Émancipées, le podcast

#77 Essai bébé : la place du futur père dans ce parcours

Laurène Sindicic Season 2 Episode 77

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👨 Dans cet épisode, Joseph partage avec sincérité sa place d’homme dans le parcours d’essai bébé avec sa compagne, une période faite de doutes, d’attente, et parfois (souvent) de solitude.

On parle ici de fertilité masculine, du rôle du futur père, de charge mentale, de sexualité chronométrée (vive les “fenêtres de tir” 😅), mais surtout de communication, d’amour et de résilience.

Avec humour et lucidité, Joseph évoque les émotions de sa compagne, leur apprentissage du cycle féminin, les petites victoires qui les ont rapprochés, et les gestes simples mais puissants qu’il a mis en place pour soutenir pleinement le projet bébé (indice : 🌰).

🎙️ Un témoignage rare, touchant et nécessaire, à mettre dans toutes les oreilles, surtout celles des futurs papas !

Nos Clubs :

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Mais aussi...

🖥📱 On est ravis de partager toutes nos connaissances et de vous retrouver (dans la joie et la bonne humeur !) sur notre site web et notre compte Insta ! 😊

Jospeh:

Par nature nous, on n'en fait jamais assez, mais c'est un fait. Nous, on y pense pas tout le temps. Moi, je vais au travail et je reviens. Elle, elle y pense chaque seconde. Son corps, lui rappelle que ça ne marche pas. Son corps lui rappelle que là il est en train d'évoluer. Il est en train d'essayer d'ovuler mais ça ne marche pas. Et vraiment, c'est des ressentis. Et ce que j'ai trouvé super chouette, c'est que comme elle a plutôt l'habitude d'exprimer tout ce qu'elle peut ressentir et de l'exprimer de manière extérieure avec des mots. Moi, ça m'a permis de comprendre plein de choses et de comprendre aussi des attitudes et du coup pareil derrière, avec des amis, avec d'autres gens qui peuvent ressentir ou traverser les mêmes choses, de se sentir du coup plus proche, d'avoir accès à ce qu'eux peuvent ressentir aussi.

Laurène:

Hello tout le monde, bienvenue. On se retrouve pour un nouvel épisode de podcast. Cette semaine, je reçois un homme, vous savez, comme j'adore recevoir des hommes, surtout quand c'est pour parler de sujets qui ne sont pas des sujets d'expertise, mais plus partager un parcours, une expérience, un témoignage. Et c'est le cas cette semaine. Donc avec Joseph qui va nous raconter un petit peu sa place lui d'homme dans un parcours de projet bébé qui n'arrive pas aussi vite qu'on voudrait. Je vous spoile pas plus parce que vous verrez, c'est hyper intéressant. Il prend une hauteur sur les sujets que je trouve passionnante et que vous soyez même pas en essai, en essai depuis un mois, en essai depuis plusieurs années. Je pense qu'il y aura plein de petites clés que vous pourrez retrouver dans son témoignage. Donc, je le remercie pour ça. Je vous laisse avec lui place à l'épisode. Hello Joseph, merci d'être là. On va passer un moment tous les deux pour parler de la place de l'homme avant le projet, bébé, en tout cas, quand le projet bébé démarre avant la grossesse, en tout cas. Toi t'as créé un compte Instagram, moi, je t'ai connu comme ça, qui s'appelle"deux cœurs dans un corps" où tu parlais justement de tous ces sujets là et aussi, surtout de la grossesse aussi de ta femme. Mais moi, je sais qu'il y a eu tout un avant parce que je vous ai vu passer dans l'avant via le Fertility club. Donc voilà ce dont on va parler aujourd'hui. Est ce que tu peux, Joseph, s'il te plaît commencer par te présenter?

Jospeh:

Carrément enchanté, Laurène. Je suis très content de faire cet échange avec toi aujourd'hui. Donc moi, je m'appelle Joseph. J'ai 33 ans. Je suis papa de deux enfants, Suzanne et Lazare qui ont trois ans et un an. Et donc avec ma femme Bérengère, on est marié depuis cinq ans. Quasi jours pour jour, on a eu un parcours, qui n'est pas un parcours de galères, mais qui a un parcours où on a creusé beaucoup, beaucoup de sujets, à la fois par passion et par envie d'être acteur de notre parentalité et notamment de l'avant de notre désir d'enfant. Donc, je pense qu'on va parler un peu de

Laurène:

ça aujourd'hui. Ça roule avant qu'on démarre, est ce que tu peux me dire en quoi tu te sens émancipé?"é" souvent c'est "ée" chez nous. Mais là c'est émancipé "é".

Jospeh:

Écoute, je pense que je me sens émancipé par la par la connaissance aujourd'hui. Je pense que j'ai eu une discussion ce week end avec ma mère qui cherchait à comprendre un petit peu tous ces sujets. Pourquoi on est intéressé par ça et qui disait, mais nous, à notre époque même, nous les femmes, on connaissait rien à tout ça. Donc le fait d'imaginer que son fils en sache plus qu'elle sur ça alors que elle a cinq filles. Moi, je suis le dernier. J'ai cinq grandes sœurs et je pense que je dois être celui qui a peut être le plus de connaissance sur ce sujet-là.

Laurène:

Tu peux faire un cours sur la glaire cervicale à ta mère et tes soeurs?

Jospeh:

Quasiment.

Laurène:

Elles

Jospeh:

trouvent ça je pense assez lunaire, mais moi en ça, du coup, je me sens émancipé par la connaissance, par le fait de connaître, de comprendre ça. Et du coup aussi, c'est qu'on est de comprendre du coup forcément mieux. Ma femme, mes sœurs, mes amis, mes collègues de travail aussi. Je trouve que ça permet de casser un certain nombre de barrières mentales qu'on peut avoir. Et ça, je trouve ça.

Laurène:

oui, tu as raison, c'est que quand tu es conscient des fluctuations hormonales d'une femme au cours de son cycle, ça apporte une connaissance peut peut être une bienveillance à plein de moments.

Jospeh:

Tu vois ce matin? J'ai une de mes, j'ai une de mes collègues qui m'a dit écoute Joseph, ça dérange pas? Je vais rester entêté aujourd'hui. Tu, je n'ai pas demandé pourquoi j'avais. J'avais compris.

Laurène:

ta deviné, moi ou ouais, c'est bien parce que peut être qu'elle sait aussi qu'elle peut te le demander sans avoir for ment à trouver une fausse excuse. Quoi?

Jospeh:

Exactement est ce que je trouve agréable parce que du coup, on peut être vrai. On peut sans rentrer toujours dans l'intime des gens. Mais voilà,

Laurène:

Et.

Jospeh:

les gens savent qu'on peut en discuter de manière simple, qu'il y ait des galères ou pas d'ailleurs. Et ça, je trouve ça hyper agréable. Et je sais que nous, dans nos discussions qu'on a avec nos amis et du coup forcément, on rend beaucoup plus un peu dans le type comme on aime bien dire ou on va, on va chercher un peu à creuser et pas juste rester un peu à la surface.

