qu'on peut avoir d'abord un petit petit déraillement à un orchestre ou on commence, on sent que ça, c'est pas très agréable à l'oreille. Et puis au bout d'un moment, vraiment, tout s'effondre. Et ça, c'est hyper dommage. Quand on sait que nous, on a ce pouvoir d'écoute et que ces hormones, elles ont encore une fois un langage. Et qu'il faut juste apprendre à les écouter et qu'on est malheureusement trop dans nos grottes à avancer comme sa tête baissée à pas se poser de questions à pas réfléchir, à se dire oui, oui, je suis fatigué. Oui, je me si je n'ai pas de café le matin. Je peux pas me lever. Oui, j'ai des cycles qui foutent le camp. Oui, je prends du poids machin. Non, en fait tout ça. C'est des signaux. Et moi, ce que j'aimerais, c'est que vous arriviez à vous positionner comme ça, en sachant de votre corps que vous puissiez amener ces infos à vos soignants pour que derrière ils gagnent du temps, qu'ils sachent davantage vous accompagner. Je pense notamment évidemment, puisque je sais que c'est ce qui nous intéresse ici, à toutes celles qui ont des soucis dans leur cycle qui sont confrontés à des soucis de fertilité et bien vous dire, ok, certes on va regarder, on va me faire une échographie. On va me faire une hyt en gographie. On va me faire quelques dosages, mais. Est ce qu'on va aller. Voir tous ces fauteurs de troubles autour est ce qu'on va aller voir toute cette pyramide qui gravite autour de mes hormones ovarienne et de ce qu'on a, ce qu'on relie classiquement à la fertilité, est ce qu'on ne va pas aller. Voir tous ces trucs autour parce que c'est peut être là qu'on peut avoir des gens qui tirent un peu contre leur camp une tyroïde qui tirent contre nos ovaires un cortisol qui tire la couverture à lui tout tous ces petits trucs d'interconnexion. Qu'il faut qu'on apprenne à regarder. Et pour ça, il faut qu'on apprenne à les écouter nous mêmes. Voilà. J'espère que cet épisode vous aura ouvert des perspectives qui vous aura peut être invité à aller creuser des sujets plus plus précis. Si vous voulez que moi dans le podcast, je creuse des sujets plus précis d'une hormone, en particulier d'un sujet, un truc qui vous a interpellé. N'hésitez pas à me le dire parce que je peux aller chercher des experts bien plus à fond sur certains sujets, un mois, je vous ai donné une vision un peu globale là et générale, mais on peut aller bien plus en profondeur. Donc, si je ne sais pas tout ce que je vous ai dit sur le cortisol, ça vous intéresse sur la prolactine tout ça. N'hésitez pas à me le dire comme ça. On fera des épisodes spéciaux là dessus. Et puis dans tous les cas, oui, faites moi vos retours. C'est toujours précieux pour moi de savoir ce que vous pensez de tout ce que je vous raconte dans ce podcast est ce que vous avez envie que je vous raconte après. Bien sûr, vous pouvez aller mettre des commentaires, des notes, tout ça, c'est toujours précieux. Et je vous remercie d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Je vous dis à la semaine prochaine pour un nouveau sujet et je vous embrasse bien fort.