Laurène:

Ou parce que donc on va rentrer là dedans, mais vous avez mis un petit peu de temps pour que chacun que de vos enfants que chacun arrive. Et donc vous en avez parlé librement autour de vous. C'est ça aussi. Une certaine émancipation peut être d'oser parler de ces sujets là qui, pour beaucoup d'hommes de femmes, sont parfois tabous, voire honteux pour toi. Ce n'est pas le cas.

Jospeh:

Alors pour moi, ce n'est pas le cas. Honnêtement. Moi, c'est grâce à ma femme. Je pense que je suis quand même plutôt grandi dans une famille assez pudique, assez traditionnelle dans le rapport à tous ces sujets. Et du coup moi, j'ai la chance d'avoir une femme qui a un livre totalement ouvert. Qui parle de toutes les émotions qui la traverse, que ce soit avec moi, ce qui est hyper agréable dans un couple, mais aussi avec ses amis. Du coup, j'ai du vite prendre le pli parce que sinon j'allais être la il y, il y allait avoir un fossé qui allait se creuser entre nous. Donc ça, j'ai trouvé ça. Génial. Et moi, ça m'a révélé une partie de ma personnalité et du coup ça, ça m'a donné aussi, entre guillemets, des nouveaux sujets sur lequel me passionné me cultiver et derrière pouvoir être présent. Dans le débat public entre guillemets. Donc ça, je trouve ça. Je trouve ça top. Et c'est vraiment clairement grâce à bérengère que j'ai eu accès à ça tout seul ou avec une autre femme, c'est sûr que ça aurait été différent.

Laurène:

On va rentrer après plus dans votre histoire, mais est ce qu'un jour vous avez verbalisé le bon gal l. On ne va pas le garder pour nous ou est ce que de fait de sa personnalité est ta nouvelle personnalité à toi. Très vite, vous avez parlé de ces sujets là.

Jospeh:

Je pense qu'on en a assez vite parlé et parce qu'on en a besoin, si tu veux, il y a une première vertu pour nous qui est thérapeutique, presque entre guillemets, qui est de dire je comprends tout à fait les. Les gens qui ont besoin de se replier sur eux, d'avoir leurs cocons qui sentent plus en sécurité, non sans sécurité. Quand on est capable d'en parler et de confronter ça avec d'autres personnes, soit la famille, des amis ou même des gens un peu random qu'on a rencontrés. On a senti qu'il y avait une accroche sur le sujet et tu vois pour Lazare, notre deuxième enfant dégère la des difficultés de cycle. On a eu, elle a eu très vite peur. On a eu quoi, assez vite peur que ça ne marche pas. Et nos amis proches au bout de de six qu'ils étaient au cours. Si tu veux, il n'y avait pas de là dessus de frontière ou ou de. Mais c'est une pas une question de pudeur. Si on avait besoin d'en parler déjà, parce qu'il faut que ça sorte. Donc il y a un côté, un peu exutoire, un petit peu là dedans, mais également aller chercher du témoignage et du témoignage positif. Parce que la grosse difficulté aujourd'hui des réseaux, en partie c'est quand tu cherches un témoignage sur un truc qui t'inquiète forcément le biais, il est très souvent négatif. Et donc du coup d'aller chercher du témoignage positif, provoquer du témoignage positif. Ça, ça fait du bien.

Laurène:

Ou d'en parler avec des gens qui ne sont pas forcément confrontés à ça pour qu'ils soient plus dans la good vibe que peut être que des forums un peu concentrés autour de femmes qui vivent des difficultés et qui peuvent plus se tirer vers le bas? C'est ça un peu senti

Jospeh:

ça. Et surtout l'aspect, en fait, quand une problématique, quelle que soit, par exemple, voilà, on a très envie d'avoir un deuxième enfant. On se rend compte que ça ne marche pas que les cycles de bérengère et durent trois à quatre mois, quelle galera, aut, etc, etc. Quand on parle à personne, tu l'impression que t'es un o que t es tout seul qui n a que à toi que ça arrive et tu dis mais c'est sûr, je dois être la cas sauce de service. Et dès que tu commences un petit peu à en parler, il y a un aspect libératoire et c'est un des super aspects de club de te club. C'est de dire en fait, je ne suis pas toute seule. En fait, il y a tel nanas ou il y a tel autre couple. Il y a tel autre sujet et je ne suis pas tout seul à aller faire un sperme parce qu'on veut toute. Si on veut entrer direct dans les trucs concrets. Si si t'en parle pas parce que tu dis attend maintenant trop la honte et tout, très vite, ça peut ça. Ça peut prendre des proportions énormes dès que on parle, tu fais ah, mais en fait, il y a plein d'autres gens. Fait trop cool, génial.

Laurène:

Oui, tout à fait d'accord avec toi après, comme tu le dis, il y a des gens pour qui c'est pas possible qui ont besoin de rester à leurs cocon et d'autres non. Mais si on red déroule un tout petit peu le fil, donc vous êtes mariés depuis cinq ans. Vous êtes ensemble, j'imagine depuis un petit peu plus longtemps. Est ce que tu peux nous parler juste de ta rencontre avec bérengère et de à quel moment vous êtes dit on va faire un bébé et c'était quoi? Le tableau, tu vois, est ce qu'elle savait. Par exemple, qu'elle avait un peu des troubles du cycle est ce qu'elle savait que ça allait être peut être compliqué ou pas du tout

Jospeh:

Nous, on sait, on a cinq ans d'écart avec bérengère quand on s'est rencontré, elle avait 20 ans. J'en avais 25 moi, je suis issu d'une famille nombreuse. Je suis le dernier d'une famille de six enfants et j'ai cinq grandes sœurs. Donc à ce moment là, j'ai déjà une quinzaine de neveu a autour de moi. J'ai grandi dans un environnement ou il y a des enfants et des bébés partout. J'adore ça. Je suis un peu le tonton qu'on vient tout le temps chercher pour jouer, goûter, aller, sauter dans la piscine ou faire des conneries. Donc si tu veux, pour moi, le fait d'avoir un enfant et et un non sujet, c'est une évidence et j'en ai énormément envie. Bérengère LC l'aîné d'une famille de quatre. Elle n'a pas forcément connaissance de tout ce qui se passe d'un point de vue cycle. Elle a eu des sujets, elle a fait un peu d'or quand elle était adolescente. Donc elle a quand même vécu quelque chose d'assez fort et d'assez lourd avec de temps en temps, un traitement, on dire des avis médicaux qui sont pas très bienveillants avec des trucs, du style. Si vous changez pas des trucs que vous aurez jamais d'enfants, etc. Donc pour elle, elle sait qu'elle a envie d'avoir des enfants. Mais au début, quand on se marie, Elle se dit pas tout de suite. On se marier à la 23 ans. Moi, j'en ai 28 moi, je suis un moi, je suis chaud dès maintenant et elle est un mode. Ou alors je sais qu'on en aura tous les deux. Je sais que tu seras le père de mes enfants, mais là juste, j'ai besoin un petit peu de temps. J'ai encore deux ou trois, deux ou trois peur des trois choses à régler. Et ça, ça a été, je pense, notre première expérience, tous les deux qui a été dire ok, comment tu gères ça? Donc il y a un décalage, un peu de timing. Moi, il ne faut pas que je prenne peur en mode. Ok, il faut que je lui fasse confiance dans le côté. Elle va, on va avoir des enfants ensemble juste il faut être un petit peu patient.

Laurène:

quand c'est le bon

Jospeh:

Exactement, il faut être patient. Et surtout, j'aime bien dire, il faut créer les conditions pour que ça puisse se faire. Et donc ça, je pense, ça a été, et c'est toujours aujourd'hui, mon leitmotiv numéro un. C'est de toute façon, c'est pas toi qui va les porter. Ce n'est pas toi qui va avoir ton corps qui va être soumis à toutes ces transformations, etc. Donc, si t'as envie de à fond dans ce projet, il faut que tu puisses créer les conditions et les conditions mentales pour que ça soit ok pour ta femme ou pour que ça se passe bien. Ce n'est pas toujours les mêmes selon les selon les timing selon les phases. Donc là avant Suzanne. Donc, avant notre premier, il y a eu un an, un an et demi à dire de travail un petit peu de fond ou il a fallu comprendre. Dans mais dans mes postes sur mon compte, je parle souvent de comme je suis commercial dans mon métier, je fais souvent les parallèles ou de comprendre quels sont les vrais sujets. Quelles sont finalement les vraies craintes qu'elle a les vrais points de blocage pour derrière la rassurer de dire en fait, si je vais avoir des enfants, je pourrais plus travailler. Je pourrais pu avoir de vie sociale. J'ai peur de pas réussir à assumer. Ok, en fait, une fois que j'ai compris ça, je vais lui montrer que je vais pouvoir l'aider à fond quand je suis prêt à faire les nuits que tel truc que j'ai l'habitude, que ta etc, etc.

Laurène:

avait une vraie stratégie. Quoi?

Jospeh:

Une vraie stratégie. Alors là, ça fait un peu machiavélique, dit comme ça, mais évidemment, c'est avec beaucoup d'amour et beaucoup de tendresse. Et en fait, ça a été beaucoup plus vite que ce que je pensais. Moi, dans ma tête, j'étais prêt à ce qu'on atteint deux, trois ou quatre ans avant qu'elle soit prête mentalement. Je parle là, on parle même pas de physiquement. On parle d'abord de mentalement. Pour Suzanne, c'était plutôt mental le sujet et en fait, à partir du moment ou les conditions ont commencé à être réunies, qu'elle a vu des amis autour d'elle qui commençaient à être enceinte. Le truc est venu assez facilement. Et puis, en tout cas, nous on sentait que c'était chouette. Un pendant un an et demi, on a fait plein de voyages. On a fait plein de trucs un peu partout, mais on sentait qui manquait quelque chose et qu'on avait vraiment envie que notre couple porte du fruit à travers la parentalité. Ça s'est fait plus vite. Et puis derrière ça, mis un petit peu de temps, mais à ce moment là, on n'a pas du tout cherché. On n'a pas été trop creusé dans les aspects médicaux. En tout cas, c'est mon ressenti.

Laurène:

as eu la préparation. Tu disais il y a une préparation mentale puis préparation physique. Donc, une fois que le mental a été acté, elle c'était quoi ces cycles? Tu vois que tu tu dis qu'elle avait des cycles plutôt long est ce qu'elle s'est dit tout de suite. Ça va être compliqué ou pas.

Jospeh:

De mémoire. Je parle de mémoire parce que là on est sur l'année 2022. Donc il me semble que pour Suzanne, il n'y avait pas forcément des problématiques de cycle qui étaient flagrantes. On était sur des cycles, un tout petit peu longs de mémoire. On devait être sur du 40 jours et ce n'était pas non plus. Tu vois des trucs énormes. On voyait nous à l'époque, on avait été formé billing on faisait nos petits tableaux. Donc on voyait que c'était un peu long que la période de la fenêtre d'ovulation. Elle était un peu longue arrivée un peu tard, souvent. Donc, mais sans aller plus loin si tu veux dans l'interprétation ou la compréhension et après, en revanche, donc on a eu puis on arriver aussi des. Des phases plus courtes. Par exemple, deux ou trois mois, on se disait là, on est super chaud, puis ensuite avait un petit peu un petit retour des craintes ou des peurs est ce que là, en fait, est ce que c'est vraiment. C'est une bonne idée, puis un petit peu des fenêtres de deux ou trois mois, on était chaud. Et finalement tout ça. Mi bout à mou, ça, ça a mis un an bérangère a fait aussi une fausse couche, mais qui est une fausse couche assez étrange parce que c'était une fausse couche ou en fait. Elle a directement appris qu'elle était enceinte et que c'était une fois se couch en même temps. Donc

Laurène:

Non ultra précoce,

Jospeh:

ultra ultra précoce. Mais ce qui paradoxe, c'était un moment ou on commençait à être un petit peu inquiet en mode, mais est ce que ça marche vraiment, etc. Et là, j'ai vraiment la réaction de l'homme un peu connard masculin, quissent pas les choses dans ces tripes. Très pragmatiques à ça. Ça veut dire que l'appareil marche bien. Donc là, je me suis à la fois pris une à la fois pris une baffe en mode, mais juste, tu peux pas me dire ça le jour ou j' une fausse couche et en même temps p, ce qui est vrai. Ce n'est pas du tout délicat de ma part. Je reconnais aujourd'hui, mais en même temps, ça a fait aussi son bonhomme de chemin en mode. Oui, ça veut dire que bon, il n'y a a priori, pas de trop gros problème. Encore est capable de pouvoir créer la vie. Donc

Laurène:

a pas de problème mécanique d'obstruction.

Jospeh:

le cycle d'après elle est tombée enceinte,

Laurène:

Ok, donc tu dis ça a pris un an. Vous n'avez pas du tout médicalisée pendant cette année là.

Jospeh:

Non, alors ma femme va peut être me tomber dessus en disant mais tu rend pas compte ma, mais pour moi

Laurène:

tout ce que j'ai fait

Jospeh:

non, mais pour moi, sur la première grossesse ou alors c'était du petit boost à base d'un petit peu de phyto, etc. Mais si attend, je dis ça, mais elle a fait pour moi si si elle a quand même fait un fert club avec toi. Donc si on a quand commencé.

Laurène:

Oui,

Jospeh:

Oui. Donc tu vois, j'oublie, j'oublie.

Laurène:

l'hygiène de vie,

Jospeh:

C'était plus dans,

Laurène:

dieu, c'est l'amnésie du parent. Ça c'est connu, mais

Jospeh:

Mais alors pourquoi j'oublie?

Laurène:

des choses sur son hygiène de vie, mais pas non, mais je te demandais si elle avait mis en place des choses médicales. Donc médicales? Non?

Jospeh:

On a comme moi, j'ai commencé à découvrir ces plantes incroyables. Le charbon. Je ne sais pas quoi de l'Himalaya. Le franc, le framboisier, le machin, le truc.

Laurène:

ou

Jospeh:

J'ai commencé à découvrir ça, avoir arrivé ça dans nos placards. On a

Laurène:

tu as pris des trucs ou pas du tout.

Jospeh:

alors moi, j'ai rien pris pour la grossesse de Suzanne. En fait le Fertility club, je pense qu'elle est tombée enceinte pendant ton Fertility club. Donc ça s'est fait finalement assez vite. En fait, c'est ça le moment. On a commencé à se dire ok, il faut peut être booster le corps et

Laurène:

oui.

Jospeh:

le moment ou elle a été enceinte. Ça a vu durer deux ou trois mois, donc pas trop. Le temps de paniquer en plus, elle était suivie. Je ne sais plus qui y a une de ces copines qui avait dû lui dire tiens, regarde ça. C'est trop bien. Et d'ailleurs pour la petite anecdote, ce qui est rigolo, elle a découverte des amis. Qui y avait de ses amis qui étaient inscrites aux fertilité club aussi, mais elle ne savait même pas qu'elle étaient en projet, bébé, ou je sais pas quoi ça. Je me souviens, leur première première vis, vision fait me dit mais tu ne sais pas quoi? Il y a un tel, un tel, un tel je à milieu de penser qu'il était chaud pour avoir un enfant et

Laurène:

Ça, c'est l'angoisse. C'est l'angoisse de certains de se dire si je tombe sur des gens que je connais. Et en fait, tu dis, bah, si

Jospeh:

la plutôt

Laurène:

là, c'est qu'a priori on est dans le même état d'esprit. Ben oui, c'est hyper rassurant. Puis après, on peut de éteindre sa caméra, mais ok est trop marrant. Donc là, elle tombe enceinte sans que vous ayez le temps. Vous n'êtes pas posé plus de questions, mais toi, tu étais quand même dans le soutien émotionnel.

Jospeh:

J'étais plus dans le soutien émotionnel. Exactement, j'étais plus dans le, je trouve ça trop bien que tu mets toutes ces choses en place parce que pendant un an et demi, c'était plutôt mentalement déjà. Est ce que je suis vraiment chaud pour avoir des enfants, être enceinte, etc. Et là tu prends les choses à 10 0 % en main que je ne pouvais être que soutien. Alors. Sûrement jamais assez. Il y a des moments qu'on ne prend pas, ce qui se passe évidemment dans le corps, mais mais quand même, je trouve qu'il y avait, il y avait ça. Il y avait ce côté là et une découverte aussi, d'une certaine. Une certaine tendresse. Tu vois à chaque, à chaque règle qui arrive et ou qu'on se dit c'est pas cycle là, tu vas d'avoir le petit réflexe de se dire tiens, on essaye de se prendre un petit moment, tous les deux. Un petit cadeau à la fin, j'avais des réserves. C'est un peu comme les parents qui ont des réserves de cadeaux pour les enfants. J'avais des réserves de cadeaux, genre un petit pull, un petit pull, un petit bijou, un petit truc au cas ou je ne me fais pas surprendre. Ça, c'était ça, c'était, c'était sympa. C'était sympa, non? Mais c'était, c'était beau. Je trouve dans le développement d'une certaine tendresse dans notre couple. Ça nous a rapproché. Et mais en revanche, on n'est pas allé très loin dans la partie médicale, on est vraiment resté plus dans de l'hygiène de vie dans du boost de corps.

Laurène:

Et sur, tu disais que vous étiez formé à billings. Donc vous étiez branché, clair,

Jospeh:

Oui.

Laurène:

je te pose des questions un peu intimes, mais on reste quand même en théorie. Mais comment vous viviez justement ce moment de, c'est maintenant, est ce que ça crée. Une sorte de pression est ce que ça crée. Tu vois?

Jospeh:

Alors.

Laurène:

Parce que j'imagine que pendant cette année d'essai, vous avez respecté à chaque fois les faces fertiles qu'arrivaient pas toujours au même moment puisqu'elle avait des signes pas forcément. Ultra

Jospeh:

oui, mais je pense qu'on était, on était pas vraiment, on suivait pas le truc à la lettre lettre. Si tu veux, comme on était, on n'était pas angoissé ou on a peut être commencé à l'être sur les deux derniers mois là ou elle a commencé à s'inscrire, au fait etc. Mais avant, on n'était pas angoissé, donc on le vivait de manière plutôt assez détendue.

Laurène:

Oui.

Jospeh:

C'est plus, en revanche, pour la deuxième grossesse ou là. Le rapport à ce sujet a été très, très d, différent.

Laurène:

ok. Si tu veux même on, on va embrayer. Donc Suzanne est arrivée. Et là, très vite, vous vous dites on veut une fratrie plutôt nombreuse et assez rapprochée. Donc, à quel moment on décide d'agrandir la famille

Jospeh:

Honnêtement très vite, c'est à dire qu'on est passé un peu de tout au tout. On est passé de, il faut créer les conditions pour que bérengère soit ok pour avoir un enfant, etc. À en fait juste cet accouchement. C'est un des meilleurs trucs de ma vie que j'ai pu avoir quand est ce qu'on remet ça. Et du coup, je dirais, peut être que des quatre ou quatre mois après la naissance de Suzanne en soi en était. Mais

Laurène:

ok,

Jospeh:

le cycle qui tard à repartir. Donc ça tardait tarder. Elle allait était pas pour Suzanne, elle est, elle

Laurène:

retour de couche.

Jospeh:

mais tard, peut être en mai était fin décembre. Et tu vois, je pense que retour de couche en mai

Laurène:

ok.

Jospeh:

et en revanche, dès le retour de coach du coup, dès le premier cycle, on a senti qu'il c'était anormalement long. Et il y a peut être eu soit un simil de fausse couche ou un truc sur le premier cycle. On ne sait pas trop, mais, et après, à partir du fin du mois de juin, là on a eu un premier cycle de trois mois. Donc, de la fin du mois de juin, jusqu'à la fin du mois de septembre. Pas d. Vrai. Donc, et elle sent dans son corps et là pour le coup beaucoup plus, on va beaucoup plus loin dans l'observation, etc. Elle sent dans son corps qu'il y a son corps qui essaye, mais ça ne marche pas

Laurène:

C'est ça parce qu'elle est en post par Tom, mais ça met du temps à se relancer et elle, elle voit les tentatives d'ovulation. C'est ça que tu veux dire quand tu dis elle sang dans son corps

Jospeh:

Oui, elle voit. Mais à ce moment là, elle, au début, elle le sent et petit à petit, elle se dit ok, je vais tout remettre en place. Comme on a commencé à m'apprendre dans le club ou en reprenant Bills, en reprenant des trucs, mais je sens qu'il faut que j'aille plus loin. Donc là, elle commence à en parler. L'avantage qu'on a, c'est que, comme on en parle facilement, Elle commence à en parler. On va lui parler d'un tel telco qui super telle personne, tel quiconque, tel machin et compagnie avec des merveilles. Franchement, c'est là que tu te rends compte que le village peut de créer un village incroyable autour de toi.

Laurène:

raconte, c'était quoi votre village? Il y avait quoi comme pro.

Jospeh:

il y avait comme pro. Il y avait le docteur frais puiseur à paris, qui est juste dings.

Laurène:

Ah ouais,

Jospeh:

maintenant on est à Marseille, elle elle fait des allers retours pour aller le voir tellement si tu

Laurène:

d'aller le voir.

Jospeh:

avec Lil de Mayol qui était ginko à Marseille et

Laurène:

sûr, qui est plus à Marseille non plus

Jospeh:

non qui a tour maintenant. Et on va à Marseille. Les gens sont mais, et en gros, c'est les deux principaux que j'ai en tête. Et puis après, il y avait, il y avait toi, il y avait aux femmes, il y avait plein de personnes comme ça.

Laurène:

dirai, a fait quoi acupuncture.

Jospeh:

Elle a fait acupuncture, elle a fait, on s'est reformée du coup pour comprendre un petit peu mieux. Elle s'est formée aussi à la température pour pouvoir rajouter ça à la guerre qu'on n'avait pas en tête. Donc type drop, donc commencé à suivre, etc, etc. Et en fait très vite. En voyant clotilde, elle s'est rendu compte qu' en faisant un certain nombre d'analyses, elle s'est rendu compte que il y avait aujourd'hui des insuffisances hormonales. Il y avait des problèmes à ce niveau là, ce qui faisait que son corps n'arrivait pas au voler.

Laurène:

ou.

Jospeh:

dis ça de manière très grossière, ce que je maîtrise, pas tous les sujets à la perfection. Tu dois rigoler en m'entendant parler, mais du coup là, dessus, assez rapidement, le combo de ça plus frais avec la pu puncture et tout, on sait, on s'est dit avec le, il faut qu'on passe sur autre chose plus stimulé, ovulation. Et là on a démarré le process avec le comme

Laurène:

donc ça au bout de

Jospeh:

ça, au bout de finalement, au mois de janvier.

Laurène:

Ok, donc un an après la naissance de votre fille, mais six mois après le début des essais ou

Jospeh:

à peu près, mais ces six mois là, ils ont été hyper. Franchement, c'était hyper difficile parce que là ou pour Suzanne, on était assez détendu. Là, il y avait, il y avait une vraie angoisse que ça ne réarrange jamais une vraie angoisse de laisser Suzanne toute sa fille unique. Alors que nous on on réveille, on rêve d'une belle, belle fratrie, vraie angoisse de l'infertilité secondaire. Alors c'est le moment ou tu te fais pariété par 10 000 000 de trucs à lacon survie de maman sur tel groupe sur. Tel machin sur un sta sur tel truc et s'il vous plaît, ferme parfois limite. Je voulais mettre des contrôle parent mental sur le portable de ma femme. Juste tu un truc pendant quatre jours, t'es en de t'es sur ton canapé à mais ça marche jamais dans l'extrême, mais

Laurène:

si on peut mettre un contrôle parentèle sur les pubs sur l'infertilité punais mais mais aussi je m'en mett très bien,

Jospeh:

serait pas mal.

Laurène:

saule ouais. Ok. Et donc là clomid mais tu parlais de toi du phmo programme toi tuas fait à quel moment tu es rentré dans la danse, côté

Jospeh:

en effet, en fait, quand on a fait en fait, avant de partir sur le clo, on a fait un effet un peu tout un éventail d'analyse de son côté à elle et du mien, assez vite, elle s'est dit il n'y a pas de raison qu'il y ait que moi qui check. Donc du coup, tu vas y mettre aussi. Je dis évidemment pas problème. Donc le sperme, je me souviens plus, c'était peut être en octobre ou en novembre. Et on a fait ça. Et puis elle, elle a commencé aussi à me vouloir me booster. Donc j'ai commencé à bouffer des noix tous les matins, donc je ne sais pas si t'imagines le petit de

Laurène:

Noix du Brésil.

Jospeh:

ton bolle de noix là. Je me rappelle plus si j'avais des actes dans la bouche, tellement je bouffais les noix et elle était là. Et quand, quand je faisais une demi plainte, elle dit franchement, mais tu le nom de truc que je fais ta just ta toi manche, je no. Et te toi

Laurène:

boée noix.

Jospeh:

Ok, c'est donc en effet, on a fait, on a fait ça.

Laurène:

un régime à base de noix et juste juste à base de noix ou il y avait quand même d'autres

Jospeh:

il y avait, il y avait d'autres trucs, mais c'est le truc qui m'a marqué C'est le truc qui m'a marqué, non? Il y avait aussi diminué l'alcool, diminuer les trucs trop

Laurène:

J'allais demander

Jospeh:

Si jamais été un gros buveur, mais plutôt bon vivant en terme de bonne bouffe, etc. Et et tu te rends compte que c'est un effort. Et donc du coup et qui est petit par rapport à ce qu'elle elle fait. Et ça paraît dans la compréhension du sujet et du coup moi, dans la compréhension de ce qu'elle pouvait traverser ce qu'elle pouvait sentir. Ça m'a aidé à dire oui, en fait, moi, c'est un 10 e à peine de ce que elle vit, ce que elle elle fait derrière encore plus quand on était dans leide avec les échos avant les échos après machin là, je trouve que ça m'a fait toucher du doigt. Ce n'est pas notre, en fait, c'est lourd. Donc, à ce niveau là, avec le recul, même si sur le moment, je râle d'être avec mon bol de noix, je trouve que ça a été intéressant. Pareil pour nous rapprocher et pour qu'on puisse mieux mieux comprendre ce qui se passe

Laurène:

ouais, ouais. Puis sentir que vous faites équipe. Elle pour elle de te voir manger tes noix ça a lui montré que tu étais corps et âme et aphtes

Jospeh:

Oui,

Laurène:

avec elle

Jospeh:

corps. Et c'est pas mal ça complètement moment, mais c'est tout à fait ça, sachant que par nature, nous on en fait jamais assez, mais ce n'est pas c, une fin, c'est un fait de nous. On n'y pense pas tout le temps. Moi, je vais au travail et je reviens elle, elle y pense. Chaque seconde. Chaque seconde, mais parce que c'est intéressant parce qu'on essayait du coup de comprendre ça, son corps, lui lui lui rappelle que ça ne marche pas. Son corps lui rappelle que là il est en train d'évoluer. Il est en train d'essayer de voler, mais ça ne marche pas. Et vraiment, c'est des ressentis. Et ce qui est que j'ai trouvé super chouette, c'est que, comme elle a plutôt l'habitude d'exprimer tout ce qu'elle peut ressentir et de l'exprimer de manière extérieure avec des mots moi, ça m'a permis de comprendre plein de choses et de comprendre aussi des attitudes ou des rues. Des attitudes absurdes. Je m'en suis amusé dans les choses que je racontais derrière, mais mais je trouvais ça super chouette de pouvoir lier ça et du coup pareil derrière avec des amis avec d'autres gens qui peuvent ressentir ou traverser les même choses, de se sentir du plus proche, d'avoir accès à ce que eux peuvent ressentir aussi.

Laurène:

c'était quoi ces absurdités? Des réactions d'irritabilité

Jospeh:

Oui, des émotions très fortes, une projection dans le mais c'est sur ça marchera plus jamais y des trucs. Très un peu de drama sur

Laurène:

Oui.

Jospeh:

être un petit peu se détendre. Mais voilà, ça peut être ça. Ça peut être des des j'avais des messages à la fin, je lui disais des captures d'écran, des messages qu'elle m'envoyait sur whatsapp. C'est à dire que sur la même journée, elle pouvait m'envoyer à neuf h. Franchement, je n'ai pas de glaire, c'est la mort, mais j'en peux plus complètement à l'arrêt. La machine est cassée, on n'aura plus jamais d'enfants. Et à 12 h glaire plus plus plus c'est la folie go rendu du bureau. C'est maintenant etc. Et à deux cycles d'intervalle sur les deux cycles de clode, elle m'a fait exactement le même sketch le même jour, un mercredi, la même chose. Et donc à neuf h, elle m'envoie le truc que j'ai fait. Je lui envoie la capture d'écran du cycle d'avant. Je dis franchement si c'est ça, tu me payes un coup à 12 h à Joe. Tu vas rire. J'ai de la guerre plus plus plus et tout ça m'a fait rire.

Laurène:

donc là, tu rentrais.

Jospeh:

Et là je rentrais ou là je rentrais. J'avais la chance d'avoir un boulot qui me permettait de pouvoir faire un peu de de temps en temps ou de pas trop loin de la maison. Et là, là, clairement

Laurène:

à ton devoir.

Jospeh:

là, clairement fenêtre de tir. On n'est pas là pour prendre du plaisir. On a pour être efficace.

Laurène:

Absolument. C'est ce que je dis souvent. Si tous les enfants avaient besoin d'un orgasme pour être créés, on serait assez dépeuplés sur cette planète féminin, en tout cas.

Jospeh:

alors ça a des effets.

Laurène:

parfois en vise juste.

Jospeh:

ça a des effets. Tu vois, par exemple, là après Lazare, on a eu une période ou on était, on était du coup plus tranquille. Quand tu vois pas part, on n'était pas objectif. Troisième et, et du coup, on a quand même je sens que ça a quand même eu des effets sur notre sexualité. C'est quand même plus dur quand tu as été marqué par six mois de fenêtres de tir go, go, go, go. Et le reste du temps, ça sert rien du coup. Donc si ce c'est pas pour avoir un bébé, qu'est ce que tu veux m'emmerder en revanche, dans c, fenêtre de tir, on y va de manière inconsciente. On n'a pas encore touché du doigt, mais je pense que ça a eu un effet qui qu'il va falloir travailler quil faut un travail

Laurène:

Ou il faut reconstruire une sexualité plus spontanée et moins objective et quoi?

Jospeh:

moins efficace

Laurène:

Je suis d'accord, mais donc oui, ça c'était, non, non, mais ça vaut le coup. Et puis c'est ça la vie d'un couple. Et effectivement cette période là, je pense que pour les gens qui sont en plein dedans, ça fait du bien de t'entendre le dire parce qu'on peut avoir l'impression qu'on vient des robots à quick qui en période de guerre. Et alors qu'en réalité après la vie revient et on retrouve de la douceur, de la spontanéité, mais mais il y a un moment ou ce serait mentir que de dire que on fait toujours ça de façon hyper impulsive. Ce n'est pas vrai

Jospeh:

mais c'est vrai que c'est des moments quand ils pensent qu'ils sont lunaires, c'est à dire que quand elle m'avait dit dans la journée, on rentre dans des trucs un peu un peu intime, mais honnêtement, on s'en fou qu'on en parle avec nos amis. Mais tu vois quand elle me dit dans la journée là plus plus et que le soir, je tarde un peu, je rentre un peu tard ou alors elle me défonce ou alors tu vois, on est tranquille dans notre lit. Je commence à vouloir un peu discuter, raconter la journée. Mais j fou de ta journée, compris les messages que j'ai envoyé ou. Ah oui. Ok, d'accord. Je voulais, je vous disais, peut être qu'on peut parler ou mais, mais ce qui montre bien la différence de. Quand je donne ces exemples, c'est surtout pour montrer la différence de ce qui se passe à l'intérieur en termes d'émotion et d'intensité. Elle, vraiment, c'est quelque chose qui prend tout son corps là ou pour moi, c'est une info, c'est une info. Ok, on reprend les vieilles images de l'armoire et des tiroirs. Moi, c'est vraiment un petit tiroir. Elle, c'est tout. En fait ça, ça, toute sa vie, toute sa vie pro, toute sa vie amicale, sa vie sociale, même sa relation avec Suzanne, tant tout est emprunté de ça, de ce désir là et du coup de ses difficult.

Laurène:

c'est là toute la difficulté d'arriver à rester connecté

Jospeh:

On

Laurène:

sans toi non plus faire garder aussi cet espace que tu as la chance d'avoir et mais

Jospeh:

tout à fait.

Laurène:

n'est pas évident. Et donc, au bout de, c'est grâce aux clode, elle retrouve des cycles un peu plus

Jospeh:

Oui, finalement, clo je crois qu'on a eu deux cycles de clo et au deuxième cycle de clo. C'était bon. Donc la grande libération et. À la fin du avant de faire le test du ce que clo c'est souvent le limite à si tentative. Alors on peut faire trois une pause trois, mais avant d'avoir le test de grossesse. Et donc vers la fin du deuxième cycle de clo, là, on commençait à avoir une nouvelle angoisse apparaître qui est mère. En fait, si avec le clo, ça ne marche pas, c'est quoi la suite? Donc. Au début, le fait d'avoir le comique. C'est un peu libérateur en se disant tiens, on a quelque chose qui fait pouvoir aider. On a des plusieurs pros qui nous ont dit ça va vous aider. Ça va permettre de stimuler l'ovulation, etc. C'est habituel, pas de problème. Et puis ça reste, même si c'est très lourd, parce qu'il faut faire des échos avant pour vérifier que le follicule est bien là qui grossit bien. Une écho après pour bien valider qu'il y a eu ovulations en plus de à température tous les jours, tous les jours, etc. Ça, ça commence à faire costaud. Même si c'est lourd, on se dit que c'est quand même moins lourd que d'autres choses qu'une

Laurène:

avec des piqûres.

Jospeh:

que d'autres protocoles qu'il pour y avoir. Et quand tu commences en plus à rentrer dans ces sujets, les langues se délit et tu te rends compte qu'autour de toi. Il y a des gens, ils sont passés par ça, puis par le truc d'après. Et donc là, c'est vrai que la fin du deuxième cycle de clo, elle était en était tous les deux en mois. Mère. Si ça ne marche pas en fait, c'est quoi la suite? Elle commençait à être stratégique. Faire une pause, attendre un petit peu pour se garder des tentatives. Si on est dans un concours de seaux à la perche, ce que je dois attendre garder un essai pour plus tard, on a eu de la chance. Ça

Laurène:

la parler des

Jospeh:

Oui, c'était, c'était presque que ça c'était, mais de la chance, du coup, en mars 2000 24, début mars 2000 24, qu'elle était enceinte en deuxième enfant, ça trop cool.

Laurène:

c'est Lazare.

Jospeh:

Et donc c'est Lazare qui lui est né à Marseille. Entre temps, on a été à Marseille et qui est né là il y a quasi un an en

Laurène:

Oui. Juste deux ans

Jospeh:

Ils ont juste deux ans d'écarts complètement. C'est vrai que c'est pour ça que nous, si tu veux, on se dit on ne dit pas du tout qu'on est des gens. On n'a pas galéré. Il y a des coupes qui ont attendu trois à quatre, cinq, sept, 10 ans avant de pouvoir avoir un enfant. Ma propre sœur n'a jamais réussi à avoir d'enfant naturel alors qu'elle n'a jamais c'était il y a 10 et 15 ans, elle a trois magnifiques enfants adoptés, mais du coup à la fois, si tu veux ce que je trouve un tout petit peu dur, toute proportions gardées, c'est que tu peux plate. Tu ne peux pas te plaindre décemment. Parce que il y a des couples et des femmes qui ont des situations qui sont tellement infiniment plus dures que ça serait juste indécent de dire qui a l'air, c'est horrible et tout. Et en même temps, ce que moi j'ai découvert et d'un point de vue masculin, j'ai trouvé fascinant, c'est que pour une femme à partir d'un cycle, c'est déjà, c'est déjà un déchirement énorme que nous, les hommes, on ne pourra jamais ressentir. Même avec la meilleure sensibilité et envie du monde. Et ça, j'ai trouvé ça fascinant et captivant de pouvoir être aux côtés de ça, tous les jours, de comprendre ça, et d'ailleurs d'en parler avec quelques amis qui avaient un peu les mêmes ressentis et de se dire du coup aussi ceux pour qui ça dure plusieurs années, mais quel quel fardeau et du coup, quel qu combat au quotidien le respect fois 1 000 000

Laurène:

et quelle preuve d'amour pour l'autre que de mener ça ensemble? Quoi moi, je suis toujours, mais ce que tu dis, c'est intéressant, c'est que il y a cette espèce de honte à se plaindre quand on sait qu'il y a des gens pour qui ça peut être plus compliqué et en même temps, ta. Complètement raison aussi de dire que pour une femme en fait, quand l'envie est là qu'elle est dans le ventre viscéral, c'est très dur dès les premiers échecs et parfois l'enfant va arriver au bout de six mois, mais c'est six mois qui ont paru une éternité. Et puis voilà et évidemment que ce n'est pas comparable avec quelqu'un pour qui ça fait six ans, mais toi, dans ton histoire, à toi, dans ton corps, dans ton ressenti, c'est, c'est vertigineux déjà. Donc moi, je juge jamais non plus. Et c'est pour ça que dans le Fertility club d'ailleurs, on met des gens intimes pour qu'elles soient qu'avec des femmes qui sont à peu près au même niveau. Voilà pour qu'il y ait pas cette censure de, je ne vais pas me plaindre quand je viens d'entendre ce qu'elle a dit. Et de l'autre côté, quelqu'un qui a dit pas moi, je ne vais pas expliquer pour pas lui faire peur ou j n'en sais rien. Non, en fait, à chaque étape et ça peut être des petits échecs. Et comme tu le vis, comme tu le dis, quand on vit dans son corps, que les règles reviennent, c'est la caq. Donc voilà, il n'y a jamais de gradation dans ce qu'on peut ressentir.

Jospeh:

n'y a pas d'échelle. En fait, c'est ça. Il n'y a pas de ce que non. Je finissais par dire à bérengère c. En fait, il n'y pas pas une échelle avec une espèce de professeur universel qui dirait alors vous vous êtes à neuf sur 10 sur l'échelle de la violence dont vous avez le droit de dire ça, vous non, désolé. Vous êtes qu trois. Donc en fait ravale ta souffrance, toi toi ce que t'es qu trois non. Le ressenti de la souffrance. Il est unique. Si c'est d'ailleurs quelque chose d'assez moderne à dire que. On va dire dans les sociétés, il y a même rien qu'il y a 30 ans. C'était un peu plus. C'est un peu admis universellement que les gens qui sont dans des situations, ok, ils souffrent beaucoup eux un peu moins. Et toi, si tu as été de souffrance, en fait ta toi parce que par rapport aux autres teen et je trouve que c'est une des vertus, un petit peu du fait qu'il y a un certain nombre de paroles qui se libère, c'est que chacun a le droit de souffrir personnellement avec sa propre échelle. Évidemment qu'on peut remettre les choses en perspective et tout. Il n'y pas pas de souci par rapport à ça, mais on ne peut pas juger en fait le degré de souffrance de quelqu'un. C'est impossible,

Laurène:

Puis le degré de place que ça prend, c'est ce que tu dis, c'est qu'il y a des femmes pour qui savaient beaucoup longtemps, mais qui arrivent à avoir plus de recul et du coup à vivre ce projet en ayant plein d'autres plaisirs autour. Et puis d'autres, et je pense, c'est le cas de. Étrangère pour qui ça prend toute la place et du coup en amener quoi pendant toute cette période.

Jospeh:

c'est exactement ça.

Laurène:

Ok, du coup, tu dirais que si tu devais résumer un peu toi ton rôle, comment tu dirais ou le rôle en tout cas que qui te paraît approprié pour un homme à ce moment là comment tu nous résumerait ça?

Jospeh:

Le rôle que j'ai, c'est à la fois un rôle. Alors j'aime bien les métaphores. C'est à la fois un rôle de coach. En fait, je ne suis pas sur le terrain. C'est à dire que si tu prends une métaphore sportive bérengère elle est sur le terrain. C'est. En grande majorité, c'est elle qui est là et qui va faire les choses qui va ressentir les choses à la fois physiquement et qui peut agir sur 90 de ce qui peut se passer. En revanche, pour qu'elle puisse faire ce qu'il faut sur le terrain, pas avoir trop de baisses de morale, etc. Elle a besoin d'avoir des supporters. Un coach, je ne peux pas être toutes les personnes à la fois. Ça, c'est aussi quelque chose que j'ai appris et ressenti qui parfois, peut être une frustration parce que, en tant que en tant que son mari, j'aimerais pouvoir être tout pouvoir, tout résoudre. Mais il y a plein de choses. Je suis limité soit parce que je ne sais pas. Soit parce que je ne suis pas une femme, donc je ne peux pas ressentir la même chose. Donc quand elle a besoin de parler de femme à femme, moi, je dis ou là je ne veux pas aller voir un tel. Tu ne veux pas aller voir un tel. Et puis moi, je vais aller ranger la mais je vais ranger la maison en attendant. Mais en fait, je ne veux pas faire plus à ce moment là. Donc il y a ça aussi savoir que. On parlait de village tout à l'heure, le village. Je peux être une partie du village et je dois l'être, et là, il faut le faire à 100 %, mais il y en a d'autres. Il faut savoir aussi dire ça. Il faut y aille. Par exemple, nous aujourd'hui, elle va, elle retourne voir frais de temps en temps à paris quand il a besoin c, c'est mon rôle, c'est de lui dire. En fait, ok, je sais que tu te fais pas un aller. Retour à paris juste pour le kif d'aller prendre un petit café sur une terrasse dans le septième. C'est parce que tu vas pour faire ce rendez vous et du coup, ma manière d'être le coach ou le supporter ou ou l'agent du joueur, c'est de dire ok, pas problème. Tu veux que je te prenne quoi? Comme comme horaire de billets et pas de poser trop de questions. Ça, je dirais que c'est le rôle que

Laurène:

je gère les gosses.

Jospeh:

Et je gère les gosses ou j'appelle maman, mais et du faut le rôle que j'ai, c'est ça. L'autre image que j'aime bien donner. C'est sam qui porte fron dans le seigneur des anneaux, ce qui ne peut pas porter l'anneau, mais il peut porter celui qui le porte, quoi

Laurène:

Je suis moi un seigneur des anneaux. Tu vas bizarrement, je suis plus fou,

Jospeh:

que c'est des

Laurène:

mais non, non, mais je vois très bien l'idée après. C'est aussi parce que toi, il n'y a pas eu de souci de fertilité avérée. Donc tu t'es retrouvé à faire des choses, manger des noix, à faire tout ce que tu pouvais pour améliorer encore plus. Mais il n'y avait pas de vrai dossier après, il y a des couples ou c'est l'homme qui est sur le terrain et la femme qui a toujours les ressenties dans son corps de toute façon. Et il y aura toujours des choses

Jospeh:

doit être encore autre chose,

Laurène:

mais. Mais oui, ou il y a aussi ces situations là qui qu'on a déjà abordé dans le podcast d'ailleurs, mais qui sont hyper intéressantes quand la culpabilité, entre guillemets, elle est du côté masculin qui voit qu'il y a un bug à réussir, à corriger quoi

Jospeh:

Un truc que j'aime bien dire souvent quand je parle avec d'autres hommes, c'est de dire, il faut vraiment, je trouve dans ces moments avoir en tête une échelle de priorité. Et c'est à dire que notre rôle, aussi à nous en tant qu' c'est à dire si on a décidé en couple que notre priorité c'était d'agrandir notre famille ou d'essayer d'avoir un enfant et. Il faut qu'on puisse mettre en place toutes les conditions pour et aussi nous, en tant qu'homme, on doit être un peu plus. On va dire miséricordieux avec avec notre femme sur en effet ces changements d'humeur, on doit lire les choses de manière différente. Sinon déjà, on va se rajouter des clash qui n'ont pas forcément lieu d'être. Et on va tendre une situation qui est déjà suffisamment tendue par elle même. Donc, il y a un petit peu ce switch, je trouve mental à avoir de se dire là. On va mettre les choses en priorité. Donc tu vois les noix, c'est con, mais c'était un truc qui était hyper important pour béant. Et j'ai mis du temps au début, j'ai un peu mis ça de côté et je sentais qu'en fait, ça lui faisait du mal, mais presque presque autant de mal que si elle apprenait que l'écho, il n'y avait pas de écriture. En fait, c'est l de dire il n'y a pas de logique.

Laurène:

que ça a marqué un manque

Jospeh:

Exactement. Et donc, du coup, notre rôle à nous en tant comme c'est, on n'a pas énormément de trucs à faire. Alors parfois c'est lourd et c'est dur parce qu'on a du mal à comprendre, mais essayer de jouer le jeu au maximum et des mini trucs en plus. Si on est un peu, on va dire pragmatiques avec des mini trucs comme s'appliquer à manger son bol de noix, on marque max de punto.

Laurène:

je suis d'accord, merci pour tout ça. Joseph. On a grandi encore. On vous souhaite on vous souhaite quoi?

Jospeh:

Et bien on nous souhaite. On est, on est encore jeune et non, on a encore encore envie de pouvoir avoir plein d'autres enfants. Donc on se fixe pas de, on

Laurène:

plein carrément,

Jospeh:

On se fixe pas de non de ce qu'on se dit. Ça sert à rien. On verra, on

Laurène:

mais.

Jospeh:

verra. Chacun est unique. On se régale avec eux avec nos deux. Mais on se dit qu'on aimerait bien avoir avoir d'autres petits lo. Ça serait Cho.

Laurène:

Eh bien, écoute, j'espère que la stratégie sera encore gagnante, qu'elle prendra loin de temps possible parce qu'on a compris que cette période, même si l'issue est belle, elle est quand même éprouvante et mais que tu pourras quand même encore mettre en œuvre tout te talents de coach slash écureuil, slash tout ce que tu as très bien fait.

Jospeh:

non, mais c'est des moments. Je trouve en plus en début de vie, couple, on sait que notre vie va être longue, qui sont des moments qui comptent. Alors on sait qu'au aussi que pour certains couples, c'est des moments très durs et qui a des couples qui peuvent être amené à se séparer parce que ça a été trop difficile de gérer cette ces moments là, moi, j'ai tendance à dire aussi, à l'inverse, dans la vision positive, si on arrive à les gérer, c'est du coup autant de structure de solidification pour la suite. Et derrière, il y aura d'autres sujets. Il y aura d'autres difficultés, mais on pourra s'appuyer sur ces moments là se dire regarde là, ça attend fort et on a tenu. Et voilà ce qu'on a mis en place. Et voilà, comme on a réussi à sortir de là par le haut,

Laurène:

Je suis d'accord, ça renforce le couple. Et puis moi, ce que je dis souvent aux gens qui sont encore dans le creux de la vague, c'est que ça, cette règle plein de dossiers en fait, qui, si tu ne les as pas réglés avant, tu les réglera quand tu seras parent. Et en fait, il y a plein de choses. Que tu mets sur la table des trucs que tu fais peut être avec ton acupuncture avec ton. Si avec ton mec, avec tout ce que tu veux, mais de travailler sur soi, tu vois et qui sont des choses qu'on aura réglé, peut être des traumas qu'on ne sera pas nos enfants et en tout cas, des des trucs qu'on abordera en les ayant déjà. Aborder avant et du coup en ayant rangé ce dossier. Et parfois c'est dur de se dire ça, de prendre ce mindset là de dire ok, je suis dans la pré pas, mais cette pré part, en fait, elle aura vraiment un intérêt pour l'après. Mais quand on est appris, on se dit ah ouais, c'est vrai. Pu naît ce truc là. Heureusement qu'on l'a désamorcé avant, parce qu'au moins ça, nous PRA pas à la figure quand on aura notre enfant qui nous posera la question ou j'en sais rien. Quoi?

Jospeh:

Complètement la place du travail, de l'équilibre de vie, du lieu de vie, de tout ça. En effet, ça vient de se mettre au milieu parce qu'on se dit il faut qu'on rééquilibre plein de choses si on veut que les conditions soient réunies. Donc ça, ça avance des sujets peut être dans le timing de traitement

Laurène:

Ou c'est top. Merci josette d'avoir apporté tout ça. Je sais que ça fera du bien à plein de d'hommes de femmes aussi qui le feront peut être écouter à leur. Mais quand on écoute, inspire t toi un peu et je vous souhaite plein de belles choses à vous quatre. Et puis plus, même pas si affinités, on sait que les affinités sont là. Donc j'attends les infos sur la suite.

Jospeh:

Merci beaucoup. Lorraine.

Speaker 2:

J'espère que cet épisode vous a plu qui vous aura donné des petites clés pour parler peut être au sein de votre couple ou avec vos amis ou avec toutes les personnes avec qui vous pourriez ressentir le besoin, finalement d'ouvrir un peu la parole sur ce sujet, que vous soyez concerné ou que d'autres soient concernés. Donc, je souhaite que ça vous apporte tout ça, cet épisode. J'espère vraiment, si vous a plu, hésitez pas à me le faire savoir à m'envoyer un petit message, à mettre un commentaire, une note, peu importe. Je vous remercie encore. Je vous dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode et je vous embrasse.